vendredi 27 juin 2008

Le SPAM m'a tué


Y a des jours comme ça, où on se rend compte que quelque chose de nuisible devient véritablement un fléau à titre personnel.

Je tiens avant toutes choses à présenter mes excuses à tous ceux et celles qui auraient reçu ce message SPAM (en anglais, déjà ça doit vous interloquer de ma part) en provenance de ma boîte mail, je suis sûr d'ailleurs que vous aurez tous deviné la nature de ce message et compris qu'il n'était pas de mon fait (moche, langue de shakespear, parlant d'une obscure boutique de produit hightech)... J'ai honte pour tous ceux qui l'on reçu, mes amis, mes connaissances et la multitude des inconnus qui se trouvaient dans le lot (Des @ de la CGT par exemple qui sont là pour des raisons que je ne m'explique pas, et une foule de mails complètement farfelu).

Les causes de ce "piratage" de mon carnet d'adresses (d'un email dont je me sert principalement pour récupérer des newsletter et qui heureusement n'est pas mon compte principal ; et avec vraisemblablement un paquet d'email collecté automatiquement par gmail/ou ajouté par le robot de spam va savoir) me restent complètement obscures. Mon mot de passe est loin d'être simple ; Malheureusement, je pense que - comme je l'utilise avec cette @mail pour m'inscrire à tout ou rien - un des sites s'est fait pirater pouvant mettre en corrélation mon @ et mon mot de passe et ainsi accéder à mes infos... Où alors j'ai simplement pas de chance :(

Bref conséquence de ça :
- Modification de tous mes mots de passe mails (je passe à plus de 15c.) et compte divers pour les rendres uniques par site (je vous raconte pas le bordel pour les noter) avec génération via un... heu... générateur :p
- Suppression de l'intégralité de mes contacts dans mes webmails pour éviter que cela se reproduise

Il n'empêche même si les conséquences ne sont pas bien graves, ça m'emmerde profondément. Quand je reçois un spam, c'est un peu comme une piqûre de moustique... Quand c'est mon mail qu'il se retrouve utilisé par des escrocs c'est un véritable coup de poignard. C'est autrement plus rageant et dérangeant. J'espère que tout cela suffira à éviter une deuxième intrusion.

--- Eleken,
Informaticien honteux,
Ah si je croise un jour un spammeur dans la rue,
je vais lui faire passer l'envie moi :op

mercredi 25 juin 2008

CNAM, Examen 1/3 ok



Et voilà, demain le boulot recommence. Ce soir ça s'est bien passé... C'est marrant quand même, je suis inscrit à 3 cours et je ne vais probablement passer que cet examen là. Sinon, voilà ma tête quand je suis au boulot :op fait grace à ce site qui permet de faire sa tête à la mode southpark


--- Eleken,

Déjà fin juin, il fait chaud





MAJ
Modèles pondus par notre ami columboy qui m'ont bien fait rire



MAJ

Un petit autre de moi spéciale dédicasse :op



samedi 14 juin 2008

Croquis, guerrier


--- Eleken,
Par ailleurs, je sors de la séance de "phénomène"...
Et va t'en dire s'il est bon ou non, dure question.

Noir ou blanc

J'ouvre les yeux.

Mes yeux sont ouverts.
Mais que voient-ils ? Qu'est-ce que je vois ?

Du noir, du noir partout, je ne vois rien... Je ne sens rien... Une tache plus clair, tout est flou. Où suis-je ? Je commence à me rappeler. Une lumière étincelle au-dessus de moi, s'étoile, me force à bouger la tête. J'ai mal au yeux... J'ai l'impression que mon cou est en bois et qu'il craque lorsque je le bouge avec difficulté. Je suis allongé sur le dos... Comme collé au sol, je n'arrive pas à décoller les épaules... Je me rappelle. J'ai terriblement soif. Je suis allongé sur le sol. Je ne vois que tu noir autour de moi. Des façades noires, une rue noire, une nuit noire. Un flash blanc m'aveugle, rend tout lumineux, uniforme. Je ne vois rien que du blanc... Et puis, à nouveau, tout est noir. Pas sombre, noire, obscure, infinie, dense, palpable, noire. Une nuit noire... Mon dernier souffle. Une nuit noire, je bouge mes doigts vers cette partie de mon corps qui ne semble plus exister... Existe-je encore ? Mon ventre. J'ai mal. Je ne sais pas si je pleure, mes larmes mêlées de la pluie qui frappe mon visage. Pas de douleur, mais de quelques chose d'infiniment plus douloureux. Un rugissement terrible fait frémir mon corps et m'arrache un gémissement qui s'éteint doucement. C'est le tonnerre. Il y a eu l'éclair. Il y a le tonnerre. Lequel est pire ? L'un m'aveugle, l'autre m'assourdit, les deux me séparent de ce monde. Je suis entre ciel et terre, entre supérieur et inférieur, entre paradis et enfer, en noir et blanc, entre mes mains de Dieu et du diable. Mais je n'ai pas de degré d'acceptation, pas de nuances dans cet univers qui m'aspire en cet instant.... Je suis mourant. Pas de gris, pas de rédemption. Seulement le noir.

Je retire mes doigts de mon ventre et les ramènent devant mes yeux. Je vois clairement mes poignets blanc aux veines saillantes d'ombres obscures, mais mes doigts sont absents... Ils sont complètement noirs, rendu invisibles sur fond noir. Ils sont couverts de mon sang. Le sol sous moi est si confortable, toute envie de me battre contre ma mort qui s'approche s'envole de moi. M'échappe... Ma vie m'échappe... Et je suis là, sur le sol, mourant, sans faire le moindre effort pour vivre... C'était un coup de couteau je crois... Un coup... Pour te protéger, pour te défendre... Qui t'as voulu du mal ? Qui t'as donné ce coup ? Je ne l'ai même pas vu dans le noir. J'ai juste pris le coup. Et maintenant mon sang se refroidit tandis qu'il s'échappe de la plaie qui béait sur mon abdomen. Où es-tu maintenant ? Quelque part, répandant des larmes pour l'homme qui se soir meurt dans la nuit... Que la mort m'apparaît comme sereine en cette minute où je m'abandonne au Dieu miséricordieux qui m'accordera la rédemption, l'oubli, le néant, le pardon. Je n'ai pas été un honnête homme durant ma vie, j'ai fait beaucoup de mal, mais je suis heureux de mourir comme ça... Même si je suis seul cette nuit ? Où es-tu ? Je n'arrive plus à presser mes mains sur mon ventre et je les sens glisser jusqu'au sol où elle demeurent inertes. Je ne sais même pas si je respire. Je n'entends rien. Le noir est si calme. Je ne sens plus rien.

Un pétale s'envole dans le vent. Il vient de ma main entrouverte. C'est ton pétale. Celui de ton amour que tu m'as donné ce soir. J'essaye de bouger les doigts, mes le pétale s'envole... Déjà je ne le vois plus. Il était scintillant, blanc, noir, blanc, noir... Il palpitait dans le noir. Il s'est envolé... Mais il n'y a que le pétale qui se soit envolé. Ce que je ressens est toujours là. Je suis toujours là. Muré dans le silence par la faiblesse, par la nuit, par le noir. Je ne verrais peut-être plus jamais le jour. Je serais mort avant... Mais le jour existe encore...

Et tout à coup, je ressens tes lèvres sur les miennes. Doucement, du bout des tiennes, tu éfleures les miennes. Ce n'est pas un long baiser. Il est bref, mais emplie d'affection. Doux... Sensible... Bon... Il me réconforte... Mais déjà tu as disparue... Déjà tu n'es plus... A peine frôlées, déjà envolées... C'est moi... Je suis mort... Mon ange est venu me chercher... Ma vue... Le noir... Presque... Quelque chose bouge et glisse vers moi... Flotte vers moi... J'aimerais tellement tendre les bras vers lui... J'éprouve de la joie de le voir... C'est le pétale... Ton pétale... Il redescend sur moi... Et se dépose sur mon visage... Ton baiser... Mon ultime pensée avant de sombrer... Ce pétale... Qui symbolise tout... Qui contient tout... Ta douceur... Ta joie... Ta présence... Ton amour... Tu es le pétale... Je suis ce pétale... Venu m'accompagner... M'aider... Mon ange revenu... Je m'élève... Aspiré vers autre chose... Je ne suis plus... Qu'un reflet de ce que je suis encore... Je sombre... Un reflet vivant... Un corps mort... Le moment de savoir si je suis noir ou blanc... Je m'accroche un instant à ce monde...
A toi... Au pétale... Que j'aime.


--- Eleken,
Un vendredi entre noir et blanc, tendance gris sombre

lundi 9 juin 2008

Bricolage sous Audacity quand j'ai pas le moral



Sous audacity, j'ai mixé 2 petites impro vite fait comme ça et sans inspiration... Sans même faites pour être misent ensemble d'ailleurs, le rendu et à peu prêt nul, mais c'est pas le sujet (guitare même pas accordée, c'est dire si le résultat m'importe peu)

--- Eleken,
Voilà bricolé en 10 minutes, enregistré en moins de temps à l'aide d'un pauvre micro avec plein de bruit... C'est nul, ça pu, mais bon, ça me détend de faire ça... Je vous raconte pas les aigreurs d'estomac que je me tape

...

En moi coule le sang de l'infamie,
La lame sur mes veines je supplie,
Qu'un ange vienne m'empêcher,
Qu'un diable vienne me mépriser.

Je demande au temps sa clémence,
A mon esprit la démence,
Souffrir cette nuit dans le noir,
Suspendre ma vie dans le miroir.

--- Eleken,
Lundi a un goût de terre... Rien n'est simple ici bas

dimanche 1 juin 2008

Ma-Mane, Le film


Un petit dessin ce dimanche, Et non, ce n'est pas le 4eme volet des aventures de Spiderman, mais le 1er de sa spin-off, Ma-mane, le charaignée (parce que le 3 était trop nul :op) dans son superbe pyjama rouge et bleu
--- Eleken,
Mais qui se cache sous le costume ^^