samedi 24 décembre 2005

La phrase de noel :o)

"Prétendant s'exprimer pour la plupart au nom de la défense de créateurs qui n'ont pas été consultés, ces députés ont pris une position qui brade leurs droits en échange de l'octroi d'une aumône optionnelle. La France pourrait devenir demain la seule nation au monde qui "brade" et -soviétise- la création"

--- La Sacem --- au sujet du vote des députés sur la légalisation du P2P
"La démocratie, c'est le pouvoir du peuple"
--- Mon dictionnaire ---
"La démocratie, c'est une insulte à l'intelligence gouvernementale,
qui, forte de sa supériorité, nous impose sa vérité intellectuelle.
C'est un écran de fumée pour conservé le peuple parqué dans sa soumission en lui donnant une illusion de pouvoir."
--- Eleken, rempli de dégout par la volonté du gouvernement
de revoter une loi jusqu'a ce qu'elle soit refusée, "parce que" ---
"Le P2P et Internet sont les meilleurs chose qui soit arrivé à notre société,
Ils constinue les piliers du peuple humain de l'avenir"
--- Encore moi !!! ---
"Joyeux Noel à tous !!!"
--- Le père noel ---

jeudi 22 décembre 2005

Ratiatum : Légalisation du P2P : le gouvernement veut re-voter

Alors que les députés ont adopté hier par une courte majorité la légalisation du téléchargement sur Internet, y compris sur les réseaux P2P, le gouvernement devrait demander ce matin une deuxième délibération.

'est une conception bien particulière de la démocratie. Le gouvernement, son ministre de la culture M. Renaud Donnedieu de Vabres en première ligne, a été hier soir l'arroseur arrosé d'une stratégie qui consistait à faire débattre du projet de loi DADVSI à deux jours de Noël, si possible le plus tard possible dans la nuit, à une heure où les députés ne sont plus dans l'hémicycle. Pour nombre d'amendements, la stratégie a fonctionné. La majorité UMP a rejeté les dispositions présentées en amendement qui étaient favorables à un meilleur accès aux oeuvres pour les personnes handicapées (particulièrement les mal-voyants), à un assouplissement du droit en faveur de la presse, ou encore celles en faveur d'une exception pour fins d'éducation et de recherche.

Mais la stratégie s'est retournée contre le gouvernement à une heure cruciale du débat. L'UMP n'a pas fait bloc derrière le souhait du gouvernement de verrouiller l'accès à la culture sur Internet. Les députés Alain Suguenot et Christine Boutin ont rejoint les socialistes et communistes dans la défense des intérêts du public, et ont voté les deux amendements (l'un déposé par A. Suguenot lui-même) qui visaient à légaliser le téléchargement de fichiers MP3 et de films sur Internet à titre privé et non commercial. A la surprise générale, le texte a été adopté par 30 voix contre 28.

Mais le gouvernement, qui voit ici un pan entier de son projet de loi et de son argumentaire réduit en cendres, compte encore user de tout son poids pour faire craquer les représentants parlementaires. Selon Le Nouvel Observateur, "le gouvernement devrait solliciter une deuxième délibération sur les amendements pour pouvoir les écarter". L'article 101 du règlement de l'Assemblée Nationale prévoit que "la seconde délibération est de droit à la demande du Gouvernement", le Président de l'Assemblée n'ayant pas le loisir de la refuser, ni les députés de la contester. Le texte voté hier soir devrait ainsi être renvoyé à la commission des lois, qui devra présenter un nouveau rapport dans la journée.

C'est beau la France : "Bon les gars on va voter jusqu'a que ce soit comme je veut" !!!

mercredi 21 décembre 2005

jeudi 15 décembre 2005

TF1 : Sarkozy et Royal s'imposent pour 2007

Selon le premier baromètre présidentiel TNS-Sofres/Figaro Magazine, le président de l'UMP fait la course en tête dans le souhait de vote des Français à la présidentielle. A gauche, la compagne de François Hollande confirme sa percée.

Une femme portera-t-elle les couleurs de la gauche lors de la bataille présidentielle de 2007 ? Sondage après sondage, l'hypothèse devient crédible. En effet, l'un des enseignements principaux du premier baromètre TNS-Sofres/Figaro Magazine publié jeudi est la percée confirmée de Ségolène Royal. Elle et Nicolas Sarkozy arrivent à égalité en tête des personnalités que les Français souhaiteraient voir se présenter mais le ministre de l'Intérieur reste largement en tête en termes d'intentions de vote.
Invitées à indiquer quelles personnalités elles souhaitent voir se présenter à la présidentielle, les personnes interrogées sont 50% à citer la présidente de la région Poitou-Charentes et autant le président de l'UMP. Dominique de Villepin vient juste derrière avec 49% de souhaits, devant le socialiste Jack Lang (40%) et Arlette Laguiller (LO) à 37%. Jacques Chirac n'arrive qu'en 19e position avec 19%.
Interrogés sur le candidat pour lequel ils auraient "le plus de chances de voter", les sondés placent Nicolas Sarkozy largement en tête : il rassemble 26% d'intentions, soit le double de Ségolène Royal (13%), et arrive 15 points devant le Premier ministre (11%) et Jean-Marie Le Pen (11%). Jack Lang arrive 5e avec 8,5%.
Concernant les atouts respectifs des deux principaux présidentiables à droite, c'est Dominique de Villepin qui est considéré comme ayant "le plus la stature d'un président de la République": 39% contre 24% à Nicolas Sarkozy. Le Premier ministre arrive aussi en tête pour la capacité à "donner une bonne image de la France à l'étranger"(46%), à "gouverner sereinement" (38%), "faire face à une crise internationale" (37%) ou "préserver l'unité des Français" (29%).
Son ministre de l'Intérieur est jugé comme ayant "les convictions les plus fortes" (45%), pouvant "le mieux prendre des décisions difficiles" (44%), "le plus capable de moderniser la France" (37%), et ayant "le plus de solutions aux problèmes des Français" (36%). M. Sarkozy est également jugé comme celui qui incarne le mieux les valeurs de la droite (37%) et saura le mieux la rassembler (35%).

mercredi 14 décembre 2005

RFI - Dette publique : Le mal français…

On ne nous cache rien. Et on nous dit tout, ou presque... mais avec retard. Il aura fallu attendre, en effet, la décision de celui qui pense, et avoue, que la France vit au-dessus de ses moyens pour se faire une idée très précise de ce que représente la dette publique. Thierry Breton, l'été dernier, avait demandé à Michel Pébereau, le président de BNP-Paribas, un rapport sur les comptes du pays. Il sera présenté aujourd'hui. Des comptes calamiteux avec une dette totale de 1 100 milliards d'euros soit près de 18 000 euros par Français. Un chiffre qui donne le vertige d'autant plus qu'il faut ajouter, les engagements à moyen terme : 900 milliards pour la retraite des seuls fonctionnaires, promesse faite par le gouvernement qu'il faudra bien tenir.


En d'autres termes, ce qui surprend dans ce rapport Pébereau, ce n'est pas tellement le montant du déficit dont on se doutait qu'il avoisinait la somme avancée, mais le fait que le gouvernement ait choisi de communiquer sur ce sujet qui barbe tout le monde et qui se retrouve tout de même placé en tête des préoccupations de nos dirigeants. La dette, c'est ce que l'on doit. La dette publique, c'est ce qu'il faudra rembourser collectivement. La dette, comme dit le ministre de l'Economie, ce n'est pas une fatalité, ce que nous confirmons volontiers : la dette, c'est tout simplement le résultat d'une gestion. Or, en la matière, nous pouvons dire que tous les gouvernements de ces dernières années se sont employés à l'augmenter, trouvant sans doute qu'il est plus facile d'emprunter que de trouver des solutions originales pour maintenir l'économie à flot.



De Pierre Mauroy à Dominique de Villepin la machine s'est singulièrement emballée avec des accélérations quand Edouard Balladur et Alain Juppé étaient à Matignon. Seul le gouvernement de Lionel Jospin est parvenu à faire baisser sensiblement cette dette avant que celui de Jean-Pierre Raffarin, puis celui de Dominique de Villepin, ne la relance à la hausse. Une attitude qui fait dire aux auteurs du rapport qu'il faut rompre avec la facilité. Ce qui annonce d'autres réformes, réformes douloureuses, puisque pour rembourser il va falloir économiser, et pour économiser tailler. Ainsi, se défendant de proposer des mesures de droite ou de gauche, le rapport propose t-il un gel des dépenses de l'Etat, un retour à l'équilibre des comptes sociaux et une mobilisation de l'intégralité des plus-values fiscales.


Un plan d'une durée de cinq ans. Une législature, pendant laquelle la France ne vivrait plus au dessus de ses moyens et montrerait l'exemple en appliquant rigoureusement les recommandations Pébereau. Il en va de la crédibilité de l'action du gouvernement actuel. Désormais, les responsables politiques qui réclament volontiers des comptes sur le passé vont devoir se préoccuper de l'avenir pour de bon et non plus se contenter de gérer à vue en attendant les élections suivantes tout simplement parce qu'en se ruinant, l'Etat nous ruine...Cela annonce sans doute la fin de l'Etat-providence, la fin de l'Etat-infirmier, la fin de l'Etat-entrepreneur, la fin de l'Etat-commerçant, qui, comme le disait un historien de la troisième République, gère selon des méthodes qui conduiraient immanquablement un particulier à la faillite. Nous y sommes.

Patrice Biancone

mardi 13 décembre 2005

Silicon.fr - 'L'homo-informaticus' est un grand malade du mail

Clavier soudé à la main, et regard fixe tourné vers l'écran cathodique, l'homme d'entreprise moderne est soumis à la pression du jeune greffon : le mail, du moins quand il n'est pas caché sous son bureau lors de l'affichage de la maudite boîte

Par Arnaud Dimberton


Dans son étude, Symantec s'intéresse au comportement des salariés face aux courriers électroniques et ce n'est pas triste. Bilan des courses, quatre profils se dégagent, dépendants, disciplinés, submergés et phobiques.

L'email addiction gagne du terrain. Et Symantec souligne que le phénomène n'est pas prêt de s'éteindre puisque de plus en plus d'entreprises sont accros des mails. D'ailleurs, le volume de mails a augmenté de 41% au cours des 12 derniers mois.

75 % des personnes interrogées déclarent être "dépendantes" de leurs e-mails, 21% avouent même paniquer lorsqu'elles n'ont pas accès à leur messagerie. Enfin, certains utilisateurs déclarent même passer plus de la moitié de leurs journées de travail à gérer leur boîte e-mail.

La messagerie électronique mobilise de plus en plus de temps: 52 % des personnes interrogées déclarent passer deux heures par jour à consulter, répondre et envoyer des mails soit l'équivalent, sur une semaine, d'une journée de travail complète.

15 % d'entre elles déclarent même y consacrer 4 heures minimum par jour. En France, le nombre moyen d'e-mails reçus par jour est de 35, dont 11% de spams, et 7% d'e-mails personnels. 23 mails envoyés par jour en moyenne dont seulement 6% sont des messages personnels. Ce qui contredit une récente étude de Mirapoint et Radicati Group qui révèle que 25% des mails en entreprise sont personnels (voir notre article).

Cette dépendance rallonge la journée de travail : 54 % des employés sondés consultent leur messagerie avant 9h00 (certains même à 6h00) et jusqu'à 17h00 pour la plupart.

Le volume d'e-mails ne cesse de croître : 91 % des responsables informatiques estiment que le volume d'e-mails transitant au sein de leur entreprise a augmenté de 47 % en moyenne ces 12 derniers mois. Ce chiffre peut même atteindre 200% dans les entreprises de 500 employés ou plus.

La messagerie électronique devient un outil incontournable : 74 % des employés utilisent leur messagerie électronique comme un élément à part entière de leur activité professionnelle. Ils programment des réunions, 62 % gèrent leurs listes de contacts, 74 % recherchent des documents et 46 % l'utilisent pour déléguer les tâches aux autres membres du personnel.

Concernant la gestion des messageries, 44% des entreprises françaises interrogées ont mis en place des quotas pour limiter la capacité des messageries électroniques. 48% des salariés français interrogés pensent que la sauvegarde des e-mails est du ressort du service informatique. Et, 42% estiment que cette responsabilité leur incombe.

A propos de l'étude

Commanditée par Symantec, cette étude a été réalisée par Dynamic Markets du mois d'avril au mois de mai 2005, auprès d'entreprises tous secteurs confondus de la zone Europe,Moyen-Orient et Afrique, employant 500 personnes ou plus. Dynamic Markets a conduit 1 700 interviews quantitatives auprès d'employés et de responsables informatiques en charge du système de messagerie électronique de leur entreprise. 15 interviews qualitatives ont également été menées.

lundi 12 décembre 2005

La phrase du lundi

"Chaque jours il y a 30 morts sur les routes...
Moi je roule sur les trottoirs"

--- Willy, qui à toujours une bonne solution,
et qui accessoirement me doit 20€ depuis 4 ans---

vendredi 9 décembre 2005

Propriétaire : un statut réservé aux riches

Quant je regarde ma feuille de paye j'ai pourtant l'impression que je gagne bien ma vie, néanmoins la propriété m'ai interdite, faute de capital hérité de parent riche (grrr pourquoi vous l'etes pas !?)

El, dégouté de vivre en France, trop de travail et pas le temps :o)

mercredi 7 décembre 2005

Brave patrie : La CIA bientôt inscrite sur la liste noire de l’aviation civile

C’est un coup dur pour la CIA, jeune start-up spécialisée dans les liaisons aériennes inter-régionales, qui vient aujourd’hui d’être classée parmi les compagnies « à risque » par la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC), rejoignant en cela ses concurrentes Air Koryo (Corée du Nord), et plusieurs autres entreprises de transport africaines, dont on estime qu’elle ne satisfont pas pleinement aux exigences de sécurité posées par les conventions internationales.

L’inspection surprise opérée par les techniciens de la DGAC a en effet relevé plusieurs graves anomalies techniques dans l’utilisation de la flotte de la CIA, anomalies considérée comme susceptibles de nuire au bon déroulement des vols. Les fonctionnaires de la DGAC aurait ainsi été surpris du « nombre importants d’appareils électriques superflus reliés directement à la batterie ou à l’alternateur de l’appareil, risquant de créer une surcharge lorsque le fer à souder et la fraise de dentiste sont utilisés simultanément ».

Autre source d’étonnement, la présence de nombreuses baignoires dans la soute de l’appareil. Si ce dernier point « n’est pas en soit une infraction puisque chaque compagnie est libre de transporter du fret en plus des passagers, ce fret fût-il composé exclusivement de baignoires » les experts ont toutefois été surpris par le fait que ces baignoires soient ainsi transportées « pleines d’eau ».

Le monde du transport aérien se voit ainsi de nouveau, par l’entremise honteuse de fonctionnaires sur-protégés appliquant des textes liberticides d’inspiration marxiste, privé d’une de ses jeunes pousses les plus prometteuses, et les plus innovantes. Outre le fait que la CIA était la seule compagnie à assurer certaines liaisons curieusement délaissées, comme Aviano/Le Caire, Rammstein/Damas ou encore Langley/Kaboul, la jeune entreprise avait entre autres marqué les esprits par son système très compétitif de miles gratuits dont ses abonnés pouvaient bénéficier dès le premier vol.

Le rapport de la DGAC met en tout cas un terme au projet de liaison quotidienne Abidjan/Camp Juers, qui tenait à coeur à de nombreux bravepatriotes.

Un drame pour la liberté d’entreprendre et l’aménagement du territoire, à n’en point douter.

l’Humanité: L’UMP vers la rupture finale avec le gaullisme - Article paru le 6 décembre 2005

Droite . Aujourd’hui, le bureau politique de l’UMP devrait entériner le principe de la désignation par les militants du candidat à l’élection présidentielle.

Le bureau politique de l’UMP examine ce soir le projet de réforme des statuts, qui rendra possibles des primaires pour la présidentielle de 2007. Point central de cette réforme : permettre aux militants de choisir eux-mêmes leur candidat à l’élection présidentielle. Une réforme à laquelle Nicolas Sarkozy est très attaché. Pas tant que le président de l’UMP veut faire de la démocratie interne une règle de fonctionnement absolue, mais parce qu’il estime que l’immense majorité des 193 000 adhérents de son parti sont acquis à sa cause. Le vote que le président de l’UMP entend mettre en oeuvre doit déterminer quel sera le candidat auquel l’UMP apportera son soutien mais qui selon Renaud Dutreil « n’interdit pas à un membre de l’UMP de se présenter, sans le soutien de l’Union, à l’élection présidentielle ». Mais sans soutien du parti, pas de moyens du parti. Un enjeu de taille puisque les moyens que le parti est susceptible de mettre à la disposition de son candidat sont considérables.

On comprend que les chiraquiens rejettent donc l’idée même de primaires. Leur argument « suprême » : l’esprit des institutions de la Ve République qui place la présidentielle au-dessus des partis. Dominique de Villepin, dauphin putatif de Jacques Chirac et espoir des anti-sarkozystes de droite, l’a réaffirmé lors de sa conférence de presse mensuelle : « Compte tenu de mon engagement et de ma conviction gaullistes, l’élection présidentielle c’est la rencontre entre un homme et un peuple. Je souhaite que cette rencontre soit préservée en ce qui concerne ma famille politique. » Un argument qui peine à convaincre tant l’héritage gaulliste n’est plus qu’un lointain souvenir chez les militants UMP les plus anciens (voir encadré). Quant aux nouveaux adhérents, ils ont rejoint le parti majoritaire sur la base d’un soutien à Nicolas Sarkozy. Fort de cette situation, le président de l’UMP en fait des tonnes en expliquant à ses troupes : « Qui peut penser qu’en 2005 on puisse décider qui vous aurez à l’élection suprême sans vous demander votre avis. À l’UMP, il n’y a pas de petits groupes où on se réunit pour décider dans votre dos. Il n’y a pas d’arrangements entre trop bons amis. » Et pour faire bon poids, il ajoute « ce n’est pas à Jacques Chirac de se mêler du fonctionnement de l’UMP ». Si la réforme des statuts est validée elle sera entérinée par un congrès extraordinaire via Internet dans la deuxième quinzaine de janvier 2006. Un an plus tard, en janvier 2007, les adhérents à jour de cotisation au 31 décembre 2006 auront droit à un vrai congrès pour choisir leur champion.

Nicolas sarkozy

à la manoeuvre

En choisissant de précipiter les choses avec ce bureau politique, Nicolas Sarkozy a décidé de placer le clan chiraquien dans une situation des plus inconfortables. Fort de sa popularité, le ministre de l’Intérieur tente d’imposer au chef de l’État un mode de désignation qui, si ce dernier l’accepte, implique non seulement qu’il ne puisse imposer son dauphin, mais également qu’une hypothétique troisième candidature de sa part soit soumise au vote militant, avec le risque non négligeable d’être battu. Le rabaissant ainsi du statut de président de la République sortant à celui de simple prétendant UMP à l’Élysée. Un camouflet supplémentaire pour une fin de quinquennat qui pourrait être calamiteuse.

Stéphane Sahuc