jeudi 2 août 2007

Ce jour...

Ce jour je marche, l'euphorie de la veille est passé... Car tellement de chose peuvent arriver. Vas-tu encore bien ? Je suppose que oui, je l'espère, si je ne le croyais pas, je m'arrêterais simplement ici, à même le sol, entre les racines de ces arbres hostiles, et je me laisserais mourir. Je vais bien, malgré le froid et les branches qui me frappent, je vais bien, je pense à toi... Sans arrêt, sans pause, sans limite, sans retenue, sans raison. Je sais, j'espère que toi aussi, là-bas, si loin, tu n'oublis pas pourquoi je marche, pourquoi je continu de me battre, pourquoi je survie à ce chemin devenu si douloureux depuis que le train est parti... Mais je reviendrais, je ne suis pas si loin, proche de toi en pensée sans arrêt, le vent souffle et le monde tourne, mais pour toi, mon coeur bat, sans arrêt, sans arrêt... Car l'arrêt serait la mort, et la mort ne m'intéresse plus. Je n'ai pas de nouvelles... Mais je sais que tu es là, chaque fois que je regarde mon reflet dans une flaque, je te vois, me regardant au travers, de te yeux doux et tristes à la fois, que je ne sois pas là.

--- Eleken,
Sinon rayon vacance, tranquillou, j'ai vu personne depuis 2 jours (exception de la famille bien sur).
Je viens de finir Harry Potter 7 (3h du mat', et la fin c'est trop de la baballe qui tue sa mère en slip de printemps vous avez pas idée :o)).
Et puis là j'étais chez ma soeur à jouer à la Wii et garder un peu ma nièce et lui filait 3 cours de gratte, sinon l'écriture du Lac ça avance, doucement mais sûrement.

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