dimanche 3 août 2008

Pour ceux qui ont encore cette adresse

Sachez très chers lecteurs et lectrices que le site a migré aujourd'hui même de blogger vers un monde meilleurs, à savoir les deux adresses ci-dessous :

www.okedomia.com

ou bien

www.elekentraski.fr

Au plaisir de vous retrouvez pour de nouvelles aventures :o)

--- Eleken,
Un jour du seigneur comme tant d'autres

dimanche 27 juillet 2008

Le fil de l'eau

Au fil de l'eau, mes doigts reposent sur la courbure de la rivière. Il n'y a pas de nuage cette nuit. Les étoiles sont claires et papillonnent dans l'obscurité comme des lucioles d'été. C'est la saison non ? C'est le temps des insectes, la vie et la morts de milliards d'êtres que nous-même considérons comme insignifiants... Que nous ne considérons pas... Tout bonnement. Voilà qui est bien paradoxale. Vivre et mourir. C'est si important pour nous, si important pour d'autres que la vie et la mort de tout ce qui nous entoure nous importe bien peu en comparaison de nos existences de mammifères pensants et parlants. L'intellect... La clef de la stupidité. J'aime à venir ici. Cette odeur, légèrement acre de moisie et de terre qui habite les berges de mai à septembre. En ce lieu qui n'est que dans ma tête... Là où je suis seul, loin du monde, loin de ce monde, loin des autres, loin des problèmes que me procurent la proximité des autres. Paradoxale encore une fois pour un être aussi proche de son ego que moi-même, aussi peu intéressé par le devenir des autres, que de me sentir au final tellement concerné par l'impact de ma personne sur leur devenir à eux... Non ? Le mal que je peux faire autour de moi... Vous ne trouvez pas ? Mais avec qui est-ce que je parle au fait ? Je suis seul ici, dans mon imagination, au bord de cette rivière, étendu sur cette herbe verte et odorante, bercé par le son des grillons, le chant des rainettes, l'odeur du vent, la quiétude de l'immuable voûte d'étoile qui m'apporte la certitude de n'être rien... Qui suis-je en ce lieu où je suis tout ? Précisément ce que je veux être... Rien. Une part de l'univers, une parcelle du néant, un rouage du tout... Une simple pièce parmi des milliards, moi-même étant l'ensemble de milliards. J'aime être cela... A la fois, tout et rien, infini et fini, rêveur et pragmatique... Tranquille... Ici, au bord de la rivière, dans un décor que je n'ai pas connu de ma vie. Des branches basses sur des arbres verdoyants, animées de mouvements si légers qu'ils m'échappent même quand je les vois, des insectes qui courent sur mes vêtements, si légers que je ne les sens pas même en devinant leur présence... Ici, je m'enferme, ce lieu est ma grotte, mon nirvana, mon lieu de repos. Ici je suis dieu, rien, homme, nature, insect et eau... Ici, je suis moi. Pensant et parlant à moi-même. Ici, je suis serein.


--- Eleken,
Il est un lieu où j'aime me rendre qui
n'est pas très loin de moi, mais dur à trouver.

mardi 22 juillet 2008

Il ne pleut plus.

Je regardais au loin et je ne voyais plus rien. Que des cendres. Pas un cris, pas un souffle, pas une fleur, pas un oiseau dans le ciel. La terre brûlée encore fumante laissé s'échapper de son corps des volutes blanchâtres qui me faisait pleurer. J'avançais vers la citée sans savoir pourquoi. Tout était mort à l'intérieur. Je n'ai rien à faire ici me dis-je à haute voix. Et pourtant, je continuais d'avancer. Je n'avais simplement pas encore résolu de faire demi-tour. Malgré la souffrance de la brûlure sur ma peau. Malgré l'absence d'espoir. J'avais voulu rentrer. Alors maintenant, je rentrais, même sachant qu'il n'y avait personne que des cadavres et des souvenirs noircit pour m'accueillir. Il y avait à ma droite un rocher, immuable. Un ancien de ce monde qui surveillait la ville depuis sa construction. A sa manière, je le sentais pleurer. Alors, je m'en suis approchais, j'ai infléchis ma course vers le néant, vers la mort, vers l'agonie que je me promettais d'endurer... Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? POURQUOI ?! Mes larmes accompagnent maintenant le rocher, s'écoule du son flanc et son bu par la terre ébène... Voilà ce qu'il me reste. Des larmes.
--- Eleken,
Ouais, ben le passé, bof, le présent pas mieux,
l'avenir c'est pire (pour la rime)

vendredi 18 juillet 2008

Dans les ombres

Comme une lame sur mon visage,
Cette larme coule sur ma joue,
Une ironie que de devenir sage,
Si c'est pour devenir fou.

Chaque matin je ressens le présage,
Chaque jour je vois les nuages,
Que je n'ai de cesse de redouter,
De cette mort annoncée.

--- Eleken,
aaah, ça soulage d'écrire le matin

samedi 12 juillet 2008

Au fond de moi

J’ai en ce creux un secret,
Qui martèle mes tempes et mon cœur,
D’un soupir qui me fait peur,
Et de cela, fuir et trépasser.

J’aimerais franchir sans mal cette épreuve,
Pourtant chaque seconde est une brûlure,
Une peine qui après chaque heure,
Saigne mes veines et ne laisse que ma blessure.

--- Eleken,
Douce mélancolie, toi qui te cache d'apparence,
Tu n'es pas partie pour autant...

vendredi 11 juillet 2008

Extrait du "Rêve de Maxou"

Et voilà un court extrait (pris au hasard) de la nouvelle que j'ai finit pour mon "groupe d'écriture" et notre 5ème anthologie... Encore quelques détails et complétion (ce week-end) et ce texte sera prêt à l'envoi ;o) :

Pendant quelques secondes, malgré l'incongruité de la situation, malgré le froid et le noir de la nuit, il fut submergé par une bouffé de soulagement. Il en restait, elles étaient vivantes... Il ne les avait pas toutes tuées. La nuée donnait à la nuit un doux murmure, un bourdonnement continu d'ailes réconfortantes. Et puis, bien sûr, la folie de la situation finit par s'insinuer en lui avec une lenteur presque surnaturelle et il commença à trembler de tous ses membres. Comme le signal de départ d'une quelconque course, le son qu'elles produisaient changea brutalement et de doux battement s'amplifia pour devenir un effrayant grondement bas. Dans le même temps, le nuage se condensa pour devenir une masse compacte et vivante de moins de deux mètres de large. Il s'étira en direction de Maxime et plongea sur lui à toute vitesse.


--- Eleken,
Mais qui est Maxou ;o) ?
En attendant, il flotte gouttes et grêlons sur le Lyon de ce soir.


La, Mi, Do, Sol

Hurlement, douleur et agonie,
C'est en La que mon âme se lit,
Une partition d'ecchymoses et de coupures,
Ce n'est pas en Mi que se lit chaque blessure.

Doucement mes doigts fredonnent,
Une mélopée en quête du temps passé,
Ces moments qui saignent et m'abandonnent,
Sur ce Sol où de mon sang je n'ai de cesse de me vider.

--- Eleken,
Qui parfois souhaite une corde,
D'autre fois en veut six ;o)

mardi 8 juillet 2008

Marche

Une grille de fer forgé,
Domine les plaines ombragées,
Qui courent derrière la montagne,
Que les nuages gagnent.

En son sein, coule un ruisseau,
Où naissent pierres et arbrisseaux,
Y grandissent arbres et écumes,
Vers là où se perd ma plume.

--- Eleken,
HS, ça épuise de marcher toute la journée :op

Vieillesse, test1

Le vieil homme se pencha à la fenêtre du troisième étage et scruta l'étang qui avait été creusé cinquante années plus tôt, désormais remplis pour moitié d'eau et pour une autre moitié de vase. Son regard passa de la surface terne sous le soleil hivernal à sa main gantée de noir. Il la leva devant ses yeux et retira le gant, dévoilant sa paume ridée et rugueuse...

--- Eleken,
Petit test depuis mon nouveau EeePC tout nouveau tout beau :p
Et demain, un petit saut à Valence

dimanche 6 juillet 2008

L'homme

Les volutes des fumées s'entremêlent dans le ciel crachin,
Elles tournoient et jouent dans le vent d'automne,
Elles cachent à Dieu, celui qui se dresse, cet homme,
Qui seul se dresse au milieu des tombes, regardant ses mains,
Il y scrute la vie, la mort et la destinée, son chemin,
Bien incapable parmi les ruines et les corps de lire le destin,
Il fouille dans ses poches à la recherche d'une plume,
Car d'écrire, c'est vivre et sur le papier son amertume.

Son regard se dresse sur l'arbre décharné,
Qui surveille l'arrivée de l'hiver de ses branches dénudées,
Il y voit non seulement le mal mais aussi le gibet,
Qui aux dernières pluies déjà s'y dressait,
Il vient alors enfin à me croiser, m'apportant comme l'arôme,
Des fleurs d'un printemps prochain, je le regardais, l'homme.


--- Eleken,
J'aurais bien écrit plus mais je suis épuisé par un week-end à courir :op,
Demain je me lève tôt pour parcourir les rues et flâner,
Même si je trouverai surement encore à être très occupé :o)

samedi 5 juillet 2008

Alive A Die A Samedi

Me voilà enfin arrivé dans la verte contrée,
Bon une douche, je me change (because après 7h de train dont 2h sans clim', je pue :op)
Et je vais en ville manger et faire du manège (puisque calendrier oblige c'est la vogue de Die :oD)
Ah là là, je suis en retard...

--- Eleken,
Mais qu'est-ce qu'il fait chaud dans ce bled

jeudi 3 juillet 2008

Un nuage

Le temps gronde,
Et le ciel larmoie,
C'est l'été que je côtoie,
Et dans la bouche ce goût immonde.

Celui du sang flétri,
Des veines taries,
J'ai dans la bouche,
Un million de mouche.

Elles battent les ailes,
Hurlent leur kermesse,
C'est là que mon âme se blesse,
Au milieu des cris et des querelles.

Je n'ai pas de passé,
Pas non plus d'avenir,
En ce siècle je suis pire,
Qu'un animal blessé.

--- Eleken,
ça va, ça vient, le moral et comme le temps

vendredi 27 juin 2008

Le SPAM m'a tué


Y a des jours comme ça, où on se rend compte que quelque chose de nuisible devient véritablement un fléau à titre personnel.

Je tiens avant toutes choses à présenter mes excuses à tous ceux et celles qui auraient reçu ce message SPAM (en anglais, déjà ça doit vous interloquer de ma part) en provenance de ma boîte mail, je suis sûr d'ailleurs que vous aurez tous deviné la nature de ce message et compris qu'il n'était pas de mon fait (moche, langue de shakespear, parlant d'une obscure boutique de produit hightech)... J'ai honte pour tous ceux qui l'on reçu, mes amis, mes connaissances et la multitude des inconnus qui se trouvaient dans le lot (Des @ de la CGT par exemple qui sont là pour des raisons que je ne m'explique pas, et une foule de mails complètement farfelu).

Les causes de ce "piratage" de mon carnet d'adresses (d'un email dont je me sert principalement pour récupérer des newsletter et qui heureusement n'est pas mon compte principal ; et avec vraisemblablement un paquet d'email collecté automatiquement par gmail/ou ajouté par le robot de spam va savoir) me restent complètement obscures. Mon mot de passe est loin d'être simple ; Malheureusement, je pense que - comme je l'utilise avec cette @mail pour m'inscrire à tout ou rien - un des sites s'est fait pirater pouvant mettre en corrélation mon @ et mon mot de passe et ainsi accéder à mes infos... Où alors j'ai simplement pas de chance :(

Bref conséquence de ça :
- Modification de tous mes mots de passe mails (je passe à plus de 15c.) et compte divers pour les rendres uniques par site (je vous raconte pas le bordel pour les noter) avec génération via un... heu... générateur :p
- Suppression de l'intégralité de mes contacts dans mes webmails pour éviter que cela se reproduise

Il n'empêche même si les conséquences ne sont pas bien graves, ça m'emmerde profondément. Quand je reçois un spam, c'est un peu comme une piqûre de moustique... Quand c'est mon mail qu'il se retrouve utilisé par des escrocs c'est un véritable coup de poignard. C'est autrement plus rageant et dérangeant. J'espère que tout cela suffira à éviter une deuxième intrusion.

--- Eleken,
Informaticien honteux,
Ah si je croise un jour un spammeur dans la rue,
je vais lui faire passer l'envie moi :op

mercredi 25 juin 2008

CNAM, Examen 1/3 ok



Et voilà, demain le boulot recommence. Ce soir ça s'est bien passé... C'est marrant quand même, je suis inscrit à 3 cours et je ne vais probablement passer que cet examen là. Sinon, voilà ma tête quand je suis au boulot :op fait grace à ce site qui permet de faire sa tête à la mode southpark


--- Eleken,

Déjà fin juin, il fait chaud





MAJ
Modèles pondus par notre ami columboy qui m'ont bien fait rire



MAJ

Un petit autre de moi spéciale dédicasse :op



samedi 14 juin 2008

Croquis, guerrier


--- Eleken,
Par ailleurs, je sors de la séance de "phénomène"...
Et va t'en dire s'il est bon ou non, dure question.

Noir ou blanc

J'ouvre les yeux.

Mes yeux sont ouverts.
Mais que voient-ils ? Qu'est-ce que je vois ?

Du noir, du noir partout, je ne vois rien... Je ne sens rien... Une tache plus clair, tout est flou. Où suis-je ? Je commence à me rappeler. Une lumière étincelle au-dessus de moi, s'étoile, me force à bouger la tête. J'ai mal au yeux... J'ai l'impression que mon cou est en bois et qu'il craque lorsque je le bouge avec difficulté. Je suis allongé sur le dos... Comme collé au sol, je n'arrive pas à décoller les épaules... Je me rappelle. J'ai terriblement soif. Je suis allongé sur le sol. Je ne vois que tu noir autour de moi. Des façades noires, une rue noire, une nuit noire. Un flash blanc m'aveugle, rend tout lumineux, uniforme. Je ne vois rien que du blanc... Et puis, à nouveau, tout est noir. Pas sombre, noire, obscure, infinie, dense, palpable, noire. Une nuit noire... Mon dernier souffle. Une nuit noire, je bouge mes doigts vers cette partie de mon corps qui ne semble plus exister... Existe-je encore ? Mon ventre. J'ai mal. Je ne sais pas si je pleure, mes larmes mêlées de la pluie qui frappe mon visage. Pas de douleur, mais de quelques chose d'infiniment plus douloureux. Un rugissement terrible fait frémir mon corps et m'arrache un gémissement qui s'éteint doucement. C'est le tonnerre. Il y a eu l'éclair. Il y a le tonnerre. Lequel est pire ? L'un m'aveugle, l'autre m'assourdit, les deux me séparent de ce monde. Je suis entre ciel et terre, entre supérieur et inférieur, entre paradis et enfer, en noir et blanc, entre mes mains de Dieu et du diable. Mais je n'ai pas de degré d'acceptation, pas de nuances dans cet univers qui m'aspire en cet instant.... Je suis mourant. Pas de gris, pas de rédemption. Seulement le noir.

Je retire mes doigts de mon ventre et les ramènent devant mes yeux. Je vois clairement mes poignets blanc aux veines saillantes d'ombres obscures, mais mes doigts sont absents... Ils sont complètement noirs, rendu invisibles sur fond noir. Ils sont couverts de mon sang. Le sol sous moi est si confortable, toute envie de me battre contre ma mort qui s'approche s'envole de moi. M'échappe... Ma vie m'échappe... Et je suis là, sur le sol, mourant, sans faire le moindre effort pour vivre... C'était un coup de couteau je crois... Un coup... Pour te protéger, pour te défendre... Qui t'as voulu du mal ? Qui t'as donné ce coup ? Je ne l'ai même pas vu dans le noir. J'ai juste pris le coup. Et maintenant mon sang se refroidit tandis qu'il s'échappe de la plaie qui béait sur mon abdomen. Où es-tu maintenant ? Quelque part, répandant des larmes pour l'homme qui se soir meurt dans la nuit... Que la mort m'apparaît comme sereine en cette minute où je m'abandonne au Dieu miséricordieux qui m'accordera la rédemption, l'oubli, le néant, le pardon. Je n'ai pas été un honnête homme durant ma vie, j'ai fait beaucoup de mal, mais je suis heureux de mourir comme ça... Même si je suis seul cette nuit ? Où es-tu ? Je n'arrive plus à presser mes mains sur mon ventre et je les sens glisser jusqu'au sol où elle demeurent inertes. Je ne sais même pas si je respire. Je n'entends rien. Le noir est si calme. Je ne sens plus rien.

Un pétale s'envole dans le vent. Il vient de ma main entrouverte. C'est ton pétale. Celui de ton amour que tu m'as donné ce soir. J'essaye de bouger les doigts, mes le pétale s'envole... Déjà je ne le vois plus. Il était scintillant, blanc, noir, blanc, noir... Il palpitait dans le noir. Il s'est envolé... Mais il n'y a que le pétale qui se soit envolé. Ce que je ressens est toujours là. Je suis toujours là. Muré dans le silence par la faiblesse, par la nuit, par le noir. Je ne verrais peut-être plus jamais le jour. Je serais mort avant... Mais le jour existe encore...

Et tout à coup, je ressens tes lèvres sur les miennes. Doucement, du bout des tiennes, tu éfleures les miennes. Ce n'est pas un long baiser. Il est bref, mais emplie d'affection. Doux... Sensible... Bon... Il me réconforte... Mais déjà tu as disparue... Déjà tu n'es plus... A peine frôlées, déjà envolées... C'est moi... Je suis mort... Mon ange est venu me chercher... Ma vue... Le noir... Presque... Quelque chose bouge et glisse vers moi... Flotte vers moi... J'aimerais tellement tendre les bras vers lui... J'éprouve de la joie de le voir... C'est le pétale... Ton pétale... Il redescend sur moi... Et se dépose sur mon visage... Ton baiser... Mon ultime pensée avant de sombrer... Ce pétale... Qui symbolise tout... Qui contient tout... Ta douceur... Ta joie... Ta présence... Ton amour... Tu es le pétale... Je suis ce pétale... Venu m'accompagner... M'aider... Mon ange revenu... Je m'élève... Aspiré vers autre chose... Je ne suis plus... Qu'un reflet de ce que je suis encore... Je sombre... Un reflet vivant... Un corps mort... Le moment de savoir si je suis noir ou blanc... Je m'accroche un instant à ce monde...
A toi... Au pétale... Que j'aime.


--- Eleken,
Un vendredi entre noir et blanc, tendance gris sombre

lundi 9 juin 2008

Bricolage sous Audacity quand j'ai pas le moral



Sous audacity, j'ai mixé 2 petites impro vite fait comme ça et sans inspiration... Sans même faites pour être misent ensemble d'ailleurs, le rendu et à peu prêt nul, mais c'est pas le sujet (guitare même pas accordée, c'est dire si le résultat m'importe peu)

--- Eleken,
Voilà bricolé en 10 minutes, enregistré en moins de temps à l'aide d'un pauvre micro avec plein de bruit... C'est nul, ça pu, mais bon, ça me détend de faire ça... Je vous raconte pas les aigreurs d'estomac que je me tape

...

En moi coule le sang de l'infamie,
La lame sur mes veines je supplie,
Qu'un ange vienne m'empêcher,
Qu'un diable vienne me mépriser.

Je demande au temps sa clémence,
A mon esprit la démence,
Souffrir cette nuit dans le noir,
Suspendre ma vie dans le miroir.

--- Eleken,
Lundi a un goût de terre... Rien n'est simple ici bas

dimanche 1 juin 2008

Ma-Mane, Le film


Un petit dessin ce dimanche, Et non, ce n'est pas le 4eme volet des aventures de Spiderman, mais le 1er de sa spin-off, Ma-mane, le charaignée (parce que le 3 était trop nul :op) dans son superbe pyjama rouge et bleu
--- Eleken,
Mais qui se cache sous le costume ^^

jeudi 29 mai 2008

Une plume


Sur une branche,
Chante les louanges,
Un oiseau canaille,
Du plumage s'égaille.

En compagnie de la feuille,
Le vent vient à le porter,
Au ciel il se promène,
Menant sa vie de bohême.

--- Eleken,
Mais pourquoi faut se lever le matin !!! :op