vendredi 31 août 2007

...

En mon coeur se confond,
Le bonheur d'un retour,
La tristesse d'un détour,
Ici bas, je me morfonds.

J'ai l'impression d'avoir été arraché,
A la douceur du temps bénit,
Ce soir mon âme est blessée,
D'avoir laissé s'en aller mon amie.

--- Eleken,
C'est le début du week-end,
Et d'une longue marche.

...

A ma douce arcane,
Je te vends mon âme,
Avec plaisir s'il le faut,
Attendre sans étau.

Abandonne le silence,
Car la parole est puissance,
Ce jour nous sommes séparés,
Mais demain, à jamais liés.

--- Eleken,
Après une journée de réunion, vivement le week-end :o)
...

jeudi 30 août 2007

Un jour d'été, j'avais chaud, mais j'attendais...

Je me penche par dessus le ruisseau, et je vois mon visage, déformé par les ridules et les vaguelettes. Entraînée par le courant, mon image se tord, s'échappe, et pourtant reste à sa place. C'est une journée d'été comme j'ai appris à les aimer. Le soleil frappe dur le sol et cuit ici et là les rares touffes d'herbes qui n'avaient pas encore jaunies. Aucun nuage dans le ciel, aucun oiseau de miel, aucun vent dans mes cheveux... Non, aujourd'hui est un jour chaud, où la fraîcheur n'a pas sa place, où la caresse de la pluie n'est plus ne serait-ce qu'imaginable. Et pourtant, au milieu de cette aride journée, il y a ce ruisseau, qui gaiement me rend mon image, qui discute avec moi de ce glouglou perpétuel et amical. Au milieu du désert, je ne suis pas triste, je n'ai pas soif, car le ruisseau et là, m'apportant son eau et son réconfort. Je regarde un nouvelle fois l'arbre qui est sur ma droite, ce compagnon de solitude, je crois que je vais y aller m'y allonger, tranquillement pour profiter de son ombre et faire la sieste quelques instants. Ce sera plus agréable ainsi, de t'attendre, car je le sais depuis longtemps, tu vas bientôt venir... Ce jour, ou demain, mais qu'importe le temps, puisque tu viendras...

--- Eleken,
Tout vient à point à qui sait attendre :oP
Et je suis très patient :o)
...

...

Le souffle sur ma peau,
Dans le vent mes mots,
C'est simplement comme ceci,
Que j'aime ma vie.

Je ne souhaite que voir,
Dans les nuages le soir,
Ton visage illuminé,
D'un sourire donné.

--- Eleken,
A passé un très bon moment à midi :o)
... A renouveler

mercredi 29 août 2007

...

Ô esprit de fraternité,
Merci pour l'instant donné,
J"hume le parfum des fleurs,
Qui ce soir, chassent ma peur.

J'ai envies de dire au monde,
Combien j'aime chaque seconde,
Passait en ta compagnie,
Partagé ce temps béni.

--- Eleken,
...
:o) soirée tranquillou-pillou et far niente

...

Le son du silence,
En moi est violence,
Car c'est dans l'absence,
Que ma peur prend essence.

Ce matin je n'avais rien,
D'autre que le mal être,
De n'avoir pour moi le bien,
D'un murmure pour paraître.

Je sais que je ne suis pas compris,
Quand je pleure pour ma vie,
Alors que je devrais être content,
D'avoir un peu peu mieux que le néant.

Et en effet je le sais bien,
Mais cela ne peut m'empêcher,
De soupirer pour un petit rien,
Obtenir en ce jour la caresse espérée.

--- Eleken,
Je suis là... Et je ne ferme pas les yeux,
Chaque seconde je fais de mon mieux,
Pour respecter mon voeu.
:o) ...

...

Un petit mot pour dire bonjour,
Un petit mot pour dire toujours,
Un simple sourire pour promettre,
Que demain encore y être.

Alors chaque instant ne doutes pas,
Que sur les quais je sois là,
C'est vrai que je peux parfois crier,
Que cela ne fasse pas de moi un oublié.

--- Eleken,
Un très rapide le matin car en formation toute la matinée,
... :o)

mardi 28 août 2007

...

Voir à travers le temps,
Cet être qui sera mon enfant,
Rêver d'elle chaque jour,
Agir sans cesse et pour.

A la question éternelle,
Je n'ai pas de réponse sensationnelle,
A la voix qui cherche le voeux,
Je lui réponds, oui je le veux.

--- Eleken,
Les dés sont jetés,
Ne serait juste gentil de ne pas les jouer sans moi,
Je suis aussi dans l'équipe,
Et moi aussi, je me bats pour gagner.

...

Simplement un petit mot,
Pour faire se lever le beau,
Qui en mon coeur jaillit,
Pour que nous ne soyons ennemis.

Il y a tant de chose que je comprends,
Et tant que je ne saisis pas,
Ce n'est que l'angoisse qui me prends,
Quand je pleures, mais pas de trépas.

--- Eleken,
Y a mieux après le mangé :o)

Une lettre, sans rien d'autre...

Si j'écris une lettre, c'est parce que je ne sais plus comment le dire, alors peut-être saurais-je l'écrire... Mais je m'aperçois que je ne saurais pas non plus... Ou alors avec tellement de maladresse que mon message ne sera jamais perçu... Je perçois l'injustice, la peine, la rancoeur, le désir et la frustration... Je sens l'abandon qui contre moi me blesse... Tous ces sentiments qui s'entremêlent dans mon esprit et y sèment la confusion... Je ne comprends pas, ce que je demande ou bien ce que j'exige... Voir simplement, toucher simplement, parler simplement... Il y a un tel gouffre entre ce que je vois, entre ce que j'espère, entre ce qui se fait... Je ne comprends plus rien... De ma vie trop complexe, je perds le goût un peu plus chaque jour... Est-ce que cela coûte tellement d'accepter l'invitation, est-ce que cela fait tellement de mal ? Où bien le refus ne trouve-t-il pas sa source en ces lieux et en ces mots... Chaque jour, je paye de mon sang, le prix de ce sentiment, chaque jour je sacrifie mon existence dans un quête qui ne verra peut-être jamais le succès escompté... Le temps est limité alors... Pourquoi me gâcher, pourquoi me diminuer, pourquoi me priver... De ces rares moments espérés... Je dois demander trop, trop de souffrance, trop de mort, trop de larmes... Je veux comprendre ! Je veux qu'il me soit dit ! Pas simplement me laisser à l'agonie, derrière, sur le chemin, espérant me retrouver à chaque fois... Et chaque fois j'attends, augmentant encore ma frustration, augmentant encore mon attente, augmentant encore ma passion, augmentant la pression de l'existence... J'ai souffert la mort pendant des mois, j'ai souffert la torture et le dédain, j'ai souffert le massacre de mon âme et l'écorchement de mon coeur, laissé en pâture à la charogne. Je me suis sentis si seul, sans espoir, sans volonté de continuer à vivre... Je n'avais plus de vie... Et voilà qu'elle m'est rendue, voilà qu'elle m'est revenue... Mais alors pourquoi ? pourquoi, pourquoi, POURQUOI !!? J'étais tellement rien, à nouveau mort, dans le néant, dans le froid, dans la solitude, dans l'amertume, consumant mon âme à petit feu, ayant cessé de brûler mon coeur... Alors pourquoi ? Pourquoi ne même pas m'accorder ce qui est donné au premier en ces lieux, pourquoi ne pas simplement dire oui à la question demandée... Et elle n'est pourtant pas pleine d'exigence, seulement pleine d'espoir, de désir, d'envie, de besoin, d'amour... La vie est une drôle de compagne, qui met sur notre chemin des épreuves dont ont se passerait bien, mais c'est dans cette difficulté, que l'on y trouve tout l'intérêt... Se sentir vivre plutôt que de la subir... Alors oui je sais, mon sacrifice ne m'accorde pas le retour espéré... Mon absolu dévotion ne m'apporte pas ce que j'en espérais... Mes rêves... J'ai mal... Car si j'ai un jour posé un choix, si j'ai su un jour que j'en souffrirai plus que tout ce que j'avais souffert le restant de ma vie... Alors oui j'ai su, est-ce pour autant que je doive payé le prix fort... ? Est-ce pour autant, que je doive avancer vers la mort ? J'ai fais le choix de vivre, j'ai fais le choix d'aimer, j'ai offert ma vie dans ce but... Alors quoi ? Je suis trop exigeant !? Je ne crois pas... Je suis patient, et patiemment, j'attends mon jour, patiemment, je rêve toujours... Et puis, me dire que l'on verra bien sur place, c'est ce qu'il y a de plus horrible, je n'ai alors aucune certitude, rien à quoi m'accrocher pour patienter... Rien en quoi espérer... Car il y a en ce bas monde, des gens, des inconnus, à qui il est tellement plus simple, d'accorder le bénéfice de mes voeux... Et pourtant je sais... Je ne m'accorde aucun répit dans la quête qui la mienne, aucune chance de me reposer, j'ai la volonté de réussir... Mais... Mais... Mais, que suis-je encore pour avoir ces fols espoirs... Qui suis-je encore ce soir... Des mots, des murmures, des caresses... Comme les oiseaux dans le ciel, passent et réchauffent mon coeur... Mais... Bien loin de moi l'idée d'abandonner, de finir, de supprimer, je ne conçois plus d'autre vie de celle-ci... Mais... Quand je tentes de les toucher... Tu t'envoles...



--- Eleken,
Un jour gris comme tant d'autre,
Ma vie à perdue sa couleur depuis trop longtemps.

lundi 27 août 2007

Pour mon fameux tome 3 à paraître dans très longtemps :o)






Le couple de dingue revenu d'entre les morts pour combattre et vaincre le sorcier vampire Anasuma (mais y arriverons t-il, même avec l'aide de Makrael et Deonys ?) dans le fameux tome 3 de ma trilogie (qui n'existe pas encore mais qui sait un jour :o) si je reçois les encouragemments ad hoc et les coups de pieds où il faut ;o))

Eleken,
Voilà un petit dessin que j'avais envie de faire depuis très longtemps :o)... Comme d'habitude je n'aime pas le résultat qui ne rend absolument pas comme je l'aurais aimé... Mais tant pis, j'espère qu'il vous plaira ;o)

MAJ
Apparemment ça plaît :o)... :oP

Extrait du livre d'Elkaïn - 3

Nous avons descendu la colline, de l'autre côté du tertre des éphiadios. La pluie pesait douloureusement sur nos dos fourbu de fatigue. Cela faisait des nuits entière que nous marchions ainsi sans nous arrêter. Eleken, mon père, allait en tête suivit de Makrael et Deonys. Quoique qu'ils aient prévu, mon père était resté évasif sur le but de notre marche. Nous avions suffisamment de vivre pour encore plusieurs jours, mais le temps nous démoralisait. Certain humain avait visiblement de la peine à respirer sous le poids des charges et, malgré les encouragements plein d'affection de Deonys, commençaient à lancer de sombre regard vers mon père. C'est vrai qu'il n'avait plus jamais été le même depuis qu'il était revenu de cette mort qu'il s'était infligé. La légende transmise au humain après sa disparition étaient celle d'un être bon et protecteur, un père pour chaque enfant d'homme... Mais cet être, que Deonys avait ramené de la mort, était rongé par la haine et la rancoeur, cela se voyait. Mon père, qu'êtes-vous devenu ? Vous ressemblez chaque jour un peu plus à une créature d'Anasuma, chaque nuit vous rapproche d'un vampire... Et cette lubie, caché aux humains de ne plus se nourrir que de sang et d'éviter le contact du soleil. Ô mon père pourquoi, même à moi votre fils, de découvrez vous pas votre destination secrète...

Plus tard autour d'un feu de camp

Si j'avais su... J'aurais fait demi-tour immédiatement... Car mon père nous amenez en un lieu de violence et de magie, un lieu où il avait combattu cinq années plus tôt... Il y a maintenant deux jours qu'il est parti seul, nous demandant de l'attendre ici cinq jours et de partir nous caché s'il ne revenait pas... Les visages de Deonys et de Makrael étaient sombres. Chacun avait tenté de convaincre mon père de le laisser venir avec lui, mais sans succès... Eleken était allé en ce lieu, un lieu où il est allé prier un ancien démon dont il nous avait conté l'histoire. Il est allé retrouver la sorcière du Lac Rouge, la désormais demi-démone... Redhoreen... Cela voulait dire une seule chose... L'heure de l'affrontement final contre Anasuma approchait... Et Eleken savait que sans la sorcière il n'avait aucune chance contre ce démon... Alors mes pensées furent interrompue, car le ciel se mis à pleurer un torrent de larmes, le vent se mit à geindre d'une plainte sans fin... Et la lune devint rouge... Cela ne pouvait vouloir dire qu'une chose, je frissonnais de la tête au pied... Elle avait répondu à l'appel... Loin d'ici, au nord, Redhoreen venait d'apparaître à Eleken...

Extrait du livre d'Elkaïn
--- Eleken,
et hop, un petit bout en passant ^^

...

Je demande aux anges du ciel,
De bien vouloir m'accorder,
Une chance de continuer,
Une chance de voir se lever le soleil.

Parce que seigneur tout puissant,
Qu'il est dur d'être laisser ainsi,
Seul avec sa sombre mélancolie,
Sans faiblir mais juste impuissant.

--- Eleken,
J'ai l'impression d'abattre des montagnes,
Mais où est donc la belle lumière,
Qui me fera sentir dans ma chaumière,
Prêt à vivre et à manger tes lasagnes (:oP).

En manque...

Ce matin, je suis en manque... Je n'ai pas trouvé ma dose. J'ai consommé, pendant le week-end souvenirs et sentiments, persouadé que ce matin, je pourrais prendre, sniffer, humer ce parfum, sentir cette frangrance, toucher et caresser. Mais ce matin, je n'ai pas eu, que l'image, que la silhouette, un visage, perdu dans la brume urbaine. Je voulais tellement, j'espèrais tellement... Espoir déçu, mon coeur ici bat mais saigne de cette bataille perdue. Je repars à la guerre, mais je souhaiterais simplement un murmure, un augure, un bon présage, qui ne me laisse pas encore, gesticuler en tout sens, hurler dans le vent, alors que cela est le pire, faire s'écrouler mon empire, par manque d'attente... J'aimerais juste dire que... J'ai mal de ce manque... Je cherche juste à le combler... Comprendre pourquoi.... Ce matin, je n'ai pas eu ce que j'espèrais... Est-ce la peur ? Si c'est simplement elle, alors je la combattrais... Mais si c'est le remord... Alors je suis mort... Que y avait-il ce matin, dans tes yeux, que je n'ai pu décrypter... L'inconnue est ma plus grande ennemie, celle devant laquelle, malgré tout ce que je peux penser, je ne cesse de trembler... Je voulais juste te dire, pousser un soupir, dire que dans mon avenir, il n'y a rien de pire... Que ton absence...

--- Eleken,
un :o) c'est tout ce que je veux,
Et même si c'est tout ce que j'ai,
Alors je m'en contenterai,
Si c'est là mon dernier voeux.

dimanche 26 août 2007

Après le soleil...

Me voilà rentré.
Depuis le début de la guerre, depuis mon départ, depuis notre séparation, chaque seconde me brûle comme un enfer. Je me sens tellement loin de toi, tellement seul sans toi. Bien sûr je ne suis pas seul, il y a les autres appelés autour de moi... Mais nous sommes tous seuls, tous nous avons laissé nos familles et amis derrière nous. Et nous tous, qui allons mourir, si nous mourrons ici, alors nous mourrons seul... Mais je ne veux pas mourir seul ! Je ne veux pas tomber ici, après avoir fait tout ce chemin, alors je m'accroche, je me bats, je vis. Il le faut... Pour toi, pour te retrouver, car au bout de cette guerre, au bout du chemin... Tu m'attends...
Alors pourquoi ne réponds tu pas à mes cris, où es-tu donc passé ma bien aimée ?
Je suis rentré, mais me voilà bien seul... J'espère un murmure, j'espère un souffle de vent sur ma nuque...
--- Eleken,
J'aurais du prendre l'avis du public ou le 50/50 avant de répondre... Snif... :o(

...

Je regarde les nuages,
Et j'y vois un visage,
Celui de mon ange déchu,
Que j'ai un temps perdu.

Je regarde le soleil,
Et la lumière m'émerveille,
De joie mon coeur s'emplit,
Pour toi que que je chéris.

--- Eleken,
Aujourd'hui, far niente et murmurage à l'oreille des oiseaux :o)

samedi 25 août 2007

...

Ce soir dans mes pensées,
Je me suis oublié,
Prendre mon murmure,
Rassurer mon azur.

Je n'étais pas bien loin,
Mais le temps de courir,
Le vent était lointain,
J'avais raté mon avenir.

Alors demain je prendrais soin,
De ne pas le laisser loin,
Nager avec dans le lac de mes rêves,
Ne pas laisser à l'amour de trêve.

--- Eleken,
J'ai raté mon oiseau de nuit,
C'est bien ma veine,
de m'être dis que ce n'étais pas la peine,
de garder mon murmure prêt de moi,
Pendant que je jouais sur mon PC :oS.
Un :o) quand même parce que cela m'a fait plaisir,
De sentir le vent sur mon visage.

Au bord de la rivère... un peu plus tard

J'attrape un brin d'herbe à coté de moi et me retourne vers toi. Ta respiration douce et fragile m'indique que tu dors encore à l'ombre de cet arbre où nous venons de nous étreindre, où nous avons inondé nos sens de plaisirs. Je laisse le brin parcourir sur ta peau des tracés inspirés, je laisse le brin doucement te caresser. Lentement, accompagné de petites figures, je le fais remonter de tes jambes à ton ventre où je titille ton nombril. Tu commence à bouger et à gémir un dans ton sommeil, ton réveil n'est plus très loin. Je continu de remonter jusqu'à la naissance de ta poitrine, parcours les collines roses et tièdes que j'y trouve du flanc de ma main suivi de ma brindille... Enfin j'arrive à ton cou où tu proteste naïvement, je sais qu'il ne me reste que quelques secondes avant que tu n'ouvre les yeux... Je finis par caresser tes paupières et redescendre sur tes lèvres, ce qui finit de te réveiller... Tu ouvres les yeux... Tu me souries... Tu m'offre un regard remplie d'amour qui vaut tout les baisers du monde...

--- Eleken,
Ce matin, en manque de murmure au creux de l'oreille,
Je vais chercher mon réconfort dans les rues pavés d'histoire de Versailles.

vendredi 24 août 2007

...

J'aimerais parler, crier,
Pour ce jour heureux, cette nuit,
Où tu es revenu sans bruit,
Vers moi, doucement pour m'aimer.

Il ne s'est jamais passé un temps,
Sans que le rêve ne se batte,
Sans que la pensée m'attrape,
Un baiser, une caresse, un instant.

--- Eleken,
En week-end, un peu de mélancolie dans le sang,
Un peu de tristesse dans les yeux,
Un souffle pour un voeux,
Au regret de n'avoir pu dire au revoir,
Au regret de ne pouvoir partager l'espoir,
Je rêve chaque jour pour un temps,
un avenir,
pareil à un merveilleux soupir.
... :o)

jeudi 23 août 2007

Sur les bords de la rivière...

Le soleil brille à travers les feuilles de l'arbre et caresse mon corps de chaleur. Le ruisseau chante derrière nous. Penché sur le côté, je laisse fureter ma langue le long de ta peau crémeuse. Ton goût est un mélange de sucre, de crème, de réglisse et de meringue. Lentement je remonte vers la naissance de ta poitrine, ta respiration se fait plus intense, mon désir croissant fait palpiter mon sang dans mes veine comme un tambour martial. La fine étoffe qui recouvrait ton corps glisse le long de tes épaules et tombe sans bruit sur le sable dans lesquels baignent tes pieds. Plus que ton corps dénudé, c'est ton regard emplit de douceur et d'envie qui excite ma vue... Je te serre contre moi, tout contre moi, je susurre à ton oreille de doux mots plein de chaleur et d'amour, que j'accompagne de mon souffle et de ma langue... Enfin... Tellement de temps... Enfin... Tu me repousses, de ton bras et me tétanise de ton regard... Puis tu t'approches... Puis tu m'accroches... Puis tu m'embrasse... Et dans ce brasier je vis... Dans ce feu je me consume... De plaisir et de plénitude... Enfin... Enfin... Enfin... Je suis tiens...

--- Eleken,
Le mangeur de maki qui à pris 1,5kg dans la journée :oS
... :o)
Je suis crevé, je vais me coucher, même si je n'ai pas
eu le murmure surprise que j'espérais secrètement.
Tant pis, le vent soufflera encore demain...

Immonde souffrance

Enfer et souffrance immonde, je suis à l'agonie... Pourquoi ? Pourquoi faire cela, pourquoi couper les ponts, rompres la route, coupé le murmure, me priver de vent ? Pourquoi, alors ? J'ai mal, non pas de la présence mais de l'absence, j'ai mal, non pas de la conversation mais du silence ! Quel bien cela pouvait-il me faire de me laisser dans le silence mortel et angoissant de 1h30 du matin... Comment dormir maintenant, comment affronter la nuit, comment vivre !? Je ne sais plus, je ne sais rien, je ne comprends plus rien... Je voulais parler, je voulais vivre, je voulais tellement simplement communiquer, finir la soirée tranquillement au creux d'un oreiller... Mais voilà que je suis seul, je suis jeté seul... Alors que mon seul désir, mon seul bonheur était un murmure, un souffle, un baiser, une caresse, la tenue de la promesse faite... Celle de ne pas me laisser dans l'angoisse, dans la peine et dans le silence... J'ai mal, j'ai peur... Et je ne vais pas dormir de la nuit...

--- Eleken

mardi 21 août 2007

Le souffle du temps

Où es-tu ce soir ? Regardes-tu les étoiles comme moi ? Où bien enfermes-tu ton esprit dans une prison de chair où seule la force du vent pourra venir te prendre... Je ne sais pas... Le murmure a semble-t-il été avorté, arraché, distendu... Oublié... Je ne sais pas... Le temps passe, mais comme une gangrène, le manque ronge mes chairs et mes veines, aspire mon sang dans la boue et fait rompre mon coeur d'agonie. Seigneur, apporte moi un soupir, juste un seul... Pourquoi Ô fou que je suis ai-je réclamé ce messager... Car maintenant de l'attente je supplie la fin... Pourquoi ce silence soudain, pourquoi cet oiseau posé si loin de moi... Je ne sais pas... Un souffle... De vent... Je ne sais pas... J'aimerais que tu sois là...


--- Eleken,
Pas le grand moral ce soir
MAJ
Le moral remonte :o), merci.

...

Ce matin Je me suis levé,
J'ai levé les yeux vers le ciel,
Qui avait la couleur du miel,
Parce que le soleil arrivait.

Je suis mort écorché,
Mais mes blessures pansées,
Je marche à nouveau vers une colline,
Sur un chemin de pavé en rimes.

--- Eleken,
Marcher c'est bon pour la santé :o)
Et parler... aussi ;o)
...

Autre...

Je dois le dire, parce que je ne peux plus tenir... Le monde autour de moi change, le temps passe et trépasse dans l'abnégation la plus complète... Et pourtant, malgré les cataclysmes et la misère... Malgré la violence et la peste mortelle... Tu es là... Tu es là où tu as toujours été... Prêt de moi... Avec moi, me soutenant et m'aimant... Alors maintenant je vois, c'est un cri de l'âme, un hurlement de mon esprit, je ne sais pas pourquoi mais demain, quand le vent soufflera et que la nuit se terminera, je serais là.

--- Eleken,
Les dés sont jetés depuis bien avant que je sache jouer.

Fantôme

Ce matin, c'était si doux, si tendre, te voir, te revoir enfin, te sentir, te ressentir... J'ignore pourquoi je suis à nouveau là, pourquoi je me suis à nouveau incarné, pourquoi tu m'as appelé, pourquoi tu m'as prié... Mais je suis resté, errant dans les limbes à l'orée de ta conscience, et par là même, j'ai survécu à la mort, j'ai survécu au néant, j'ai survécu à l'oubli. Je n'aurais jamais eu cette force si tu n'avais été là pour me la confier, je n'aurais jamais ce courage si tu n'avais été là pour me le donner... Elle voilà que tu m'appelles, que tu m'ensorcelles à nouveau. Tu psalmodie mon nom en une longue litanie, tu m'appelles, m'attires, me tires de mes limbes... Et me voilà qui apparais, qui m'incarne à nouveau en ce monde... Je sens l'air picoté la vapeur que je suis, je sens la chaleur parcourir mon évanescence... Je suis là, et tu me regardes...Un sourire apparaît sur ton visage, et même si tu ne peux me le dire, à cause des étrangers autour de la table, tes yeux me parlent et m'exprime tout l'amour que tu ressens encore pour cet être défunt que tu contemples... Tes yeux qui m'aiment et me caressent...

--- Eleken,
Dar la di da da da,
:o)

lundi 20 août 2007

...

Il y a sur cette terre,
Une ancienne guerre,
Qui se bat pour une foi,
Qui continue pour toi.

D'aucun aurait abandonné,
Beaucoup s'en serait retourné,
Mais il reste encore un combattant,
Parmi les arbres encore fumants.

--- Eleken,
Je dois dire que je ne pensais pas être content de revenir ici,
Mais je le suis :o), ... et la suite autre part.

dimanche 19 août 2007

Courrier

Il y avait dans l'air un parfum de guerre, ce matin où m'est arrivé le vent. D'ouest en est, il avait parcouru la plaine, du crépuscule à l'aurore, le temps était venu. Je me rappelle chaque détail de cette horrible seconde. Le soleil caressait délicatement ma peau, les oiseau s'égaillaient dans le pommier tout prêt, le vent soulevait les vêtements qui séchaient... Et dans mes mains cette lettre, froide comme une horreur, les bords droits et agressif, qui me l'a dit sans concession. Elle le nomma d'un matricule, elle lui donna un grade et une cause officielle, mais ce qui résonnait ce jour en moi n'était pas d'encre et de papier... En mon coeur déchiré, s'écoulait la mort... Celle de mon enfant... Mon enfant mort... Mon fils disparu... Je suis tombé à genou, recroquevillée sur ma robe... Le monde autour de moi n'avait pas changé, les oiseaux ont continué de chanter, le soleil de briller, le ruisseau de couler... Mais je ne les entendais plus, je ne les sentais plus... Ils n'existaient plus.

--- Eleken,
Jour de pluie,
Demain c'est la reprise du boulot, ça va être dur :oP,
Mais au moins j'ai une raison d'y aller :o)
...

samedi 18 août 2007

Je te regarde, je ne t'oublis pas...

Tes cheveux prennent une teinte cuivrée sous l'éclat orangé du crépuscule. Tant de peine ce soir dans tes yeux... Est-ce le couchant du soleil que tu pleures ainsi ? Est-ce mon reflet qui miroite dans tes larmes. Je suis désolé pour aujourd'hui. Je suis désolé pour ce que je suis. Je n'ai été que trop absent, trop loin de toi aujourd'hui... Le vent soufflait toujours du mauvais côté. Et toi qui m'attendais, toi qui t'inquiétais. Je navré de t'avoir ainsi laissé loin de moi, ne serait-ce qu'une seconde. Il y a pourtant dans tes yeux tant d'amour à donner, tant de bonheur à partager... Je n'ai été que trop aveugle aujourd'hui. J'aurais du regarder, attendre, écouter, soupirer. Des plaisirs simple comme ce soir, partager le couchant, même si tu le regarde d'une autre colline, nous partageons cela... Nous... Et aucun autre. Je pense à toi...

--- Eleken,
Aujourd'hui, j'aurais raté tout les oiseaux...
Ce n'est pas faute d'avoir scruté le ciel,
Mais à chaque fois j'ai cligné des yeux au mauvais moment.
...

...

Je mène ma guerre,
Sur les vagues, la mer,
Comme un capitaine,
Je trompe ma haine.

Les guerrier morts,
Peuple mes cauchemars,
Au final, l'esprit tord,
Sous le sombre regard.

Je me battrais jusqu'au bout,
Je subirais chaque coup,
Car il y a une voie devant moi,
Une bataille, un destin de roi.

--- Eleken,
Vais profiter du soleil :o)
J'ai vu un oiseau passé,
Mais mon visage innondé,
Je ne l'ai vu que trop tard,
Pour y répondre sans écart.
... :o)

vendredi 17 août 2007

...

Je suis sous le joug,
D'une armée de mort,
Me disant que j'ai tord,
De me nourrir de tout.

Alors je leur répond,
Qu'il ne serait pas sage,
Que ceci fait présage,
De mourir d'érudition.

--- Eleken,
Je me bats contre un ennemi qui ne porte pas de nom,
Cet ennemi est mien,
Il est ma créature infernale,
Qui me ronge et brûle mon âme,
Des siècles à lutter contre la flamme,
Au bout du chemin, une dame, une lame,
un amour et une mort.

jeudi 16 août 2007

Marche... Larmes

Larmes, que faire d'autre, pleurer, mourir, frapper, hurler... Je n'y arrive plus, je ne peux plus affronter cette existence qui, pour chaque espoir, me frappe de désespoir... J'ai tant attendu ce jour, j'ai tant désiré cet instant accordé... J'ai tant rêvé de te revoir... Mais voilà que quand j'arrive tu n'es plus là... J'ai franchis tout ce temps, toutes cette distance, à force de courage et de volonté... Pour me voir brisé à la fin sans concession, sans remord ni regret, sans... Je tombe à genou... Il n'y a rien que je puisse faire... Hurler contre le vent ? Pourquoi, il ne me répondra pas. Frapper les murs ? Pourquoi, la douleur physique n'altère pas la douleur de l'âme. Pleurer ?... Encore et encore... Mes larmes font une rivière, mais aucun poisson n'y vit, aucune mer pour les recueillir... Mourir ? Encore un petit peu, au dessein de ma vie, au terme de mon existence... Voilà ce que je suis, un écoeurant, un repoussé, un sans-intérêt... Je t'avais pourtant envoyé cette lettre, te suppliant de m'attendre ce jour, quelques soit la tempête... Un oiseau était venu murmurer à mon oreille ton assentiment... Alors pourquoi ? Pourquoi ? POURQUOI !!? Je ne sais pas quoi faire... La pluie, je l'ai affronté, la nuit, j'y ai survécu, le temps, je l'ai combattu... Alors pourquoi tout cela... Si au final... Tu n'es pas là... Si au final... Tu n'es pas là...


--- Eleken,
Ceci était mon dernier pas, car je me bats,
Je ne suis pas un autre, alors...
S'il y avait un mot exprimant ma douleur, je le donnerais, mais il n'y en a pas.
enfer-douleur-torture-brûlure-arrachement-horreur-brisé
MAJ
Allez mon gros, sourit un peu à la vie, elle est pas si nulle :o)... Parce qu'il le faut bien...

La fin de la marche

Je suis enfin au bas de la montagne, à pied de la verdure, marchant sur l'herbe, à travers la prairie. Je sais que tu es là quelques part, devant moi... Pourquoi ne cours-tu pas à ma rencontre... Pourquoi n'es-tu que silence aujourd'hui... Je n'ai pas vu l'oiseau revenir, cela me fait blémir, de peur, de remord... Pourquoi ? Un petit pont passe sous mes pieds, la caresse du soleil est une merveille, mais je ne suis que préssé, te voir, te sentir, d'espoir je me nourris, d'espoir je vis... Envois moi un murmure, un souffle, un oiseau, juste une once qui me dise, je vais bien... Simplement, je vais bien...

--- Eleken,
De retour à Paris

Absolumn 2007

Au revoir Die...

--- Eleken,
Juste un mot ...

mercredi 15 août 2007

Fourmillement de l'âme

Le temps est partis, voici venu celui du retour, je me prépare, avant ce soir, de faire mon repas d'adieu à ma famille... Ou il n'y aura sans doute personne, triste épitaphe sur une vie sans strasses. Aujourd'hui le temps est lourd, de chaleur suffocante il promet un orage en dilettante. Malheur à toi sombre pêcheur qui un jour bientôt verra mourir l'âme et le coeur, faute d'avoir su combattre, faute d'avoir connu ce qui m'est inconnu... J'ai le blues, aujourd'hui, de ce temps racornis... Un temps où pour chaque instant je vivais, où chaque seconde je donnais... Et où chaque fois, on me rendait... Je me trouve bien ennuyeux ce jour, mais après tout, comment prétendre à mieux, je suis un enfant, je suis un gamin... Je ne suis que l'intolérant de l'intolérable qui lutte sans réussir contre le mépris du vent contre le sable... Je suis moi, Alexis, Eleken, Seigneur de sa soupe comme dirait ma mère, fade à toutes heures, intéressant une minute... Au revoir petite ville, car déjà, je suis partis...

--- Eleken,
Je pense, je suis... ou peut-être que non

...

Demain, je pars,
Dans les limbes je m'égare,
Je suis au trépas,
Aujourd'hui je suis las.

Alors j'ai espoir,
De la lumière revoir,
En revenant à Paris,
Revoir mon ami.

--- Eleken,
Et puis ...
Morose attitude

Fasciste !

Fasciste ! A clamé ce soirée le camé, le drogué, le piquet... Sympathique, mais pourquoi donc, toi que je ne connais qu'à peine me traites tu de fasciste, cela me blesse, cela me touche, cela m'offusque, pourquoi donc cela ? Parce que, rappelles toi, petit con, ce temps lointain, tu es venu un jour au local (de musique), rappelle toi comme tu t'es assis parmi nous (, parmi vous qui fumiez du cannabis, consommiez du mauvais vin et ne travailliez pas, vivant au crochet de l'état, oui je m'en rappelle bien)... Et là, tu as osé proférer des propos distant des nôtres, dire que tu n'étais pas d'accord avec notre point de vue... Oui je m'en rappelle bien, cela ne fait pas de moi un fasciste, vous dire en face que je ne pense pas que les communautés-communiste-auto-proclamées aient un avenir, vous dire que je préfère vivre du fruit de mon travail quitte à me retrouver dans une mauvaise passe si je m'écroule, plutôt que de vivre au crochet de la société, la tirant irrémédiablement avec toi dans ta déchéance... Alors oui, si dire simplement cela fait de moi un fasciste, alors je suis un fasciste, satan, l'opposant, celui qui, naïvement, a cru qu'il pourrait débattre est faire bouger vos idées ressassées et mitonnantes... Celui qui simplement croyais qu'à 1 contre 5, un débat d'idées pouvait quand même avoir un intérêt. Je suis Satan (d'opposant en hébreu au cas où vous commenciez à m'agresser en ignorant le sens profond de ce mot), mais je ne cherchais pas à imposer par la violence mes idées, juste à discuter, voir si j'avais tord ou raison, évoluer dans mes réflexions... Grandir, au contraire de toi. N'être pas d'accord fait de moi un fasciste à tes yeux, ils sont ternes et ne reflètent aucune intelligence alors même si cela me blesse, cela ne me dérange finalement pas tant que ça. Fasciste dis-tu... Et toi, qu'es-tu pour me qualifier ainsi... Je crois, sans me tromper, que mon pauvre ami, tu es bien plus fasciste que moi.

Tout cela j'aurais bien aimé te le dire ce soir, mais je ne t'ai pas donné la satisfaction de me lancer dans un débat stérile avec toi, je ne t'ai pas donné la chance de concrétiser ce que tes yeux de poivreau minable voulait... La Violence, ton désir de démontrer par le sang le manque de but de ton existence... Je te le dis sans remord, tu es un minable et moi pas... J'ai des choses dans ma vie, des remords et des regrets qui me rongent sans cesses, je meurs chaque seconde un peu plus et chaque jour se passe dans la douleur... Alors toi et tes idées fascistes, gardes les toi, rumines les bien, je fais plus pour ce monde que tu n'en feras jamais... Je ne t'ai pas donné satisfaction ce soir, mais je le regrette, mes points me brûlent, ma haine me consume, mon coeur s'affole de colère... Cette douleur vient d'ajouter à la douleur... Je voulais tellement vivre... Je dois m'arrêter là, regarder, survivre... La douleur est grande car je suis estropié... Je ne sais trop quoi dire, j'ai conscience de valoir plus que toi, petit minable diois qui pourrira ici... Mais qu'est-ce que je vaut... Je devrais être heureux... Je me sens si mal. Et pourtant, mais pourtant... J'aimerais que tu sois là... Ce soir j'ai vraiment besoin de toi... Mais pourtant, et pourtant... Je suis perdu. Où que je me tourne, je ne vois plus l'espoir. Où que je me porte, il n'y a plus que l'obscurité. J'ai besoin, ce soir, d'un peu de réconfort, mais je ne peux que hurler à la nuit, car elle seule est là pour m'accueillir.


--- Eleken,
Journée de merde absolue,
Ras-le-bol, je me sens seul ici, je me sens tristement seul.
Et ce con qui m'agresse en pleine rue, fasciste, belle publicité,
Mais pourquoi je ne lui est pas simplement cassé la gueule plutôt que d'avoir continuer mon chemin, pourquoi ? Parce que je suis un faible et un minable, voilà pourquoi !
Parce que je pleure comme un gamin bien trop souvent,
Parce que le poids de ma vie me semble bien trop lourd à porter depuis de trop longues années.
Je n'ai connu que la haine et la violence de toute ma vie, aujourd'hui j'aimerais... (et là, comme un gamin, je pleure)
:'(
PS : j'avais besoin de hurler, car si je ne parlais pas... Je n'ai pas quoi dire de plus, car ce sont des choses stupides à écrire, déplaisantes et sans intérêt. Je ne sais pas ce que ce texte va inspirer, j'espère qu'il transcrit toute la peine et la colère, tout l'épuisement qui est le mien aujourd'hui de me battre sans cesse, toute la rage que je ne peux exprimer, toutes ces blessures qui ne se sont refermées.
PS2 : Merci à ceux et celles qui sont mes amis. Ils se reconnaîtront, ils sont la seule raison que j'ai d'être. Pour eux, pour toi, un :o), un ... (je me sens apaisé, d'avoir lâché ce texte long et dépressif. Ça va mieux :o))

mardi 14 août 2007

...

Solitude moribonde,
Qui me sème d'hécatombe,
Je meurs de ce silence,
Qui en moi fait rance.

Je voudrais tellement pouvoir,
Faire le saut, t'avoir,
Prendre dans mes bras une enfant,
Qui serait naît du temps.

--- Eleken,
Kart/Bowling annulé :o( fait chier,
Journée de merde, merci monmon
...

Je marche vers le soleil...

La descente est plus facile de ce côté ci. Cette face de la montagne est exposée au soleil et me réchauffe le coeur, ici le vent n'est plus glaciale mais chaud et réconfortant. Peu à peu, la végétation s'étoffe et s'enhardie de verdure. Je commence à entendre certains oiseaux chantés de leur voix fluettes de gaies mélodies. Sous mes pas, les rochers et caillasses se complètent bientôt de terre et un peu d'herbe. J'aperçois en dessous de moi, la rivière encaissée au fond de la vallée, menant à un grand lac miroitant sous le soleil... C'est là que tu es, là que tu te trouves... C'est là que tu sera toujours jusqu'à mon retour... Il n'y a de limite que la peur...

--- Eleken,
Fait soleil aujourd'hui, allons lire sous le tilleul :o)

...

Un murmure un frisson,
Des mots que je glisse avec passion,
Sur ton épaule repose ma tête,
Dans le vin je m'enivre, je m'entête.

Il n'y a plus de forêt,
Pour te cacher ma personne,
Je suis encore là à t'aimer,
Alors que le temps résonne.

Alors je continue le soir de rêver,
Juste pour dire à la pluie,
Que je continuerai, je me battrai,
Pour la joie, une promesse d'ami.

--- Eleken,
On s'est pris une bonne saucé ce soir,
Sinon soirée billard tranquillou,
Demain, normalement Kart/Bowling :o)
... Bonne nuit

lundi 13 août 2007

Qui est ce petit garçon ?


Eleken,
Cette photo trainait à côté de moi, pendant que je faisais de la guitare
Juin 88 (à la question tu as quel âge dessus, j'avais 7 ans)

Je marche toujours...

Je marche toujours, je viens de traverser deux journées infernales... Je n'ai pas vu le soleil, sous un ciel de plomb, noir et menaçant, j'ai avancé ses deux derniers jours. Dans le vent, parfois sous la pluie et la grêle, j'ai marché, sans me reposer, sans cesser, sans m'arrêter sans dormir. Je sors de ces deux jours comme l'on sort d'un cauchemar, mal mais heureux de voir que c'est derrière nous... Me voilà arrivé au sommet de l'arrête rocheuse... Et devant moi je contemple l'espoir. Au loin, en bas, la verdure, les plaines chatoyante, enfin... Et toi je l'espère. Je vais maintenant commencer à descendre vers toi, je pense que dans seulement cinq jours, je serais à tes côtés... Si Dieu le veux, car moi je le veux, je le souhaite, je l'espère... Je supplies Dieu de me laisser cette chance, cette chance de te voir, cette chance pour laquelle je me bats sans faiblir depuis si longtemps... Accordes moi cela, pour le prix de tout mes sacrifices Seigneur, je te le demande à genoux... Pouvoir sentir ta peau, caresser tes cheveux, respirer notre amour...

--- Eleken,
La fin des vacances approche
et la fin de ma poisse aussi j'espère.
...

le retour du guerrier...

Rentré de ma soirée, très sympathique, nous sommes allé aux Naunières dans le haut Diois dans une fête où l'on dégustait la soupe au pistou (bon de la soupe, pas de mystère la dessus), avec ensuite buvette, pizza, fromage et dessert inclu... Ce fût vraiment un moment très sympathique, nous avons ensuite finit au pub à refaire le monde et jouer au billard... Demain, je vais dormir :oP l'après-midi, vu le mauvais temps annoncé, nous allons sans doute faire du kart et du bowling (Monmon étant au chomage technique à cause de sa machine).

--- Eleken,
Notons tout de même que pour la soupe j'avais le n°13 ;o)
C'est dingue quand même.
JTFUGB

dimanche 12 août 2007

Et la série continue...

Bon alors, poisse+1, ce matin je devais aller sur le marché de Saillan pour vendre un peu de la raviole et faire le vide grenier... Les opérations ont légèrement changé puisque ce matin Ennemond m'appelle, la machine qui fabrique les ravioles vient de tomber en rade, une pièce à cassée... Bref, je passe sur ma journée boulversée, mais normalement à 16h30, après être allé chez mon grand-père et passait quand même sur saillant pour la brocante, trimballé par ma soeur, nous devions faire le pique-nique prévu et annulé récemment... Mais pour le moment, point de Monmon à l'horizon, c'est une journée bien pourrie dans l'ensemble... Au pire ce soir je pense quand même manger avec lui... Dans l'attente, avec mon manque pour seule compagnie. ...

--- Eleken,
La poisse frappe partout autour de moi,
c'est un peu trop là quand même.
Un :o) quand même et ...

Le programme, demandez le programme

Alors, bonne soirée avec Nicolas, puisqu'au final Ennemond nous a honteusement lâché... Alors oui, il a simplement, par un malheureux concours de circonstance, coupé son portable pour pouvoir faire craccrac en paix avec sa copine, il s'est malheureusement endormie chez elle pendant qu'elle partait travail... Et donc il avait malheureusement 3h de retard et il nous a rejoins directement à la case "bière après le repas", bon il a aussi loupé le petit concert... Mais bon, je me tais, je me tais, je me tais. Notons tout de même le plaisir manifeste de Maxime que je lui ai trouvé cette vieille megadrive sur la brocante ce soir... Bon sinon demain, brocante et marché toute la journée, donc probablement difficille de donner des nouvelles.

Eleken,
Note d'Ennemond, rajouter à la série des poisses, j'avais acheté 2 bouteilles de vin au début des vacances... Avant même d'arriver à la voiture, le sac lachait et l'une se brisait, la deuxième se révélait inbuvable à cause d'un défaut de bouchonnage... :oP C'est de la folie
Bon week-end et ... :o)

samedi 11 août 2007

L'homme qui avait la poisse

Franchement, faut que j'en parle, parce que là, j'ai vraiment l'impression d'avoir la poisse... En 2 mois il m'en est arrivé de belle quand même.
Tout d'abord, on me vole ma carte de crédit sur Internet, 1000€, bon ça s'est bien terminé, seulement quand je récupère ma nouvelle carte de crédit le samedi matin, je me la fait voler le soir même... Et là je suis en vacance, tout d'abord la voiture de ma mère est foudroyé sur un parking alors toutes les voitures autour n'ont strictement rien... Et là ce matin, la banque de refroidissement qui contenait les ravioles, la plaque de plexi du haut, cède sous le poid des pots de miel et des bouteille de vins posés dessus et tout se crash 60 cm plus bas, les ravioles pleines de verre, les pots de miel explosés... Heureusement c'est arrivé à 12h30 à la fin du marché... Je dois rajouté que c'est arrivé au moment où j'ouvrais la porte de la banque... Bref, je suis maudit... Que celui ou celle qui m'a maudit arrête, parce que je vais finir par perdre une jambe dans l'affaire moi ;o)...

--- Eleken,
Faut positiver à fond ;o)

...

Juste un murmure, un mot,
Pour que tes yeux,
Ne se remplissent d'eau,
Pour un rêve, un voeux.

Voici un oiseau de nuit,
Pour combattre sans cesse,
Pour à mon retour être en vie,
Une pensée tendre, une caresse.

--- Eleken,
Un petit pour le moral,
I'm going to the market place,
Et demain vide grenier à partir de 6h ça va être torride :oP
Bon week-end ...

Extrait du Lac Rouge, morceau du soir

Je rentre chez moi, cachant comme je le peux mon visage au creux de ma poitrine. Je ne veux plus voir le visage apitoyé ou plein d’incompréhension des habitants de cette ville. Ils ne comprennent pas, ils ne savent pas, ce que j’ai perdu ici… Ce qu’il m’a prit. J’ouvre puis referme ma porte derrière moi, me revoici dans mon cocon gris de solitude déprimante. Mon « chez moi »… Notre « chez nous », je chasse immédiatement cette pensée de mon esprit. Depuis quelques jours, les remords sont horribles, ils sourdent sans cesse à l’horizon de mon esprit, sans cesse ils me taclent de honte, me rappelle sans cesse que je suis vivante et eux non…

--- Eleken,
Voilà un morceau juste derrière ce que j'ai écrit ce soir
et en fin d'après-midi. Je continu ma relecture du reste sinon.
Demain matin, vendeur de raviole puis Françis,
puis Nicolas, etc... (grosse journée demain :oP)

vendredi 10 août 2007

Le cri



Eleken,
Sans faiblesse et contre l'obscurité, mon cri se bat.

MAJ
Un peu de changement ne fait pas de mal, je vais (re)voir harry potter au ciné à 18h et après dîner ;o) ...

Réveil tardif

Tiens donc, l'une de mes seules grace-matinée de mes vacances, ça fait du bien :o)... Aujourd'hui petit programme, aller en ville chercher mon billet de train, et puis... Et puis, me promener dans la ville (ça va me prendre au moins 15 minutes :oP) avant de rentrer chez moi si je n'ai rien trouvé de mieux à faire d'ici là. En tout cas, aujourd'hui, il fait beau, donc je pense que je vais faire tout ça à pied pour changer, de toute façon, ma voiture "foudroyée" selon toutes vraisemblance ne risque pas de démarrer encore... Quand à ce soir, je vois sans doute Françis, peut-être Ennemond, sais pas trop... C'est les vacances, je vais improviser... Ah, si faut que je déplace ce PC chez ma soeur, que je fasse ma liste de livre pour ma mère pour noël et que je "range" ma "chambre" :oP... De quoi m'occuper tout l'après-midi ^^...

--- Eleken,
Pour une fois que j'utilise mon blog pour raconter ma vie,
Mais bien sur je rajouterai que je vais continuer le Lac Rouge
...

La visite des cabanons dans les vignes

Un petit dîner champêtre, sous la pluie et sans soleil, nous avons écouté l'accordéon, fredonner des morceaux avec passion, sans était les ravioles et le saucisson, le pain et la cuisson, nous avons bu du bon vin qui ne se ferons plus sentir demain et nous avons passé un bon moment... Pas grand chose de plus à dire sur cette soirée, demain, si possible marché de chatillon, sinon tant pis, marché dans mon lit faut dormir. Aujourd'hui j'ai aimé te parler, je me suis sentis tellement proche, comme si tu étais à côté de moi... Si proche... Et de moins en moins loin.

--- Eleken,
Fatigué, m'en vas dormir

jeudi 9 août 2007

Sang remord

Et un autre texte, non publié pour les même raisons et dans le même état ;o)


Si vous étiez un vampire, si vous aviez pu faire le choix de protéger et d'aider l'humanité, mais que celle-ci, par peur, vous enferme, vous plonge dans les ténèbres où vous y perdriez votre âme et votre esprit... Mais pas votre vie. Voici cette histoire.

Eleken,
Et deux anciennes nouvelles qui attendaient patiemment leur publication.
PS : Le titre me fût inspiré :o)


MAJ Ajout de la visionneuse en flash (test :op)

Le dernier des Puritains

Voici une nouvelle écrite en avril, non publiée jusqu'à présent pour laissé la primauté au recueil dans lequel elle figure... Alors ce n'est pas sérieux, je sais, mais il ne s'agit pas de la version finale éditée, c'est-à-dire que celle-ci comportera son lot non négligeable de fautes d'orthographes ;o)




Le dernier des Puritains




"Que feriez-vous si comme moi, vous aviez tout perdu ?" C'est en substance le leitmotiv de cet homme a qui les marcheurs ont tout pris et qui se retrouve à combattre leur race avec désespoir et abnégation, non pas pour un but personnel, mais pour le bien de l'humanité égoïste.

Eleken,
Petite histoire de vampire ;o)

I'm (passe mes vacances) in the rain :oP


Eleken,
Et bien vive le noir et blanc :oP, de toute façon vu le temps dehors, c'est kifkif ^^
Maintenant faut que je trouve un truc à manger, c'est pas sur que je trouve grand chose.
MAJ
Je continu de bosser ma guitare... Bon j'improvise comme d'hab, sur mon humeur... Plus joyeux maintenant, vas savoir pourquoi :o)


...

Je suis en train de mourir,
De ce manque en mon coeur,
Je n'arrive plus à le contenir,
Et maintenant, oui j'ai peur.

En attendant je garde espoir,
De simplement te revoir,
Garder à l'esprit un sourire,
Celui qui se nomme avenir.


--- Eleken,
Bon mauvais temps annulation du pique-nique,
A priori bloqué chez moi puisque parents partis avec la voiture.
J'espère que le repas de se soir se fera quand même.
...
MAJ
Je vais arrêter de me plaindre du mauvais temps et tout et rien :oP, après tout, j'ai de la lecture et j'ai pris du retard dans mon écriture (encore oui je sais, toujours en retard le gaillard ;o))
Donc je :o) et vais profiter comme je peux de ma journée.

De retour...

De retour de soirée, sympathique, je dirais même tranquillou-pillou... Finalement, nous avons mangé au Mexicain à deux, avant de passer la soirée à papoter entre homme autour d'une bière, d'un billard puis d'un coca... Le seul élément marquant de la soirée aura été mon retour chez mes parents... La porte été fermée... Ils avaient oublié que sans clef de voiture, pas de clef de porte... Et me voilà tambourinant 1/4h, faisant sonner tous les téléphones de la maisonnée (certains diront que je n'ai pas de chance) pour finalement réveiller ma mère et arriver à rentrer... Donc me voilà enfin prêt à me coucher (finalement j'ai un peu de chance).
Demain, ne me cherches pas trop, à partir de midi, je suis de pique-nique tout l'après-midi dans les hautes-montagnes du Vercors, suivit le soir d'un repas champêtre et d'une marche nocturne (que d'émotions en perspectives)... Donc forcément, pas de connexion internet et peut-être pas de portable (ça je l'ignore je préfère prévenir) durant le pique-nique (je l'aurais la soirée pour le repas, ça c'est plus sur)... ... ... ... ...

--- Eleken,
Un oiseau de nuit vole pour dire ...
Des courbatures partout d'avoir courru :oP
C'est fatiguant de vendre des ravioles

mercredi 8 août 2007

Sous les gouttes

Sous la pluie, sous chaque goutte, ruisselant de cette eau qui me fait penser au Lac, j'avance, je marche, je me bats. Il n'y a pas de doute en mon âme, pas de route autre que mon chemin, pas de recule dans mes pas... Il ne peut en avoir, car ici se trouve une mélopée, une mélodie, un chant tribal qui fait battre mon coeur. J'ai quitté la forêt aujourd'hui, je suis arrivé au pied de la montagne sur laquelle ne pousse pas une plante si ce n'est des ronces et buissons d'épines... Ici le froid est pire, il n'y a plus rien pour m'en protéger, mais je continu d'avancer, mais pas faisant ruisseler la marne sous mes pieds... Mon équilibre je dois le garder, car le perdre serait reculer, le perdre serait mourir, et il y a déjà trop de mort dans ma vie, je ne viendrais pas ajouter au lot, je me battrais, et la mort j'éviterai... Le sommet est loin, mais il se rapproche, doucement, tout doucement...

--- Eleken,
Bon Monmon arrive pour me récup' pour le resto (entre mecs) de ce soir,
Comme j'ai pas de voiture (panne oblige) j'accepterais peut-être sa propal d'hier à savoir dormir chez le loustic (ce qui serait plus simple pour lui, ce que je peux comprendre)
Sinon, merci pour l'oiseau de nuit ça m'a fait très plaisir.
PS : retour probable à Paris, Jeudi 16

...

Je me lève en pensant,
A mon prochain lendemain,
Pour qui je suis patient,
Un rire, accordes-toi, enfant.

Je pense sans arrêt,
A ce lointain jour bénit,
Où je pourrai retrouver,
Dans ces lieux mon amie.

--- Eleken,
Un rapide, je suis déjà à la bourre,
J'ai promis d'aider Maxime ce matin
"Bonjour :o) ..."
Pouvais-je répondre, je ne savais pas trop,
alors j'ai préféré attendre :oS

mardi 7 août 2007

Ce soir...

Après une journée mouvementée, un après-midi sous la pluie et l'orage, coupé du monde par l'air technologique, me voilà arrivé au terme de cette soirée. Un brusque incident de voiture, m'a contraint au retard dans mon planning, mais le repas ce soir s'est bien passé, me voici, ici, revenu de mon voyage... Bien fatigué. Je m'en vais me coucher, l'esprit chargé de souvenir, un manque toujours présent me saisit, encore un jour de pluie. Demain, marché le matin, vendeur de raviole obligé, bien dormir je vais essayer, le coeur plein de rêve, l'esprit plein de souvenir... un enfant se couche.

--- Eleken,
...

...

Je crains de trop en dire,
Car mon silence est-il pire,
Comme une brûlure sur ma peau,
Mon manque est trop haut.

J'ai laissé loin de moi,
Mon ange rouge guerrier,
Me parcours alors l'effroi,
De ne pouvoir te retrouver.


--- Eleken,
N'Bargol, seigneur des limbes de l'autre royaume,
laisse moi une nouvelle fois traverser les terres d'otragon,
laisse moi une dernière fois la voir par delà le temps et l'espace.



Ce que j'écoutais pendant que j'écrivais ce non-dits :

Au sortir du repas, les mollets en feu

Je viens posément de m'extraire hardiment de ma chaise, de se repas où j'ai affronté vaillamment une portion de spaghetti bolognaise honteusement énorme. Je me suis consolé en sentant mes mollets hurler, geindre de protestation devant ce que je leur ai imposé ce matin, à savoir une course à pied, de quatre kilomètre sans ronchinier... Mais bon n'empêche que les ravioles sont bonnes... Et qu'à se rythme, il se pourrait bien, qu'avant la fin du mois, je me soit qualifier d'obésité. Non, tempête-je, de gras je ne ferais plus, à partir de maintenant finit les vacances culinaires, en avant pour le régime séculaire...

--- Eleken,
Je veux pas finir gros et chauve, je préfère mince et chauve ;o)
Bon cette après-midi foire à boulc, ce soir resto,
Encore une journée bien remplie.

...

A la lumière d'une torche,
Mon âme plongée dans l'ombre,
D'un dédale de catacombes,
Me réduisant à l'accroche.

Où erres-tu mon amie,
Toi qui de revenir je supplie,
Dans quelle pierre te caches-tu,
Montre moi le chemin, veux-tu.

--- Eleken,
Chatillon de nuit éclairé à la torche c'était bien sympas

lundi 6 août 2007

...

Ô sang de mort,
Qu'ai-je fais au passé,
Pour être chassé par tord,
Comme un légume jardiné.

Je n'ai pourtant que pardonné,
Le passé et la destinée,
Alors faut-il que je sois châtié,
Pour un héritage refoulé.

--- Eleken,
J'aime pas les légumes verts


MAJ
Petite impro sur mon humeur du moment, un mélange de joie d'être en vacance, écrasé par un manque, par une mélancolie, car ici bas, il y a un manque... Des gens me manquent.



MAJ2
Mais pourquoi mon passé me saute à la gueule comme ça ? C'est et ça reste du passé... Je respecte ma parole, toujours.

MAJ3
http://okedomia.blogspot.com/2007/08/blog-post_5481.html
Ceci est la preuve qu'il n'y a ici aucune mauvaise foi de ma part...

...

Il y a en mon âme un manque,
Coule mon sang de l'encre,
Par mes veines tranchées,
A l'espoir que j'ai rêver.

Ce jour, je suis sans réponse,
De mon oiseau de bonheur,
La tristesse emplie mon coeur,
Car sans espoir et sans annonce.

--- Eleken,
Where is my mind.

Ce soir fût une bonne soirée

Journal de bord du capitaine, année stellaire 20070805 :
- Aujourd'hui j'ai été embauché de force pour travaillé dans les mines de ravioles qui on fournis la planète Chatillon-en-Diois et sa fête tri-centenaire du vin.
- Puis, un Monmon de l'espace m'a finalement libèré pour nous amener dans un drive-in interstellaire où nous avons mangé des space-pizzas.. Pas de bol ils ne prenaient pas la carte, mais en raclant bien le fond des poches nous avons réussi à réunir les 33,70 Euro-galactique néccessaire pour éviter l'enprisonnement et la chaise électronique.
- Puis nous avons bu un verre, parlé, bu un verre, parlé, parlé, etc... Et là je viens de rentrer chez moi sur terre

--- Fin de l'enregistrement ---
--- Eleken,
Ajout, je vais me coucher :oP,
Car demain je vois mes cousins toute la journée et peut-être en soirée.

dimanche 5 août 2007

Un rêve, juste un... un qui n'est pas un souvenir

Ce matin, j'ai fait un rêve, perdu devant mon clavier, un rêve comme je n'en avais plus eu depuis longtemps. Ce rêve, il va falloir que je l'écrive, il va falloir que le sorte, comme des larmes de mes yeux, tout à l'heure, j'ai fait un rêve. Je ne sais pas le situer, je ne sais pas quant c'était... J'étais devant mon clavier, j'écrivais, j'écrivais la fin de l'histoire, une histoire triste ou je te perdais... Et puis je levais les yeux et là-bas, au bout du chemin, tu te tenais, ta silhouette se découpant dans le couchant... Au bout de ce chemin de terre... Des rochers, de la pinède, de la lavande... Et toi, seulemment toi, qui tout simplement était là, alors que je ne t'espèrais plus... Le vent se lèveras peut-être cette nuit là, mais il y avait tant à dire et étreindre, que mes pas m'on guidé, simplement au bout du chemin.

--- Eleken

...

Comme une ride sur l'eau,
S'étend mon mal de peau,
Au couchant tu me manques,
Au lever, pire étant que.

Si je savais voler,
Vers le Lac je voyagerais,
Pour prier sur ses bords,
Ton retour avant ma mort.

--- Eleken,
Dimanche, jour du seigneur,
Fête de la vigne cet aprèm, resto à midi

samedi 4 août 2007

La soirée... nulle

Bon, chose peu coutume (comme à chaque fois je me répète), petit journal de bord (très vite, je vais me coucher je suis épuisé)... Alors ce matin, debout 7h, puis vente de raviole jusqu'à midi. Cela s'est bien passé comme prévue, pas d'imprévu, pas de bévue... Petit murmure dans le vent, pas de réponse, inquiétude, j'espère une peu plus de nouvelle demain... Puis début d'après midi, je vais voir Françis, là tranquilou jusqu'à 16h, puis chez ma soeurette, pouponnage... C'est étrange comme Mélina est toujours très calme quand c'est moi l'ai dans mes bras (dixit ma soeurette) alors bon, je suis bon pour être un bon papa apparemment :o).
Bref... A partir de 17h, c'est le drame, en 1er, Max annule le cinéma il peut pas venir... Qu'importe j'y vais seul... Et là je tombe sur Maxime et sa copine... Hum, y a du pipo dans l'air ? Non m'affirme t-il, il s'est fait engueuler par sa douce pour venir quand même (malgré son travail)... Bon ok, film super... Et puis là, soirée de la loose, Monmon qui devait me rappeler, j'attends toujours, le concert, personne tout nul, chez Françis, personne tout nul... Conclusion, ce soir je suis rentré à 23h... Et depuis, je somnole devant l'écran... :oS

--- Eleken,
A bientôt pour de nouvelles aventures aussi trépidantes.

Cet après-midi, c'est cinéma :o)







Eleken,
Une petite séance avec Max entre hommes ;o)

La nuit je regarde les étoiles

Cette nuit, avant d'essayer de dormir, je regarde le ciel et ses étoiles, ses étoiles qui comme tes yeux scintillent et miroitent... Les voir m'apporte du réconfort, du fond de cette sombre forêt, car je sais que de là où tu es, tu dois les regarder aussi, les mêmes, et par elles, nous nous retrouvons, nous nous voyons, nous nous sentons, nous nous aimons... A travers les étoiles nous communiquons. L'une d'elle semble briller d'un feu incandescent si fort, je décide alors que c'est elle que tu regarde aussi... Si jamais tu entends mon soupir et que tu regarde le ciel, scrute le, et trouve y l'étoile la plus brillante... C'est notre étoile, notre lien, notre rêve qui ici brille, comme un pays de bonheur, entouré de noir, mais si brillant dans la nuit, qu'il l'a rend belle et éternelle. L'étoile est ici, dans notre coeur et elle brille de mille feux, sans arrêt, sans céder, sans mourir... J'y crois et je veux y croire, contre le vent, contre le temps, contre le froid et la pluie, malgré l'obscurité et la dureté du sol, ici je vais rêver, ici je vais nourrir en mon sein un âme qui est ma voie, mon miroir... Je ne cesse jamais... Je n'abandonne jamais... Et demain, je continuerais de marcher, vers ma destination, vers ma destinée... Vers toi.

--- Eleken,
Demain debout 7h pour aller vendre des ravioles :o)

vendredi 3 août 2007

...

Je souffre en silence,
Ce n'est pas pour autant,
Que ma souffrance est d'avant,
Je suis frappé avec violence.

Je croyais que le temps passerais,
Grace à notre puissance,
Mais il y avait là trop d'arrogance,
Mon âme est ce soir brûlée.


--- Eleken,
Et pourtant qu'est-ce que j'ai fait qui ne m'ai pas fait aussi souffrir...
Ce soir je pleure.
MAJ
Merci... Et je préfèrais infiniment le dire que l'écrire.

Ce soir

Ce soir je m'en vais aller sur les routes du Diois, parcourir jusqu'à St Romans, le chemin du printemps. Là-bas j'y retrouverais un ami ancien, distribuant ses ravioles, comme d'autres le vin et la gniole. De 18h à 20h nous vendrons, puis au-delà nous mangerons, avant d'enfin retrouvé un autre fatigué sur les coup de 23h. Ainsi est prévu ma soirée, allons allons ! Cela est écrit, je reste prêt de toi, dans mes pensées comme mes actes, il n'y a de faiblesse dans le pacte.
Juste un petit ... qui dans le temps ne se perd, car chaque matin, un murmure j'espère.

--- Eleken,
Le temps, foutu temps, qui passe,
La souffrance est une expression,
Mais ce qui me lie ce soir à mon inspiration ne dois pas en pâtir aussi stupidement,
Car à elle, je reste fidèle, mon esprit dans le sien, et le sien dans le mien

Extrait du Lac Rouge...

Il me faut toucher cette surface, le besoin impérieux s’impose à mon esprit. Mais pourquoi ? Je l’ignore, mais je sais que de cela dépend la solution. Je n’en peux plus. Ces derniers jours ont été très éprouvants. Mes hallucinations m’ont poussée au bord de la folie, mais était-ce des hallucinations ? Ces événements horribles qui ont frappé cette ville, j’ai le sentiment que tout est lié sans pour autant pouvoir mettre une logique sur tout cela. Tout semble si étrange, si effrayant, si loin de la réalité et du rationnel. Je me sens comme un insecte face à une chose énorme dont je ne distinguerais même pas la forme complète, tout ce que je sais, c’est ce que je ressens, le danger, le danger absolu.
Toucher, toucher la surface du Lac. Toucher cette surface que je n’ai fait qu’approcher depuis six ans. Il le faut, il le faut… Je ne peux pas, si, non ! Mon doigt agît contre ma pensée et s’enfonce doucement dans la surface froide du Lac. Il ne se passe rien… Rien du tout. Pas de révélation, pas de solution, la surface reste identique, seulement agitée par les gouttes éparses qui tombent encore de cet orage qui passe.

Et puis ...

--- Eleken,
Extrait de ce que j'ai écrit aujourd'hui pour
prouver quand même, que petit à petit,
Je comble les trous.

...

Un jour sans murmure,
C'est comme une éternité lugubre,
Une danse solitaire,
Qui me mène à la misère.

Je me dois de croire,
Que le temps, tu n'as pu avoir,
De trouver ce moment,
Pour écrire un mot d'antan.

--- Eleken,
réveil difficile

jeudi 2 août 2007

... ... ... ... ...

Sous la pluie tombante,
Je hume l'odeur de la terre,
Qui me rappel mon infante,
Cette lutte, notre guerre.

Ce soir je suis sans murmure,
De mon oiseau, mon augure,
Me contant notre histoire,
Je pleure seul dans le noir.

--- Eleken,
Seul ce soir ...

Ce jour...

Ce jour je marche, l'euphorie de la veille est passé... Car tellement de chose peuvent arriver. Vas-tu encore bien ? Je suppose que oui, je l'espère, si je ne le croyais pas, je m'arrêterais simplement ici, à même le sol, entre les racines de ces arbres hostiles, et je me laisserais mourir. Je vais bien, malgré le froid et les branches qui me frappent, je vais bien, je pense à toi... Sans arrêt, sans pause, sans limite, sans retenue, sans raison. Je sais, j'espère que toi aussi, là-bas, si loin, tu n'oublis pas pourquoi je marche, pourquoi je continu de me battre, pourquoi je survie à ce chemin devenu si douloureux depuis que le train est parti... Mais je reviendrais, je ne suis pas si loin, proche de toi en pensée sans arrêt, le vent souffle et le monde tourne, mais pour toi, mon coeur bat, sans arrêt, sans arrêt... Car l'arrêt serait la mort, et la mort ne m'intéresse plus. Je n'ai pas de nouvelles... Mais je sais que tu es là, chaque fois que je regarde mon reflet dans une flaque, je te vois, me regardant au travers, de te yeux doux et tristes à la fois, que je ne sois pas là.

--- Eleken,
Sinon rayon vacance, tranquillou, j'ai vu personne depuis 2 jours (exception de la famille bien sur).
Je viens de finir Harry Potter 7 (3h du mat', et la fin c'est trop de la baballe qui tue sa mère en slip de printemps vous avez pas idée :o)).
Et puis là j'étais chez ma soeur à jouer à la Wii et garder un peu ma nièce et lui filait 3 cours de gratte, sinon l'écriture du Lac ça avance, doucement mais sûrement.

mercredi 1 août 2007

Activités en famille (la fête ! :oS)





Eleken,
Cause-conséquence :oP
Faut que je garde la forme
PS : toujours aussi chaud de colorier à la souris, je vais me mettre au noir et blanc ;o)

...

Ici coule la lumière,
Comme sur une rivière,
Me rappellant sans cesse,
Que de me battre sans faiblesse.

Je nourris chaque instant,
Comme une enfant,
Au creux de mes bras,
Grandit la petite joie.

--- Eleken,
tonton... Ok, tonton n'as pas encore pris les photos...

Je marchais cette nuit...

Cette nuit, alors que je tentais de dormir au creux de racines froides et dures, mordu par un vent glacial et frappé par quelques gouttes éparses, un oiseau est venu murmurer à mon oreille de doux mots, des mots que tu avais prononcé. J'ai cru, dans ma fatigue, qu'il s'agissait d'un rêve trop beau pour être vrai... Ces mots étaient simples, ces mots étaient beaux... Un signe qu'ils étaient "Je vais bien, je pense à toi, tu me manque"... J'ai cru à un rêve, mais ce matin, en m'éveillant, me corps meurtri par ma nuit à même le sol, l'oiseau était encore là, scintillant de couleurs chaude et printanière, du vert, du bleu... Du rouge. J'ai pris l'oiseau dans mes mains, je l'ai caressé dans ma paume, trop heureux de ce réveil plein de joie... Je lui ai murmuré à l'oreille, les mêmes mots qu'il m'avait apporté, les mêmes mots en un souffle, un simple ... . Ce matin je reprends ma marche, et malgré le froid et le bois griffant, le soleil brille plus fort que la veille et mon chemin me semble plus facile...


--- Eleken,
Part faire le marché tout guilleret :o)
MAJ
":o)" C'est sans raison particulière, juste pour le plaisir de dire que ... , cet oiseau qui vient, un murmure doux et chaud caché dans son plumage.