dimanche 31 décembre 2006

Un rêve qui a froid

Sous la tempête glaciale,
Se cache un tendre animal,
Qui dans le froid a peur,
De la mort et du malheur.

N'oublis pas petite chose,
Que l'amour est en prose,
Que le temps amène l'été,
Et le vent la douceur des blés.

--- Eleken, dimanche mélancolique,
le pays s'en va

samedi 30 décembre 2006

Hiver du moment

S'éteint la chaleur du moment,
Sur un doux lit de braises,
Un bon goût d'un autre temps,
Pour un retour à la glaise.

Du départ il y a une arrivée,
Et derrière la ligne la destinée,
Mais où voler quand le vent souffle,
Si ce n'est bien au chaud dans ses mouffles.

--- Eleken, le chauffage mes parents connaissent pas

vendredi 29 décembre 2006

Ne pas oublier de rêver

Toi sur un balcon de nuit,
Dans l'attente sous la pluie,
L'ange de la mort arrive,
De ses baisers tu t'enivre.

Fatale sera cette chute,
Dans le vide si tu ne lutte,
Meurs le soleil couchant,
N'oublis pas mon enfant.

--- Eleken, le retour au boulot approche

Rêve en chaleur

Au creux du petit matin,
J'ai joué un jeu malin,
Une rumeur d'un refrain,
La clameur du coquin.

Sous la couette j'ai vu,
Le petit bout tendu,
Cette drole d'arrogance,
Pour un petit peu d'enfance.

--- Eleken, faut bien se détendre un peu :oP
... hum

jeudi 28 décembre 2006

Hiver ignorant

Je contemple à l'aube,
Le temps et sa robe,
Dans l'air froid de l'hiver,
Se dresse un arbre vert.

Au dessous des terres gelées,
Se presse un prince ailé,
De mille feux il se consume,
Son âme brûlé par l'amertume.

--- Eleken, enruh'bé

Rêve sur le sable chaud

Langueur d'un espoir,
S'en est suivi le noir,
La froideur d'une histoire,
Un conte de désespoir.

Reste avec moi enfant,
Je ne suis pas le monstre d'antan,
Juste un ami de passage,
Pour te montrer ton vrai visage.

--- Eleken, sous la pierre se cache l'océan

mercredi 27 décembre 2006

Rêve d'une nouvelle ère

Le temps passe,
Et l'an se dépasse,
Dans les vents la tempête,
D'un sonnet de trompetes.

Arrive donc le moment,
Où nous devrons rire,
Les peurs d'un instant,
Pour une longueur de sourire.

--- Eleken, si le temps est dit

mardi 26 décembre 2006

Froid d'hiver

Sur un sol gelé,
Mon regard s'est porté,
Vers le chemin,
Une destiné de demain.

Je respire le froid,
Et j'affronte sans effroi,
Cet avenir de désir,
Cette passion de saphir.

--- Eleken, maintenant j'attends le printemps

dimanche 24 décembre 2006

Rêve de noël

J'ai rêvé un noël,
Un repas prêt du poële,
Ce rire dans les nuages,
Ton bonheur sans image .

J'hume les sentiments,
D'une ascension de falaise,
Un espoir vraisemblant,
Pour une vie sans malaise.

Le temps de vivre,
Où la passion rend ivre,
Le destin s'affirme,
Sur le passé infirme.

--- Eleken, joyeux nowel
à toutes les couleurs de ce monde

Où je Rêve ?

En ces périodes de fêtes,
J'ai un rêve dans ma tête,
Pas une seconde ne passe,
Sans que le monde ne s'éfface.

Ô mon coeur, cette bataille,
L'intensité d'un feu de paille,
La durée d'une éternité,
Où se trouve être la deïté.

--- Eleken, a retrouvé ses amis ...

jeudi 21 décembre 2006

Joyeux noël... avec un peu d'avance



A tous mes amis, ma famille et autre manteau rouge.

Eleken,
Le B. de N.

mercredi 20 décembre 2006

Rêve du passé

Lorsque que je regardais dans ce Lac,
La douce folie d’une vie en vrac,
Je voyais souffrir la mort dans l’âme,
Une petite, le destin d’une femme.

Alors maintenant que le sang est rouge,
Pourquoi illusionner ce barrage,
Laisser tomber à bas du désespoir,
Alors même que ce temps est espoir.

--- Eleken, je regarde les fêtes arriver

L'hiver arrive

Mon cœur serait en enfer,
Il serait froid comme l’hiver,
Dans les flammes ardentes,
Se dresse une menace patente.

Ma vie serait elle nourrie,
D’une peur éternelle,
Aux neiges je flétris,
Du temps je me querelle.

--- Eleken, 'tain ca pèle

mardi 19 décembre 2006

Les Creatures d'Okedomia

Voilà typiquement le genre de créature qui hantent mes nouvelles et surtout mon esprit malade... Soyez indulgent ce sont des croquis vieux de presque 10 ans que j'ai retrouvé dans un vieux cahier :OP





Eleken,
Je me rends compte que déjà il y a 10 ans j'étais grave :o)

Rouge profond

Dans ce jardin de fleurs,
Belles comme l’amante,
Se lève la lumière éclatante,
D’une vie de joie sans peur.

Sur le chemin de pavés,
Pousse tranquillement le blé,
Tu en fera ton pain,
La douceur comme un refrain.

--- Eleken, pourquoi la pluie quand le flocon

Le bleu des cieux

A mon père le ciel,
Ma mère l'océan,
Je chante le vent,
D'un jour de doux miel.

Bleu comme ses yeux,
Le sang bat le rouge,
Ce gris de mes voeux,
J'ai vu passer un ange.

--- Eleken, il fait beau sur la planète aujourd'hui

lundi 18 décembre 2006

Le rêve pleure

Un écrin de chagrin,
Empreint de tristesse,
Cache les yeux d’une déesse,
Derrière une larme sans fin.

Le temps est au gris,
Comme ses yeux qui sourie,
Le temps passera,
Mais le bonheur reviendra.

--- Eleken, pour une amie.

dimanche 17 décembre 2006

Douceur de rêve

Le monde de raison,
Est décédé de passion,
Au tournant d’une route,
Qui met fin au doute.

La vie comme une fleur,
Le temps venu sans peur,
Sur le chemin de pétales,
Un sourire de métal.

--- Eleken, retrouve le goût de regarder le ciel

vendredi 15 décembre 2006

Rêve léthargique

Aux temps arrêté,
De cette vie de papier,
Je sens en moi le cœur,
D’un oiseau de douleur.

Mon espérance du passé,
Se transmet dans l’avenir,
D’une enfant à venir,
Un doux rêve caressé.

--- Eleken, récupère doucement mais surement

jeudi 14 décembre 2006

La bouteille

Les pas lourds et pesant du Boucher résonnaient sur le sol en béton de la pièce. Je me calfeutrais un peu plus dans le petit placard, sous l’évier, dans lequel je m’étais cachée. La peur me prenait le ventre, les larmes brouillaient ma vision du mince raye de lumière qui filtrait à travers la porte. L’odeur de moisie emplissait mes narines, mais elle n’était qu’un écran temporaire face à la puanteur de charogne qui emplissait la pièce à l’extérieur. Le Boucher traine quelque chose sur le sol qu'il soulève en grognant et laisse lourdement tomber dans l'évier au dessus de ma tête. Le bruit produit est un mélange de sons liquides répugnants et d'un choc violent d'un objet dur contre la tôle.
Je n’ai aucun souvenir de la manière dont je suis arrivée ici. La seule chose dont je me rappel, c’est que mon petit frère a disparu, que je suis partis à sa recherche et que, sans savoir comment, j’ai repris conscience dans ce lieu abominable. Les murs, carrellé de vert, sont couverts de sang rouge et noir mélés à ce qui ressemble à des morceaux de chair. L’air est chaud et saturé d’une odeur immonde de putréfaction. Je suis au milieu d’étagère chargées de bocaux aux liquides troubles brun-vert. La pièce est éclairée par une unique ampoule sale qui donne une lumière désagréable et insuffissante. Un évier et face à moi. C’est à ce moment que j’entends la porte derrière moi s’ouvrir en grincant lourdement. Sans réfléchir, guidé par un instinct puissant, je me suis précipitée sous l’évier où je me cache maintenant...

Extrait du début d'une courte histoire que je viens de commencer appartenant au cycle des rêves et inspirée par une phrase lancée un jour par quelqu'un qui fait des rêves...

Eleken,
Trop fatigué pour écrire 15 pages ce soir ;o)

mercredi 13 décembre 2006

Rêve au matin

Ces moments suppliciés,
Ce sentiment tiraillé,
Au cœur s’en va l’âme,
Du pauvre quidam.

Sur le chemin il ère,
Sur le pavé il sent l’air,
Du temps qui avance,
De cet instant appelé chance.

--- Eleken, je commence à mieux dormir

mardi 12 décembre 2006

Aurore rouge

Il m’a dit un jour d’automne,
Un soir où le temps tonne,
Que la joie était perdue,
Et mort comme le pendu.

Mais alors toi le messager,
Pourquoi cacher le lever,
Celui du soleil vermeil,
Une couleur qu’on appel merveille.

--- Eleken, il fait beau,
j'ai moins mal au bide

dimanche 10 décembre 2006

Rouge sang

Un acte de desespoir,
Une folie noire,
J'ai commis un crime,
Celui qui n'a pas de rime.

J'ai plongé la lame,
Du putride doute,
Dans le coeur et l'âme,
D'une rouge sans route.

--- Eleken, sans espoir, j'ai tué l'espoir.

samedi 9 décembre 2006

Le Rêve que j'ai brisé

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--- Eleken, je n'ai pas encore trouvé les mots pour exprimer ça

Rêve sans espoir

C’est une lutte noire,
Qui me mène au désespoir,
Celle de mon esprit contre mon âme,
Je lâche prise à l’infâme.

De quel droit devrais-je prendre,
Un chemin qui mène à l’enfer,
Alors que chaque jour, t’attendre,
Et comme une coupure de verre.

--- Eleken, un jour j'ai vu mon reflet,
mais ce soir le mirroir est troublé

jeudi 7 décembre 2006

Rêve d'après 3h

A mon cœur défendant,
Je refuse le guet-apens,
D’une âme fortuite,
Perdue dans la fuite.

Mon esprit brille,
Comme la sobre coquille,
D’un oiseau de paradis,
Volant au enfers verdis.

--- Eleken, faudrait voir à consulter quant même

mercredi 6 décembre 2006

La blague du jour

Un p'tit lapin qui court comme un dingue dans la savane, il court, il court , il court, et tout à coup, il tombe sur un éléphant en train de sniffer de la coke.
Affolé, il lui dit:
-Ami éléphant ! Que fais-tu ? Lâche ça tout de suite, c'est pas bon, la drogue ! C'est très très très dangereux ! Viens plutôt courir avec moi, c'est bon de courir, pose ça et vient !Convaincu, l'éléphant lâche sa coke et suit le lapin.

Le lapin et l'éléphant courent super vite dans la savane, et en chemin, ils rencontrent une girafe qui se roule un gros pet. Le lapin s'indigne:
-Amie girafe ! Mais que fais-tu ! C'est pas du tout du tout du tout bon pour la santé ce que tu es en train de faire ! Lâche ça de suite et viens plutôt courir avec nous !La girafe les suit.

Le lapin, l'éléphant et la girafe courent comme des oufs dans la savane quand soudain ils croisent un lémurien en train de sniffer du poppers. Le lapin se met à hurler:
-Ami lémuriiieeen ! Arrête de sniffer ça tout de suite ! Ca va pas ou quoi?
Tu ne te rends pas compte, c'est hyper mauvais, c'est de la drogue !
Traumatisé, le lémurien lâche sa bouteille de poppers et se met à courir avec nos compagnons.

Le lapin, l'éléphant, la girafe et le lémurien courent comme des cinglés dans la savane et tombent nez à nez avec un lion, en train de se faire une piqûre d'héro. Le lapin pète un câble:
-Ami Lion, c'est pas possible ! Te rends-tu comptes que tu es le roi des animaux, tu devrais donner l'exemple, et là que fais-tu ?!Tu te drogues ?
Ressaisis-toi ami Lion ! Viens courir avec nous, c'est bon pour ta santé !
Et là, le lion lui décroches une grosse mandale.
Scotchés, l'éléphant, la girafe et le lémurien s'écrient :
-Mais, ami lion, qu'est ce qui te prends ?!! Pourquoi frappes-tu l'ami lapin ???
-Ce p'tit con, à chaque fois qu'il prend de l'ecstasy, il me fait courir pendant des heures comme un connard dans toute la savane !


--- Proposé par Fk

lundi 4 décembre 2006

Rêve du bout des lèvres

La goutte tombe,
Sur la sombre retonde,
Des yeux elle est partie,
Les cieux elle attendrie.

Mais pourquoi fuir petite,
Cette promesse de satin,
Un jour tu regarderas ce mythe,
Et tu pleureras tout le matin.

--- Eleken, ... de plaisir ou de regret ?

dimanche 3 décembre 2006

Rêver une seconde

Au coeur d'une seconde,
Se cache tout un monde,
De rêve et d'obsession,
De désir et de passion.

Alors, toi le vieux prêcheur,
Sous le couvert de la raison,
Passe ton chemin sans floraison,
Laisse moi cette douce fraicheur.

--- Eleken, le temps passe mais ne trébuche pas

samedi 2 décembre 2006

Et si je me faisais tatouer cela sur l'épaule ?


La base est un point d'interrogation symbolisant mon questionnement sur le sens de ma vie, la forme finale est celle d'un dragon, l'animal mythologique que je préfère à cause sa puissance destructrice et son intelligence prédatrice extrème (tout moi quoi).

Eleken,
Something in me must come from my deeper mind.

jeudi 30 novembre 2006

Rêve en fuite

Au coeur qui souffre,
Je cris je souffle,
Un murmure de pensée,
Un instant trépassé.

Dans ta fuite tu perds,
Ce sentiment dans l'air,
Ce bien être ressentit,
C'est la seul chose qui fuit.

--- Eleken, j'affronterai ma vie jusqu'à l'agonie.

La phrase du jeudi

"Ma vie prendra fin comme elle a commencé,
dans les cris et les larmes."

--- Eleken, ... sans famille

mardi 28 novembre 2006

La video du mardi



Eleken,
Bah faut bien rire non

Un rêve triste

Du trentième étage,
J'ai laissé mon cœur aux nuages,
Le regard dans les étoiles,
Cette vie où j'ai mal.

J'ai ri de cette existence,
Alors maintenant je la quitte,
Par un soir de violence,
Je te dis oublis moi vite.


--- Eleken, se meurs les hirondelles,
Partout les fleurs attendent,
Le tempo va crescendo

dimanche 26 novembre 2006

Un nouveau petit croquis pour mon tome 3



Attention, dangereuse quant on l'énerve... Pour ceux qui ne l'aurait pas compris, c'est du sang humain sur les lames de ses "ailes". Elle les contrôle grace à des articulations hydrolique mues par son pouvoir.

Eleken,
Je me crée des ennemis de plus en plus puissant... Je finirai par en mourrir.

Rêve en douceur

Au soir de la solitude,
J’ai rompu l’attitude,
Celle de me confondre,
Et de mon cœur fondre.

J’arrête le passé torturé,
Pour me tourner vers l’avenir,
Laisser au deuil du souvenir,
La clarté du phare aimé.

--- Eleken, je préfére mourrir vieux et mourrant,
Que jeune et en bonne santé...
Moins de regret ;o)

Vive le soleil... et le pastis !




Eleken,
Sudist homeless

samedi 25 novembre 2006

La phrase du samedi

"Vis ta vie pour toi même,
Et pas pour les autres,
Sinon autant mourrir car tu n'existe pas "

--- Eleken, Errarum humanum est

vendredi 24 novembre 2006

Rêve au lac

Au parcours d’un moment oublier,
J’ai vu se vider le sablier,
Comme une ancre plantée,
Le temps s’est arrêté.

Je suis donc le vilain marin,
Qui sans port ni attache,
Se porte sans relâche,
Sur l’avenir du lendemain.

--- Eleken, je n'oublis pas de rêver.

jeudi 23 novembre 2006

Rêve angoissé

Dans un lac de feu,
Je me suis consumé,
Pour un petit peu,
J'aurais pu aimer.

Mais le temps appartient,
A celle du matin,
Dans le creux de ses bras,
La place me manque déjà.

--- Eleken, en proie à l'angoisse

mardi 21 novembre 2006

Rêver dans les nuages

La tête dans les nuages je rêve,
Comme un combat sans trève,
Je vois le soleil se levé le matin,
Me promettre de meilleurs lendemains.

Mais j'ai froid aux mains dans le parc,
Chauffe la flamme dans les yeux,
Le passage d'un éclair en vrac,
D'une douce mélancolie je le veux.

--- Eleken, en proie à la fraîcheur de l'hiver

lundi 20 novembre 2006

Fillette

Voilà le petit texte du jour que l'on peux tout juste classé dans la nouvelle du fait de sa taille extrémement réduite... Mais bon, hier j'avais un peu d'inspiration et de motivation dans l'écriture.

Voici donc la mise en scène d'une petite fille tout ce qu'il y a de plus normal, si ce n'est un petit côté particulier que je vous laisse découvrir.



Eleken,
Qui a besoin d'un exorciste

dimanche 19 novembre 2006

Au lendemain souvenir

Je n'ai pas vu venir,
Ce lendemain solitaire,
Un chien sans réverbère,
Le désert devenir.

Alors que les souvenirs,
N'ont aucun avenir,
Ne pas laisser au passé,
Et un avenir de pensées.

Tu es donc partie,
Mon ancienne amie,
Je reste étrangement,
Avec un sentiment.

--- Eleken, aujourd'hui le dernier trait est tiré...
Alea Jacta Est

samedi 18 novembre 2006

Rêver de toi

Tes yeux dans les étoiles,
J'ai vu la tristesse noire,
Une souffrance notoire,
Jetée comme peinture sur toile.

Perdu dans la fumée rage,
Mes songes m'ont amenés,
A embrasser la beauté,
De ton regard gris nuage.

--- Eleken, arg, encore une insomnie cette nuit...
Bon ca doit être à cause de la musique de la colloc

vendredi 17 novembre 2006

Rouge

Au centre se cache,
Le rouge d’un couteau,
Glissant sur ma peau,
Le sang de l’archange.

La flamme de ma vie,
Se termine à l’attente,
D’un moment d’agonie,
Cette déesse pénétrante.

--- Eleken, si tu n'as jamais vu de rouge,
comment peux tu le reconnaitre ?

mercredi 15 novembre 2006

Petit croquis d'un tome 3


Redhoreen après avoir retrouvé ses anciens pouvoirs lors de la 3eme réssurection. Elle à l'air un peu malade mais c'est normal. Son âme est partagée entre la fureur de la destruction de sa nature démonoïde et l'amour humain transmit par Eleken (qui à lui même sacrifié une part de son humanité au passage) lorsque ce dernier l'a vaincue 7 siècles plus tôt.

Eleken.

La video du mercredi

Après-midi

Aux vagues des alpes,
Sans ta cape de pape,
Sous le sceau du ciel,
Se terre la sentinelle.

Dans le cauchemar d'une vie,
Il faut bien un jour impie,
Sortir la tête de l'eau,
Et par les cornes le taureau.

--- Eleken, un peu mieux cet après-midi.

mardi 14 novembre 2006

Oubliez moi 5 minutes les gens

Par exemple mettez moi à la poubelle...


... ou faites genre vous m'avait pas vu



Eleken,
J'ai décidé de réflechir à ma vie donc sourriez et faites pas chier ;o)

Noir comme

Ce matin je suis seul,
Perdu dans mes pensées,
Ma vie comme éffacée,
Je porte un triste linceul.

Je n'en peux plus de ces pleurs,
Alors je m'éfface aux rancoeurs,
Je donne ma démission,
A ce monde de passion.

Je m'en vais donc mourrir,
Comme pour ne pas nuir,
Dans l'obscurité du puit,
Le noir de ma folie.


--- Eleken, suicide tendancies

Je suis désolé

Noir comme un Tunnel,
Mon âme est perdue,
Aux enfers éternelles,
Je suis comme pendu.

Je blesse d'ignorance,
Mon coeur déséché,
Je frappe avec violence,
Ceux qui pourtant m'ont aimé.

--- Eleken, ce soir j'ai blessé quelqu'un, je saigne de cela

lundi 13 novembre 2006

Et hop une 601e

"Ce qui est inévitable,
Ne devrait être évité"

--- Eleken, Quant on ouvre les yeux,
on s'aperçois vite que le souvenir n'existe pas

La 600e parole du seigneur

"Si l'enfer se trouvait sur terre,
je marcherais sur des braises."

--- Eleken, je suis emplis de néant et pourtant... mais pourtant...

Rêver l'inévitable

Est-il trop demandé au chat,
De se taire un petit peu,
Arrêter son bleu de mille feu,
Faire taire son tambour plat.

Pourquoi dois-je vivre ceci,
Ce rêve de lente d'agonie,
Pour un peu on me croyrais épris,
D'un chemin de pissenlits.


--- Eleken, le choix c'est le pouvoir, le nier c'est le renier.

Mourir de rêve

Je n'arrive pas à dormir,
Alors je préfère mourir,
Comment périr à petit feu,
Il suffirait d'être heureux.

Un rêve triste et laconique,
Sans saveur de doux alambic,
Dans l'empire mélancolique,
S'y cache un rosaire onirique.

--- Eleken, insomnie chronique

dimanche 12 novembre 2006

Deus Ex Machina

Cette nuit au coeur du rêve,
J'ai songé sans commentaire,
Que le temps est à Eve,
Et pour Adam la terre.

Au vieux paradis perdu,
J'aperçois les anges déchus,
Sur leur trône de souvenir,
Sans aucun avenir.

--- Eleken, les voix du seigneur sont impénétrables...
et sans commentaires

samedi 11 novembre 2006

Lettre à Annia, Samedi 11 Novembre, Empire des Francs

À toi mon amie,

J’ai fait un rêve cette nuit. Première nuit calme depuis bientôt trois semaines où les obus se sont tus et ont laissé les songes s’insinuer à moi. Dans ce rêve, je marchais sur une route de par chez nous, là-bas où il fait chaud. Le soleil était haut dans le ciel et frappait fort. La terre était brûlante tout comme l’air qui ondoyait de tous côtés. Je marchais néanmoins gaiement dans cette fournaise, car je savais que ce qui m’attendait au bout du chemin, c’était ma maison. Je t’ai alors aperçue de l’autre côté de la route, tu marchais dans le même sens que moi et tu ne m’avais pas encore aperçue. J’ai pressé le pas pour essayer de te rattraper, mais plus j’avais l’impression de me rapprocher plus je m’apercevais que tu étais éloigné de moi. Un sentiment de détresse s’insinuait en moi. Je criais ton nom, hurler à ton encontre, mais tu ne réagissais pas, tu n’entendais pas… Et puis tu as disparu. J’ai su alors, que je t’avais perdu à jamais et que même si je rentrais jusque chez moi, tu ne serais pas là à m’attendre sous les tilleuls de notre enfance. La table à l’ombre serait vide et ne me fournirait que la mort. Ce rêve m’a ouvert les yeux. J’ai compris que ma place n’était pas ici mais à tes côtés maintenant et tout de suite, que je ne pouvais plus me permettre d’attendre que les événements nous rapprochent, que cette guerre se termine, mais de faire le chemin moi-même.

Ton absence me brûle comme les flammes de l’enfer. Je lutte chaque jour pour survivre, mais pourquoi, si c’est pour vivre loin de toi ? Je veux rentrer, je veux te serrer dans mes bras. Je veux arrête de souffrir chaque matin, chaque jour, chaque nuit de ton absence. À tout instant de ma vie je pense à toi, je rêve de toi. Parfois je ressens douloureusement ta présence dans mes pensées et ton absence à mes côtés, je ne peux alors contenir mes larmes qui ruissellent le long de mes joues mal rasées. J’aimerais tellement te voir et toucher ta peau, sentir ton odeur. J’ignore si tu ressens pour moi le même manque ou si j’appartiens au passé, si mon absence t’est douloureuse comme celle qui m’enserre le cœur dans un étau de braise, mais je ne saurais continuer à vivre dans cette ignorance.

J’ai décidé de déserter, de quitter le droit chemin qui m’est imposé par la patrie. Je te veux toi, et nul devoir ne me détournera de toi, nulle armée ne m’empêchera de rentrer à tes côtés, nul mot ne me convaincra du contraire, nul homme ne pourra m’arrêter.

Te revoir au moins une fois avant de mourir, de vieillesse ou au peloton car je n'ai plus besoin d'écrire ce que je ne pouvais te dire, ces questions que je laissais sans réponse. Maintenant je peux le dire, le crier, le murmurer ou le hurler s’il le faut... J’attends pour cela d’être à tes côtés. Mais sache-le, oui sache-le.

En mettant tous mes espoirs dans nos retrouvailles, j’espère que tu m’as attendu,
j’espère que tu m’as entendu. Ton dévoué et ami,

Alexis.

(MAJ)Impro du samedi matin

(MAJ) Julien tiens à dire qu'il ne cautionne absolument pas mes "merde du matin" ;) il trouve que je joue beaucoup mieux le soir et que ca c'est tout juste bon à lui faire honte... Rire au moins avec toi je sais toujours quel est mon niveau (dans 10 ans j'arriverais à faire un bon morceau je perd pas espoir :P)

Pour les gens tristes du jour :





NB : Ok ca sature un peu, saloperie de webcam :(

Eleken,
Bon une intro, un milieu, me manquera une fin et des paroles :P

vendredi 10 novembre 2006

Rêver seul

Dans le milieu de la solitude,
Se trouve une force rude,
Un drôle de joli sentiment,
Qui fleur bon le mensonge patent.

On te dit de vivre comme chacun,
Mais il n’y a là qu’une faiblesse,
Qui prendra vie et tendresse,
Te tuant comme commun.

--- Eleken, le seul bon conseil et celui que tu écoute

jeudi 9 novembre 2006

Spéciale Dédicasse


Eleken,
Qui va se prendre une raclé demain au taf ;o) pas grave je vais me coucher :OP

mercredi 8 novembre 2006

Une trève dans le rêve

Au cœur du matin,
Je me suis réveillé avec un refrain,
Celui du petit train,
Qui me mena au lendemain.

Aujourd’hui c’est seul,
Que je porte le linceul,
Celui du jour d’avant,
Perdu aux ancien temps.

--- Eleken, à l'aube caustique

lundi 6 novembre 2006

Moi, Joseph

Et voici mes très cher lecteurs mon dernier petit texte en date. Inspiré par une situation de guerre que nous avons tous apris dans nos livre d'histoire et aidé dans cette description par une ancienne expérience personnelle (cf. les remerciements)




J'ai connu un Joseph il y a quelques années, malheureusement maintenant il est mort. Je te dédis ce petit écrit car tu étais quelqu'un de bien qui ne méritait sans doute pas cette mort là.

Eleken,
Les jours avancent mais la mort, elle, ne recule pas.

Rêver d'être

Quelle chose gronde en ces lieux,
Qui n’est pas un puissant dieu,
Juste un être des souvenirs,
Chargé de construire un avenir.

Au fond il n’y a que du sable,
Celui des larmes qui m’accablent,
Dans l’obscurité de mon esprit,
S'y cache le petit à l’agonie.

--- Eleken, mes jours sont comptés.

dimanche 5 novembre 2006

Rêve d'insouciance.

Au bord d’une ancienne l'arrogance,
Je m'octroie patiemment un temps,
Pour me dire que l’univers danse,
Et m’éclairer de surprise d’avant.

Sur le rivage d’un lac ancestral,
J'ai connu un être fait de dentelles,
Un souvenir de vague rebelle,
Entravée de noirceurs métal.

--- Eleken, sombre dans la lumière sous la couleur du nuage

samedi 4 novembre 2006

Rêver de lumière

A toi, l'apprendie de l'épique,
Qu'est-ce donc que tu revendique,
Serait-ce donc une chandelle,
Que tu point du bout de l'aile.

Donne moi le temps de choisir,
Entre la voie, la voix et le pire,
Apporte un peu de patience,
A cette solution sous surveillance.

--- Eleken, qui est "il" ?

vendredi 3 novembre 2006

Arrête de réver

J’ai vu le meurtre dans ses yeux,
Au fond de la couleur du bleu,
Senteur d’un printemps de lys,
Des larmes douces d’un caprice.

Du sang dans mon cœur ivoire,
Ce chemin ne mène pas au bonheur,
Détourne toi du mal de gloire,
Tu n’y trouveras que du malheur.

--- Eleken, comme toi, j'aurais une fin

jeudi 2 novembre 2006

Un chapitre sorti du placard

Parfois je dépoussière mon disque dur et je tombe sur un vieux truc, un début de texte inachevé, bla bla bla... Voilà donc le 1er chapitre d'une nouvelle post-apocalyptique qui restera probablement inachevée :oP

Lorsque les ressources naturelles sur laquelle reposait l'industrie humaine s'épuisèrent, la grande famine arriva, précurseur de la grande guerre qui acheva de replonger l'humanité dans un nouvel age peur et de souffrance.

Livre d'Alessanry,
chapitre 3, verset 14

Dans l'allée, précédant le trône du représentant terrestre de la toute puissance d'Ala, dans une sombre antichambre, le duc de Varzo s'agenouilla.

« Redresse-toi, je t'en pris. Tu dois te demander quelle est la raison de ta convocation au siège Éternel du pilier lumineux... je le vois dans tes yeux, n'ai aucune craintes »

- Oui, imam suprême Karthum

- Je t'ai appelé, Leiopol mon ami, pour te confier une mission

- J'accomplirai vos ordres imam » répondit immédiatement le duc, pliant ostensible le cou.

« Pas mes ordres duc. Ceux du Pilier lumineux. Ceux d'Ala »

Bien que le ton de la conversation n'ait pas changé, Leiopol su que sa réponse n'avait pas le but d'apaisement escompté et que l'imam risquait de le punir pour ce qu'il considérait comme un affront au Pilier.

« Vous êtes la voix du grand pilier, imam, vos ordres sont les siens. »

Le duc pensait que cette flatterie suffirait à apaiser l'imam. En vérité, il doutait fortement de l'existence du pilier, ou du moins il doutait fortement de sa relation avec l'imam deopère qui se tenait devant lui.

« Tu as raison mon ami. Que le pilier t'abrite. » Dit l'imam en se esquissant un sourire rassurant.

Il s'avança d'un pas vers le duc, seulement deux mètres les séparaient maintenant.

« Quel Âge as-tu mon ami à ce jour ? 45 Ans ?

- J'ai 43 ans, Imam suprême.

- Tu es un guerrier expérimenté et sage. C'est bien d'un homme comme toi dont le Pilier a besoin. »

Puis continuant sur sa lancée.

« Il te reste encore une vingtaine d'années avant de rejoindre tes ancêtres dans la cité paradisiaque de Salomon.

- Je respect les principes et ordres du Pilier dans l'espoir d'être digne de cet honneur, Imam.

- Tu es un bon Musul. Les portes de Salomon te sont ouvertes, soit en sûr.

- Vous me comblez de bonheur par ces paroles, Imam. »

Leiopol s'impatientait un peu de ne pas savoir à quelle mission l'imam voulait le confronter. Le fait qui tourne si longtemps autour du sujet l'inquiété, mais il ne pouvait poser la question sous peine de châtiment mortel immédiat.

« Ala, m’a parlé... Et il m'a dit que les humains sont prêt de retourner au jardin d'Edin, qu'ils ont payé leurs dettes envers lui et que bientôt les portes de Salomon s'ouvriront devant chaque homme qui naîtra. Il m'a dit... Que le purgatoire terrestre n'est plus nécessaire au bon Musul, que seul les inférieur Créti, youf et toutes les âmes païennes qui marchent à la surface de ce monde brûleront sous les feux de Soleil jusqu'à la fin des temps.

- Imam, que dois-je faire pour aider le Pilier dans son dessin ? » dit Leiopol, espérant par là, accélérer la révélation de sa quête sans pour autant que l'imam s'offusque de son manque de patience et la prenant pour de la dévotion.

« Ala, le tout puissant Pilier de la lumière sur terre, me l'a aussi révélé. »

L'imam pris son temps, afin de donner plus de force à sa déclaration, bien qu'a l'Évidence le duc fût déjà pleinement dévoué à sa cause et prêt au sacrifice.

« Ala te demande... d'aller au centre des terres maudites. Dans la cité de Berilin. Là tu trouveras un temple nucléaire, profondément enfuis sous les terres. Et dans ce temps, tu trouveras un outil de notre tout puissant Pilier. Un artefact puissant forgé de sa main même, dont il a besoin pour anéantir les impies et ouvrir les portes ici même sur Terre. »

Leiopol n'avait pu s'empêcher de pâlir en entendant cela, car les terres maudites sont le territoire des Webbers, d'énormes démons araignées mortelles pour tout homme s'avançant en leur territoire.

« Je vois la peur dans tes yeux mon ami, mais n'oublis pas que le Pilier t'accompagne et te protège dans ta quête. Acceptes-tu la quête que te confie le Pilier ?

- Oui, imam suprême. C'est la joie au coeur que j'accepte l'honneur d'être l'envoyé du Pilier en terres maudites. » Répondit Leiopol, sachant bien sûr qu'il n'avait pas le choix. Un refus aurait signé l'arrêt de mort de lui-même et de sa famille. Et il préférait mourir en homme fier, qu'en déchu entraînant à sa suite sa femme et leurs six enfants sur un bûché de honte.

- Le Pilier se dresse toujours.

- Le pilier se dresse toujours, imam.

- Et maintenant viens avec moi mon ami, je dois te montrer certaines choses »

Et Leiopol suivit l'imam dans une alcôve qui s'ouvrait derrière le trône. Il faisait bonne mine, mais intérieurement il Était ravagé par le dilemme. Devait-il tenter la fuite au prix d'offrir à sa famille une vie de reclus et de dissimulation qui se soldera sans doute quant même par la mort et la torture ? L'imam s'approcha d'un petit objet demi sphérique que Leiopol reconnus comme un projecteur holo. L'imam posa avec assurance deux doigts sur le haut de l'hémisphère et instantanément des lignes vertes lumineuses jaillir, accompagnées d'un fort bourdonnement électrique, pour former une console de saisie flottant dans l'air.

Il manipula l'interface avec aisance. Leiopol, malgré sa situation, ne pouvait détacher ses yeux des gestes rapides de l'imam, naviguant dans un environnement qui le dépassait. Il n'avait bien évidemment pas d'artefact aussi puissant dans son propre fief, et aucun ne s'exprimait par la lumière. Puis aussi soudainement qu'il avait commencé, l'imam s'arrêta de frapper l'air et se recula.

« Voilà l'objet sacré que vous devez retrouver et ramener ici, mon ami. » Dit-il pendant que dans la pièce grandissait la projection monochrome d'un objet ressemblant à un tube plein avec un creux rectangulaire sur toute une partie, projetant dans la pièce faiblement Eclairée un halo verdâtre.

« Le bonheur de tous les Musuls de cette planète repose sur vous et la réussite de la mission que le Pilier vous à confier ».

Leiopol Était déjà en train de noter mentalement tous les détails de l'holo, une hauteur de 47,3 cm, un diamètre de 23 cm, un poids de 18 Kg ... « au moins cette chose ne sera pas trop dur à transporter... si j'arrive jusqu'à elle. Ala protège moi, je t'en pris ». Pensa-t-il, avant de reprendre. « C'est un honneur que je saurais porter, imam.

- Je ne doute pas du choix de m’a soufflé le Pilier. Tu es la bonne personne »

Après le départ du duc, Moham Karthum, alla se recueillir dans son lieu de prière personnel. Il souriait. Non seulement il savait que ces actes lui permettraient de rentrer dans l'histoire comme le libérateur de tous les Musuls, mais aussi qu'il obtiendrait la récompense ultime pour sa dévotion. Une place à la droite du Pilier. Il Était l'Élu du Pilier, une vie de soumission à l'entité suprême lui avait permis d'apprendre à communiquer, presque avec simplicité, avec son dieu. Il trouvait les bonnes questions et savait interpréter les réponses qui lui assuraient la clémence du Pilier.




Eleken,
Oui je sais je suis un gros sadique ;o)

La nuit je rêve

Arpente le noueux chemin,
Celui qui mène au lendemain,
Là-bas tu y trouveras un refrain,
Du bout des lèvres du chagrin.

Pendant toute la nuit il restera,
Sur le pavé des âmes aux chats,
Dans ses grands yeux brun tu verras,
Le destin d'une femme qui grandira.


--- Eleken, ce qui se cache est visible pour celui qui regarde

mercredi 1 novembre 2006

Extrait du livre de Makrael

Mon père, Eleken était venu en ces lieux d’antique magie pour y trouver des réponses. Mais sur ce lac, il fut confronté à un danger qui dépassait de très loin une attaque des anges ou du fléau d’Anasuma. Il y rencontra une chimère de l’ancien univers pré humain, un artefact d’une magie noire ancienne provenant d’avant le début des temps connu.

Elle avait l’apparence d’une femme humaine, mais son visage ne reflétait que la colère et son regard était de froide pierre. Elle apparue à la surface, marchant sur les vagues comme sur un sol de terre sec. Elle s’avança vers Eleken et le jaugea. Enfin, après avoir peut-être jugé que le lycum devant elle était digne d’intérêt, elle se présenta.
« À toi, celui qui n’es plus humain, sache que tu contemples ce qui est ancien. Sache que tu vois ce que tes yeux ne peuvent voir. Je suis la sorcière du lac de vie. Je suis Redhoreen, la mère des eaux du début. »

Ce à quoi Eleken ne répondit rien d’autre que « Je suis Eleken Traski, fils de Krael et Naroush-Ka Traski, Disciple d’Origon et maître des lycums. Je m’incline devant toi, ancienne de ce monde ». Joignant les actes aux paroles.

Redhoreen sourit de cette présentation, mais ne répondit rien à cela. La surface du lac se mit à vibrer et le vent à souffler.

Après un long moment de silence entre les deux adversaires, couvert par le seul murmure du lac, elle lui donna ces dernières paroles.
« Toi, créature demie démoniaque, puisque tu es appelé à mourir, meurt dignement car tu ne peux pas me vaincre… Tu es né de la pâte des hommes. Je suis née de la pâte des dieux. Soit heureux car je t’accorde l’honneur de mon intérêt »

Alors le combat s’engageât…


Eleken,
Voici un peu de ma mythologie personnelle ;o)

mardi 31 octobre 2006

La phrase du mardi

"Les jours fériés sont faits pour se reposer...
Et ces temps ci j'en invente beaucoup ! "

--- Par une marina très inspirée ;o)

lundi 30 octobre 2006

"Elle" est revenue

Dans le vent qui porte l'aile,
Se forme le visage d'elle,
Cette étrangère de retour,
Comme un nuage de vautour.

Déjà voilà que tu me harcèle,
Tu n'es certe pas l'hirondelle,
Où donc est tu gentilesse,
Celle que j'ai aimé d'allégresse.

Eleken, et la cohabitation recommence.

vendredi 27 octobre 2006

jeudi 26 octobre 2006

mercredi 25 octobre 2006

The last one

mardi 24 octobre 2006

De quoi est fait l'avenir ?

Doux rêve

dimanche 22 octobre 2006

Pause de 4h

Le mot de Castaka

Et l'homme assoifé de lumière s'approcha d'Eleken et lui demanda.
"Lumière, oh lumière dit moi ce qui est lumière car les ténèbres toujours menaces les pêcheurs que nous sommes."


--- Castaka, un fidèle parmis les fidèles

La video culte du dimanche



ou cliquez sur ce lien

Moi j'ai toujours aimé les pare-choc dans baywatch... Mais K2000 ca resté "cool" avec le truc rouge qui bougait de droite à gauche... et de gauche à droite... et de... bref

ELeken,
En révision

Juste un retour

Quant l'anonymat s'ébrèche,
Que la personnalité se revêche,
S'amène dans la lumière,
Ces quelques pensées d'hier.

Cette nuit, où donc es-tu partie,
Elle, toi et toute ta mélancolie,
Cette discussion que j'aimais tenir,
Dans le creux, juste pour la sentir.

vendredi 20 octobre 2006

Les conneries au taf

Voilà un collègue de boulot (un abrutis de kiki) dans un montage photo réaliste plus que véridique... et c'est pas de moi ;o)

jeudi 19 octobre 2006

Le scoop du soir

De source sure (presque) :
Cécile de petit-autocar (hum, censuré pour cause de con dans les tribunaux) met du coton dans son soutif pour la TV... Et que c'est pour ca qu'elle a un décolletée de petit seins super rempli... Bon ensuite c'est pas moi qui l'ai dit et j'ai pas des preuves mais bon... :OP

Bon sinon curieuse épreuves, soit j'ai 2, soit 17 je sais pas... Ce prof est un abrutis.

Eleken,
Fatigué, et ça recommence

Le jour

"Le jour où...
Le jour quand...
Le jour de...
Dans ce monde de vie qui trépigne,
j'essaye tant bien que mal de faire un pas"

--- Eleken, un jour j'ai fait ce choix d'assumer mes choix

mercredi 18 octobre 2006

Exam à J-1

"S'il pleut en enfer,
c'est que ca doit pas être si terrible"

--- Eleken, à choisir je préfére le cyanure

Lettre à Ania, Mercredi 18 Octobre, Empire des Francs

Et si…
Et si le monde était d’une beauté à vous couper le souffle.
Et si la vie était une plénitude de bonheur.
Et SI cette guerre n’avait jamais existé…

Je me suis promis chaque jour de ne t’envoyer que de belles nouvelles, d’heureuses diatribes et doux poème… Mais où dans la mort, la destruction, la charogne et la violence puis-je trouver la force d’une phrase qui n’en parle pas. Je sais que je t’impose ma souffrance et mon malheur par ces mots, mais sache que l’exprimer, savoir que quelqu’un, de cet autre univers qui fût le mien, lit mes lettres me permet de survivre à cette folie qui s’insinue chaque fois un peu plus jusqu’au fin fond de mon esprit tourmenté.

Comment ? Pourquoi ? Pendant encore combien de temps ? Ce sont les questions qui se rapporte à ma propre survie, celles qui me taraudent chaque jour où je me réveil sur mon lit de boue, dans ces vêtements trempés de sueur et de pluie que je porte sans les quitter depuis maintenant six jours de progressions continue. Le grand commandeur nous envoi des visio-messages réconfortants, nous encourages, nous dit que nous progressons rapidement sur les lignes ennemies et que, bientôt, le combat sera gagné… Que notre « grande » nation sera lavée de l’affront que nous a fait la république germanique. Mais je doute. Oui je doute que nous soyons lavé de l’affront d’avoir déclenchée cette guerre pour seulement cela. Un affront qui en lui même n’avait couté la vie que de quelques centaines de personnes. J’ai vu un millier de mort depuis que je suis ici, je n’ose imaginer le nombre de mort qui comble les fosses dans tout l’empire. J’ai honte pour ce pays auquel je prête mon sang de bien odieuse manière contre ma volonté d’individu.

Mes compagnons de fortune (ou d’infortune) ne sont pas de bien meilleurs humeur que la mienne. Nous appréhendons tous l’arrivé de l’hiver et les conditions dramatique qui vont encore nous tomber dessus. Hier un homme a déserté, Avant hier un autre encore. Celui de la semaine dernière a été retrouvé dans une ferme aujourd’hui. Pour « l’exemple », il a été émasculé devant nous et cinq minutes plus tard, agonissant il a été égorgé… Chaque balles est importantes aujourd’hui… Mais quelle barbarie.

J’ignore si tu reçois mes lettres, je n’ai pas eu de réponses depuis des mois… Mais ma situation avancée dans les lignes ennemies ne permet pas non plus au courrier de circuler facilement. Je ne suis même pas sur que tu es eu les miennes… J’ai espoir, c’est tout, de te revoir et de t’embrasser à nouveau...


...De te serrer dans mes bras et plonger mon âme dans tes yeux.

Alexis.

mardi 17 octobre 2006

J-2 avant Exam

"A se battre jusqu'à la mort...
On finit par mourrir"

--- Eleken, besoin de sommeil

lundi 16 octobre 2006

Rêve de vacances

Horizon de floraison,
Diable de mission,
Où cours tu mon garçon ?
Ecrase les fondations.

La machine à écrit les mots,
Ceux qui te servent de garrot,
À ta blessure de colère,
Se mêle une déferlante amère.


--- Eleken, les révisions ca saoule ;o)

jeudi 12 octobre 2006

le franglais pratique

Vous avez beau vous appliquer, cela ne veut pas rentrer :
impossible de manier la langue de Shakespeare !
Alors ne vous désespérez plus : avec des phrases françaises adaptées,

vous arriverez à vous faire comprendre par les Grands-Bretons !

Etonnant, non ?*

*Comment dit-on en Franglais ?*
*Français
Franglais
Anglais*

Parlez-vous anglais ?
Douille housse pic n'glisse ?
Do you speak english ?

Etes-vous prêt ?
Ail ou radis ?
Are you ready ?

L'addition
Débile
The bill

Félicitations !
Qu'on gratte tous les jeunes !
Congratulations !

Passer un coup de fil personnel
Ma queue perd son alcool
Make a personal call

Plus d'argent
Mors mon nez
More money

Joyeux Noël
Marie qui se masse
Merry Christmas

Nous sommes en retard
Oui Arlette
We are late

Attirance sexuelle
C'est que ça pèle
Sex appeal

Le dîner est prêt
Dix nourrices raidies
Dinner is ready

Fabriqué en France
Mais dîne Frantz
Made in France

J'ai fait un bon voyage
Ahmed a l'goût d'tripes
I made a good trip

Le boucher
Deux bouts d'chair
The butcher

Il parle Allemand
Il se pique Germaine
He speaks german

Tu as sauvé toute ma famille !
Youssef vole ma femme au lit !
You saved all my family !

Asseyez-vous sur la chaise
Six tonnes de chair
Sit on the chair

Le sel et le poivre
Sale teint de pépère
Salt and pepper

Né pour perdre
Beaune - Toulouse
Born to loose

Je cuisine
Ame coquine
I'm cooking

Epicerie fine
Délicate et saine
Delicatessen

Où est l'épicier ?
Varices de grosseur ?
Where is the grocer ?

Donne-moi de l'argent !
Guy vomit sous mon nez !
Give-me some money !

Prendre le train
Toute ta queue traîne
To take a train

Des glaçons sur la table
glaçone de thé beule
glasse on the table

--- Proposer par Bibi ;o), source : je sais pas

lundi 9 octobre 2006

L'Origon

Et bien voilà le micro scénario écrit ce week-end... par ce que j'avais envie na! Bon ok, y a pas d'action, pas de gros rebondissement, pas de personnage interressant... En vérité c'est curieux... Je crois que je suis plus doué pour écrire des nouvelle :oP Mais bon, ce qui est écrit n'est pas à effacer ;o)
Bon on voit que je suis en pleine phase Lovecraft moi.



Echange entre un vieillard mystérieux, M. Rasmich, et un jeune homme à propos d'un artefact magique et d'une société indigène inconnue. Le dialogue va peu à peu dévoiler le but de la présence du jeune homme dans ce bureau.




Eleken,
Le Lac Rouge tu dis ? Hum, demande à l'épicier, peut-être que lui il connait.

jeudi 5 octobre 2006

Ce soir...

Dans mon coeur cet écueil,
Pour mon âme ce cercueil,
Ce soir j’ai perdu l’amie,
Par la lame elle faiblit.

Ce soir dans mon passé tressé,
Du bonheur s’est écoulé de ma vie,
Il s’est tari l’espoir d’un retour ravi,
La fin c’est comme tout, passé.

Au-delà de la vague du songe,
J’ai commis un crime immonde,
Celui d’avoir poussé,
Un cœur à quitter mon foyer.

--- Eleken

mercredi 4 octobre 2006

La (pure) phrase du jour

" Deux sauterelles
s'accouplent sur ma fenêtre "

--- Merci à Vero, la femme du cousin.

Pour ceux qui n'ont pas le moral

Comme toujours,
Quant le monde t'apparait gris et rude,
Lève simplement les yeux au ciel
Et voit comme il est bleu et doux.
Enferme cette vision dans tes yeux,
Puis respire la fraicheur de l'idée.

--- Eleken, à condition qu'il ne pleuve pas...

Petit souvenir du soir

Petit fleur de bonheur,
Sans est suivit la peur,
D'abord tu as trouver le coeur,
Le canon et le percuteur.

Comme croupie l'eau,
Grandit le fleau,
Aux carpates sont sucé,
Le cou de l'homme frappé.

--- Eleken, vaciné par les femmes,
piqure de rappel dans 5 ans ;o)

dimanche 1 octobre 2006

Haletante

Et voici donc ma dernière mini-nouvelle. Attention je vous préviens tout de suite, il faut être majeur, vaciné, et savoir ce que veux dire "démonter les pneus" avant de pouvoir lire ce texte.

Initialement basé sur une histoire vrai (enfin plutôt une anecdote, à moins que ce ne soit le récit d'une mitomane) j'ai laissé libre cours à mon imagination et mon interprétation pour poser ces quelques phrases. Merci à toi, pour ces quelques mots prononcé, une brochette entre les dents.





Bonne lecture.

Eleken,
Le lac rouge, mais c'est quoi ca déjà ? :oP

jeudi 28 septembre 2006

Improvisation du matin : Septembre 1953

Les vieux du village raconte une histoire composée de sornettes et de devinettes. Lorsque vous approché d’eux, que vous pouvez dévisager leurs traits déformé par l’arthrite, sentir leur halène chargé et ressentir les années qui pèse sur leur épaules, déjà vous ressentez un certain malaise. Peu après vous comprenez que ce malaise n’est pas normal, que nul personne âgée n’a jamais provoqué chez vous pareil ressentiment. Une malignité rode dans l’air, l’odeur du marécage proche charge l’atmosphère de relent putride et malsain, qui vous font peu à peu acquérir la certitude que le mal rôde en ce lieu.

Et puis un jour viens où vous la voyez, de loin, une ombre dans le brouillard. Vous êtes terrifié au petit matin, l’air froid et humide s’insinue par chacun des trou de vos vêtements et frappe votre peau nue avec une vivacité surnaturelle. Vous regrettez d’être sortis ce matin là attiré vers le marais sans raison valable, comme guidé par la main du démon. Vous savez qu’il ne faut pas sortir, vous savez de chaque fibres de votre être que c’est le mal qui vous attends et que seul le foyer chaud de votre cheminée peut vous protéger. Mais vous ne pouvez faire autrement. Vous suivez cette voix qui vous guide, cette voix que vous n’entendez pas. Et j’y suis allé. Et je l’ai vu. Et serait-ce la bonté de seigneur que de m’être réveillé à temps mais, alors que son ombre flottante apparaissait au travers du voile matinale qui charge son marais, j’ai pu fuir, le sang glacé, à travers la lande jusque chez moi, où je suis resté cloitré pendant dix jours. Chaque nuit j’avais l’impression maudite, que des ongles venaient gratter sur mes volets clos.

Et ce midi, lorsque le soleil fut suffisamment haut, je suis sortis et j’ai effectivement trouvé des traces de lignes étranges sur le bois de ma maison, à environ un mètre du sol, et d’autre traces sur le sol, comme de large trainée de quelques vil serpent géant qui aurait écrasé l’herbe alentour. Je suis allé alors au village. Et dans le café où j’ai passé l’après-midi à boire, j’ai fini par répondre à la question d’un vieux qui me disait que j’avais sale mine. Je lui ai raconté que, dix jours auparavant, j’étais allé, comme guidé, jusqu’au marais au petit matin, et que là-bas j’y avais eu l’impression d’un danger mortel imminent, et que m’étais enfui, et que depuis je faisais d’horrible cauchemar. Il m’a alors regardé avec un horreur bien réelle et s’en ai retourné aussi vite que le porter ses vieilles jambes à l’extérieur de l'établissement.

Cet alors qu’un autre vieux, assit, ratatiné, sur sa chaise à ma gauche, qui n’avait pas bouger de tout l’après midi, comme mort, leva vers moi s’est yeux humides et me dit d’une voix pâteuse et dure à saisir. « Tu l’as vu mon gars. Que dieu ai ton âme. ».

Je lui demandais alors qui, quoi, qu’est-ce que j’avait vu. Mais il ne répondit pas et je finis par me résigner à partir, plus angoissé que jamais. Mais sur le pas de la porte, sa voix m’arrêta à nouveau. « Redhoreen. La sorcière du marais. ». Et plus personne en ce lieu ne prononça un mot avant que je fus sortis, le cœur froid d’une peur qui ne me quitta plus jamais.


Eleken,
Bienvenue en Automne

mercredi 27 septembre 2006

Ce qui tombe remonte

Quand la mer s'agite,
Que les vagues sont de larmes,
Donne toi et hérite,
Car il faut sortir les rames.

Aux travers des branches le ciel,
Aux travers des cheveux l'âme,
Alors pourquoi tout ce fiel,
Tisse ta vie comme l'envie d'une femme.


--- Eleken, Ma main reste tendue madame, et je la ferme pas.

La vue sur la montagne

Quant le décolleté est plongé,
Où mon regard peut tomber,
Doucement je ricane,
De la gène de l'arcane.

Aucune pierre n'est présente,
Et pourtant aucun arbre n'y pousse,
L'herbe soleil y est douce,
Il me suffit d'y penser pour que je la sente.

--- Eleken, Rrrr je suis méchant :OP

mardi 26 septembre 2006

La réponse

L'angoisse est une terre d'asile,
et beaucoup parcours cette lande.
Nous ne nous connaissons pas,
mais savons nous reconnaître.
Nous nous croisons chaque jour,
Et à chaque crépuscule nous pleurons,
seul.


--- Eleken, the creep

Un coup pour rire

Jack Blacks Lord Of The Rings Parody




Eleken,
Faut bien rire un peu... hum pour les anglophones...

Balade dépressive

Encore un jour sans inspiration, sans talent, sans avenir, sans souvenir, sans rien. Seul reste l'angoisse de la solitude et l'amertume de la haine.



Eleken,
L'anti reflet de l'amour éternel.

lundi 25 septembre 2006

Hurle la lune comme coule le sang

J'ai de la haine,
J'ai de la peine ,
S'embrase le mal,
En moi il fait bal.

Porte l'arogance,
Et l'injustice du regard,
Car autrui mène la dance,
Sous ton oeil hagard.

Monte la colère,
Et l'âme amer,
Dans le gouffre de souffre,
Tombe le souffle.

--- Eleken, quelle putain de connasse !!! SALOPE !!!
Je ne suis pas un pantin, je ne suis pas un esclave !
Va te faire foutre vieille peau de raclure d'anus de chèvre !!!

jeudi 21 septembre 2006

La phrase du jeudi

"Je veux une vie simple,
c'est pas compliqué"

--- Eleken, je veux être peinard et seul chez moi !

mardi 19 septembre 2006

Mes nouvelles en cours

Afin de pouvoir satisfaire à votre curiosité, distingué fan de moi, voici la liste "non exhaustive" des nouvelle que je suis en train d'écrire. Bien sur cela ne veux absolument pas dire que je les finirais un jour mais bon, je vous laisse espèrer :o)
Et à coté la progression actuelle et le nombre de pages finale estimé

Que je finirais probablement
Mon avocate est le diable (1/10) - une dizaine
C'est arrivé chez elle (8/10) - une dizaine
Train (1/10) - une dizaine
Gihl et le chaman (7/10) - une dizaine
Le lac rouge (4/10) - une centaine
Haletante (8/10) - une dizaine
L'arbre (1/10) - une dizaine

Qui sont ambitieuses, j'ai toujours un espoir
Le père-monde (2/10) - une centaine
Lycum I Anne (2/10) - une centaine
Lycum II Hylena (1/10) - une centaine
Lycum III Le frère sombre (0.5/10) - une centaine
Le dernier des puritains (2/10) - une centaine

A l'état de projets, qui vivra verra
La castes des emasculés
Cette conne de chaperon rouge
"Le livre d'Origon", l'histoire d'Anasuma et des lycums
"Le livre de Makrael", l'histoire de son père Eleken, début 1211
"Le livre de Nash-ka", l'histoire de Deonys, début 1256
"Le livre d'Elkaïn", l'histoire de son Grand-père Eleken, Deonys et Makrael, début 1948
38 minutes

Eleken,
Tiens si vous votiez dans les commentaire pour me dire laquelle vous voulez que je finisse en 1er... qui sais si je vous écouterez pas pour une fois :oP

Sans annonce

Feuille de songe d’automne,
Apprends moi la poésie,
D’une marée d’étoile brillante,
Sur la voute céleste à l’horizon,
Tombe à la mer la goutte azure,
Sur la branche s’agite l’oiseau,
Car au loin l’orage tonne.


--- Eleken, il se rapproche ce jour

Attention, 2007 c'est pas si loin

Parfois j'ai envie de gerber, de vomir mes trippes et de les remacher derrière juste pour le plaisir de re-vomir par dessus. Ce genre de video, typiquement pour moi, ca me fait gerber. Pire ca me fait peur, parce que je vois qu'il y a des gens pour croire à une saloperie de ce genre, pour voter pour un (grosse insulte) comme ca... arg, ca m'arrache un poumon là. Je m'en vais revoir la video du jeune tchéchenne égorgé... Au moins j'ai pas gerber, j'ai juste eu la nausé avec celle là... berk berk berk

Note : A tout les abrutis, vous êtes bien repartis pour nous le remettre au second tour ce vieux papy xénophobe. Il y a une seule chose avec laquelle je suis d'accord, oui la France à des problèmes et est sur le déclin, mais NON, ce n'est ni un problème d'imigration ou d'Europe, c'est un problème de mentalité... Mais je m'arrête là sinon je vais retomber dans mes vieux travers de faire de la politique ^^


lundi 18 septembre 2006

La phrase du jour

"Ceux qui importe le plus dans ma vie,
sont ceux-là même qui l'ignore le plus"

--- Eleken, rétablir un once de vérité
PS : Non toi mon Monmon tu le sais ;o)

La question du jour

"Où sont passés ces gens oubliés
qui un temps ont coMptés ?"


--- Eleken, c'est vraiment que vous m'aimez pas
ou vous avez paumé mon numéro ?

Un jour d'octobre

Là où se laissait aller mon regard, il se détournait tout le temps.

Au travers des ridules de pluie sur la vitre, mes yeux ne contemplaient que la fin du champs de bataille grevé par la colère d’un empire.
Partout de mètre en mètre, jusqu’au sommet de la colline, les corps, sans vie et sans visage, s’amoncelaient comme un sinistre jeu d’osselet.
« Pourquoi Père ? Pourquoi a-t-il fallut que tu permette cela ? Pourquoi ? Pourquoi… »
Mais aucune réponse ne me parvint. Comme toujours le silence. Comme jamais il m’oppresse. Des gens sont mort ici, des gens mourrons ici.
Mais aujourd’hui c’est un cimetière sans tombe pour s'y reposer.

Et j’en suis le fossoyeur.

samedi 16 septembre 2006

L'austère environnement de travail

Pour tout mes fans (heu, pardon pour les 3 plouc qui circule dans le coin) voici mon austère environnement de travail. Notez l'ordre apparent, la belle structuration des couleur, la beauté de l'ensemble, etc etc



Eleken,
C'est quoi ce mur blanc ignoble

vendredi 15 septembre 2006

Ma prochaine console de détente ;o)

Wii : 8 décembre, 249 €

Pour ceux qui aurait dormis durant les 2 dernières années, la future console de Nintendo, la dernière à pouvoir prétendre être une vrai console de jeux et non un mini-PC-quifaitpleindetrucdontonàrienàfoutre comme la PS3 et dans une moindre mesure la XboX 360, sort dans pas longtemps et j'ai demandais à papa nowel (enfin mes parents quoi) de me la livrée et Ô joie elle sera là à temps :oD



la Wii de Nintendo sortira en Europe le 8 décembre, au prix de 249 €, ou 179 £. Comme aux Etats-Unis, la console sera fournie avec la console blanche, une manette Wii, son nunchaku et le jeu Wii Sports. Sont confirmés comme titres de lancement Wii Sports, le pack de mini-jeux Wii Play et sa Wiimote bonus, et enfin Zelda ; WarioWare : Smooth Moves devrait arriver juste après le lancement. 15 à 20 titres d'éditeurs-tiers seront disponibles pour la période de lancement, dont Red Steel, Rayman ou Super Monkey Ball : Banana Blitz. Le prix des jeux oscillera entre 49 et 59 euros. A noter qu'une quinzaine de jeux Virtual Console sont annoncés pour accompagner la période de lancement de la console en Europe, auxquels seront ajoutées 5 à 10 nouveautés tous les mois. A titre de comparaison, Nintendo of America avait annoncé hier une trentaine de jeux prêts pour le lancement aux Etats-Unis, et une dizaine de jeux ajoutés chaque mois. Pour le reste, la Wii européenne utilisera comme partout ailleurs la fameuse interface Wii Channel, qui offre à la fois la navigation sur Internet via Opera, un logiciel de traitement d'images, une messagerie, un canal de news actualisées régulièrement, un bulletin météo et l'accès aux jeux Virtual Console préalablement achetés.



Source : Gamekult

jeudi 14 septembre 2006

Marche funeste

C'est au néant que s'efface la lumière
et dans la joie que rime la chaumière.
Douce envie de mes passés trépassés,
Cajole moi du vent de ta tendresse.

Funeste est l'avenir qui danse le destin,
Déteste donc le lointain souvenir du respect,
Celui qui un jour t'as mentit ce que la vie deviens,
Mord la poussière sans l'ombre de la paix.

--- Eleken, par le petit bout de la coline

mercredi 13 septembre 2006

La phrase du petit matin

"il existe un mur entre la colère et le meurtre
... pas épais"

--- Eleken, psychopathe meurtier en puissance ? .... naaaaaaannnnnn !

mardi 12 septembre 2006

La phrase du soir

"Niquons en beauté,
Niquons protégé"

--- un ami qui souhaite garder l'anonymat ;o)

lundi 11 septembre 2006

Lycum - Tome 1

Il y a de cela quelques années (pour tout dire, j'avais à l'époque je crois 16 ou 17ans), j'ai commencé à écrire un roman basé sur une sombre histoire de loup-garou. Bien sur je ne l'ai pas terminé (j'en ai d'ailleur une quarantaine de pages papier quelques part qu'il faudrait que je retrouve :oP).

J'ai retrouvé un peu par hasard le tout début que j'avais pris la peine de réécrire sous word. Donc voilà pour vous ce texte que j'ai écrit il y a maintenant 8 ans (pfffiouuu que le temps passe vite)... Et qui sait peut-être un jour finirais-je cette trilogie (Anne, Hylena et Le frère sombre).

Bonne lecture.


Lycum - Tome 1 - Anne : Chapitre 1 - Extrait 1

Brume.

Poisseuse.

La Boue.

Khudd poursuit. Khudd chasse.

Ses pattes s’enfoncent profondément dans le sol détrempé. Sa proie est rapide, mais il l’est plus encore. Il aurait pu fondre sur elle depuis longtemps, mais il n’a pas très faim. Il préfère jouer.

Comme souvent dans ces moments là, il repense à sa vie telle qu’elle fut avant. Avant de faire partie des élus. Du temps où il faisait partit des proies. Il préfère sa nouvelle forme. Ses souvenirs du passé semblent estompés, ils lui paraissent maintenant aussi irréels que la douleur qui déchirera sa proie lorsqu’il se décidera à fondre sur elle. Il ne la tuera pas tout de suite, son alimentation passe en second dans les priorités du clan. Il la ramènera au nid pour s’en repaître tranquillement. Après, oui après l’avoir confronté au maître. Il en fera un nouvel élu, comme lui, ou la tuera si elle n’est pas à la hauteur. Quelle chance, Khudd savait qu’il en avait eu. Il serait mort comme gibier si il n’avait pas été reconnu comme appartenant au clan, comme digne d’être un élu. Depuis combien de temps déjà ? Longtemps. Il n’avait plus une notion exact du temps, seulement des cycles, dormir, chasser, manger, mais plus de temps mesuré, plus de jour non plus puisque le clan vit hors de la lumière dans les profondeur de la ville. Il se souvint aussi de la peur, de la douleur qu’il avait ressentit et enfin de cette sensation de puissance qu’il l’avait envahit lorsque son corps, ses sens et son esprit étaient devenu plus puissant qu’il n’aurait pu le concevoir dans son ancienne vie.

Il décida, mais ne le su qu’après, qu’il était temps. Il accéléra le rythme de ses pas. Sa respiration rauque ne trahissait aucune fatigue. Cinq mètre, quatre. Il apercevait au loin les lueurs d’une rue, en bordure de la forêt. Deux mètres, Il donna une impulsion à peine plus importante. Il bondit et traça de profonds sillons dans le blouson, dans un grincement de tissu déchiré. La proie tomba. Trois sillons se remplir de sang, noir parmi les ombres. La proie gémit et tente de se retourner. Un cri s’étrangle dans sa gorge. Khudd à toujours vu cette terreur qui emplissait leur regard, celle qui les empêche de crier au début, celle provoqué par l’effondrement de toutes leurs certitudes sur le monde sur qu’ils se sont construit. Il frappe de nouveau, sans les griffes, pour l’assommer.

Paul ignorait ce qui se passait. Son dos, sur lequel il glissait, ne semblait plus faire partie de l’univers tangible bien que la douleur qui le parcourait fût bien plus réelle qui ne l’aurait souhaité. Il tenta de relever la tête, mais ne put émettre qu’un pathétique gémissement de douleur. On aurait dit qu’on lui avait broyé les muscles du cou. Il pouvait distinguer une ombre, projeté par intermittence sur le coté du tunnel, l’ombre de ce qui le traînait. Il sombra de nouveau dans l’inconscience…

… Il entendit la mastication. Il ouvrit les yeux. Sa jambe droite avait disparu juste au dessus du genou. Il était éventré et un bout d’intestin perforé passé par la plaie béante. Le sang suintait en grumeaux visqueux, des caillots de sang s’étant déjà formait sur le sol autour des plaies. Il baignait dans son sang. Il ne sentait rien. Il commença à sombrer, un sentiment de réconfort l’envahit, il savait qu’il rêvait, c’était un rêve forcement. Les yeux fermés il chercha dans sa mémoire le souvenir de s’être couché, de s’être glissé sous ses draps chauds. Il se souvint, couper à travers la forêt pour rentrer chez lui, le bruit de pas derrière lui, la peur de ce bruit. Et alors qu’il s’enfonçait de plus en plus vite, ses derniers instants de conscience furent assaillit par la peur. La peur et la compréhension.


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Eleken,
Mon dieu que ca passe le temps... qui passe

dimanche 10 septembre 2006

One Man Show à voir absolument sur Paris

GABRIEL
Seul avec moi


De et avec Gabriel, mise en scène de Pierre Lericq, produit par C'est signé Production. Impressionnant de bonhomie. Mais ne vous y fiez pas. Gabriel joue, mime, use et abuse de son physique gargantuesque, et nous fait rire. Beaucoup. « Seul avec Moi », nouveau spectacle, le raconte, nous raconte avec autant d’énergie que de finesse. Tout y passe, l’épouse, la mère, le chien… 30 ans de vie en 1h10, on rit sans effort, sans pause. Provocateurs et affectueux, séduisants et repoussants, ces personnages nous plongent dans un monde de contrastes, notre monde. Et Gabriel ne se lasse pas de nous solliciter si bien que le temps passe bien vite, trop vite.
Spectacle du 08/09/2006 au 31/12/2006, tous les mardis, mercredis, jeudis, vendredis et samedis à 21h30, Petit Palais, durée : 1h10,
tarifs : 18 € (plein tarif) - 14 € (chômeur/étudiant) - 10 € (carte Imagine R). Tarifs du 31/12 : à confirmer

Le bonhomme est tout simplement impressionnant sur la scène.
Il gesticule, fait des grimace, dance et plus généralement fais "pisser de rire"


Jérôme daranJÉRÔME DARAN
EN TOUTE MAUVAISE FOI


Remarqué en 2003 par l'émission "Les coups d'humour" de TF1, puis successivement par Paris Première et Comédie, Jérôme Daran fut sollicité en 2004 par le festival Juste Pour Rire de Montréal dont il sera une des révélations. La bàs il co-écrit les "petits râteaux de Flo" de France 2 mettant en scène Franck Dubosc,Laurent Ruquier ou encore Elie Semoun. Jérôme Daran participe depuis 2004 à l'écriture des sketches de la pétillanteFlorence Foresti pour l'émission "On a tout essayé" sur France 2. Son spectacle met en scène un loser attachant, entouré de personnages à la fois tendres, cruels et pathétiques mais surtout hilarants.

du mercredi au samedi à 21h15 à partir du 6 septembre
Tarifs : 17€ tarif plein / 13€ tarif réduit

Jérôme est hilarant avec ses personnages (mon préféré jean-barnabé) et son jeu très réussit. A noter que le monsieur pousse aussi la chanssonnette durant le spectacle tout en jouant de la gratte, et ceci avec un certain talent également.

Eleken,
Qui était là, dans la salle, et oui.

vendredi 8 septembre 2006

Suis-je un prédateur ?

Comme la pâleur s'empale,
Le souffle chargé d'agrume,
Se heurte au regarde opale,
Du loup au pelage de brume.

Comme planté dans le sol,
Il attend son prétendant,
La victime apporte son obole,
Des crocs sa liqueur s'éprend.

mercredi 6 septembre 2006

Je ne fais pas rien ;o)

Cédant à la pression de mes innombrables (?!) fan je viens vous dire que je ne suis pas en train de glander dans le treffon de mon appartement-prison, mais que malgré le travail, la guitare, les cours du soir, ma copine et tout un tas d'activités extrémement prenantes, je continu d'écrire et de créer des nouvelles... Seulement je suis actuellement sur deux projets accès ambitieux (nouvelles d'une centaines de page chacune) dont voici un extrait (court) de chacun pour dire, oui je suis là.


Le père-monde - extrait du chapitre 13

Elkaïn se perdit dans le lac de ses yeux, et alors que son pouls s'accélérait considérablement, son souffle disparût à mesure que Deonys approchait son visage du sien. Elle posa sur sa main sur sa joue, provoquant une intense et délicieuse brûlure qui le fit tressaillir. Enfin elle posa ses lèvres sur les siennes. Une douce chaleur se répandit dans tout son corps et sa peau se couvrit de chair de poule. Le monde autour de lui s'effaça dans l'obscurité de ses yeux clos et il se laissa aller à la douceur de cette étreinte qui sembla durait plus qu'une vie d'homme.
Elle se pressa plus encore son visage contre le sien puis se sépara de lui et le monde autour se re matérialisa. Les yeux de Deonys étaient humide, à n'en pas douté les sien aussi, son regard ne pouvait se détacher du sien. Elle finit par sourire, de ce sourire simple qu'il aimait tant, mais qui désormais avait révélé son sens profond.
"Je dois y aller", finit-elle par dire.
"Non, pas tout de suite reste...", répondit-il en avançant d'un pas, mais déjà elle s'était retournée et s'en allait d'un pas vif. Elle ne lui adressa pas un dernier regard alors qu'il la suivait des yeux sentant déjà son cœur se serrer de cette séparation trop subite. Il s'accroupit contre l'arbre derrière lui, la tête entre ses genoux et se mis à pleurer. Des larmes de chagrin mêlées à des larmes de bonheur.


Le Lac rouge - Extrait du chapitre 1

La chose frappe contre la porte. Une flaque d'eau se forme sous la porte qui semble gonflée d'humidité sous la poussé de ce qui se trouve derrière. Paulette à genou, les yeux fermées, tiens serré entre ses mains contre sa poitrine la sainte bible et récite des lithanie chrétiennes pour le salut de son âme et écarter les démons. La porte semble presque respirer de craquement, de soupir et de goutte d'eau qui coule sur le long de son bois. La chose, qui se jette une dernière fois contre la porte de la chambre, pousse un long hurlement, à la fois métalique, liquide et froid comme la mort, qui semble se prolonger le long des murs, dans les os de Paulette, durant une éternité qui menne à l'aurore. Puis le hurlement commence à mourir, lentement d'un aigu vers un grave, il se cache dans le silence.


Le Lac rouge - Extrait du chapitre 2

Comme un maux d'estomac, le réveil se glisse insidieusement au milieu de mon sommeil. Je sens mon corps frémir de l'éveil, appelé par ce jour qui commence pour moi. J'ouvre les paupières à la pénombre de mon salon. Je distingue un peu floue mes jambes. Mes yeux sont sec et douloureux d'avoir porté mes lentilles toute la nuit. Mon bras droit est complétement ankilosé, j'ai dormi dessus .Je soulève difficilement mon corps et essuie sur mes yeux le sel de mes larmes séchées.

Je m'asperge le visage d'eau devant la glace au dessus du lavabo. Mon regard est celui d'un être qui ne crois plus à rien et attend la mort.
Je remarque alors que malgré l'absence de bonde dans le lavabo, celui-ci se rempli. L'eau ne s'écoule pas. Puis elle commence à tournoyer, comme aspirée... Mais le niveau ne diminu pas bien au contraire. Je coupe le robinet avant que cela ne déborde, mais l'eau continue de tournoyer dans le lavabo sans que je puisse comprendre pourquoi. Soudain je me rend compte qu'il fait un froid glacial sans cette salle de bain. Un courant d'air agite la pièce et me fait frisonner. Une chute de tension aveugle la pièce un instant. Je recule d'un pas. Apeurée par la scène.
Aussi soudainement qu'apparut, le courant d'air s'estompe et le bruit familier de l'eau qui s'écoule dans le lavabo me parviens. Je m'approche pour constater que tout est normal. Quant toute l'eau à finit de s'écouler, ne reste que le trou obscur comme un oeil dans le blanc de la porcelaine. Prise d'un instant de panique mon soufle et mon coeur s'accélerent. je m'empare de la serviette à ma gauche et m'essuie le visage avant de sortir de la pièce.

PS : il s'agit de morceaux non relu, donc non corrigé, donc un peu d'indulgence merci ;o)
PS2 : il s'agit de morceaux que je n'avait jamais diffusé, juste pour faire plaisir à ceux qui avait lu des extraits plus finalisés...

Eleken,
L'idiot de pseudo écrivain sans lecteur

mardi 5 septembre 2006

Et le 3eme arriva

C'est sous le temps,
Que j'oubliais le vent,
Du temps de mes enfants,
De mon corps vivant.

Dans le sol je me repose,
Sous terre ils m'enterrent,
Voilà mon être se nécrose,
Et mon âme prends l'air.

--- Eleken, un jour viendra...

lundi 4 septembre 2006

14 ans déjà…

Vous n'avez pas besoin de comprendre,
c'est une dédicasse à
L'ami

mercredi 30 août 2006

Le 4e jour

Tu ne te reposera point,
Mal à la gorge terriblement tu aura,
De vertige du souffrira,
De sommeil tu ne trouvera,
De douleur tu gémira.

Alors contre ta volonté,
Contre tes croyances travaillistes les plus chères,
Tu abandonnera la partie à la maladie,
Ton patron tu appelera,
Le medecin tu supportera,
En arrêt de travail il te mettra !

--- Eleken, sentence : 3 jours d'arrêt de travail malgré de veines protestations.
PS : Retourne me coucher maintenant que le monde est au courant.

mardi 29 août 2006

Loosely day

Alors c'est l"histoire d'une angine qui viens de m'empêcher de dormir durant les 3 derniers jours. Autant vous dire que je suis explosé (pas au sens litteral), que l'écriture de mes nouvelles prends du retard au même titre que mes cours, que je regrette profondément le Diois et mes amis de là-bas que j'aime tendrement (surtout toi mon monmon, je te bisouille tout partout)... En gros comme au singulier, j'ai la loose là... Mais Bref, ca va mieux aller... Un jour, quant j'habiterai seul avec moi-même, que je nourrirai mon poisson virtuel etc etc.


Alexis, le maladator qui à pas de chance du tout en ce moment.


PS : Phrase du Docteur : "Mais vous etes pas bien d'avoir attendu aussi longtemp"... tsss :P
PS2 : A ce rythme c'est un arrêt d'un mois pour dépression qu'il va me falloir.
PS3 : Promis je me remet à l'écriture ce soir sans faute (pas d'orthographe)

jeudi 24 août 2006

Mot aux frutivores

"Avec le jus de fruit...
Tu as droit au double effet... pisse-prout"

--- Eleken et le paradis du fruit

"Le problème avec le lait...
Déjà à ta naissance tu cherchais la paille"

--- Eleken et le paradis du fruit 2

"Mon banana-split...
D'accord tu peux lécher les boules, mais croque pas la banane"

--- Eleken et le paradis du fruit 3

lundi 21 août 2006

Lettre à Ania, Lundi 21 Août, Empire des Francs

Ma très chère amie,

Je suis navré de ne pas t’avoir écris depuis si longtemps. Je t’ai sans nul doute plongé dans une crainte non mérité. C’est que, vois-tu, cela fait un mois plein que nous marchons chaque jours un peu plus vers le nord, sous le couvert des arbres, avançant sur les positions ennemies pour les prendre et tenir. J’ai vu encore beaucoup de mort durant cette période. Autant chez nous que chez eux. Des enfants, voilà ce que nous sommes et ce qu’ils sont. Ou donc est cet empereur ? Ou est Napoléon Bonarkosy ? Ou sont ces généraux qui nous ordonnent chaque jours de mourir pour cette patrie que j’ai quitté et où seul toi peut pleurer pour moi… Oublis ces mots, cache ou mieux brûle cette lettre. Si de telle paroles se savait tu serais probablement fouettée en place publique et enfermée… Quant a moi, je serais exécuté d’un coup de lame dans la nuque sans aucun doute.

Je te demande pardon de n’être pas là. Je te demande pardon de ne plus avoir la foi en notre empire et dans l'empereur. Mais comment avoir la foi quant je vois ce que je vois. Je t’écris cette lettre du fond d’un trou, le cratère d’un obus et je la transmettrais dans quelques secondes à un homme, de mes amis, qui rentre au camps car blessé par un éclat à la cuisse. Au fond de ce trou, face à moi et à cette lettre, un autre homme. Un germain. Il est mort. C’est moi qui l’ai tué. Il s’est retrouvé face à moi, son arme s’est enraillée, il a crié, des insultes ou une supplication pour sa vie je ne sais pas, pendant que je lui tiré trois balles dans la poitrine à bout portant. Cette guerre est sale, cet homme aurait pu être mon ami, mon frère ou mon cousin, peut importe. Il ne voulait pas mourir. Comme moi. Et il a une famille j’en suis sur… Comme moi.

Je ne peux plus m’attardé, il attends pour partir et je ne peux le retenir. J’ai toujours espoir de revenir, de caresser ta peau et de baiser tes lèvres d’un poème fredonné. Par bonheur j’ai espoir. Je te promet de vivre et de revenir.

De toute mon affection, je t’embrasse,

Alexis.