lundi 3 septembre 2007

Au soleil couchant, je me laisse dériver dans mes pensées...

Simplement j'étais là,
Et je regardais au-dessous,
Les vagues s'écrasant sur les rochers roux,
Arrachant à la mer, elle hurla,
De ses frètes liquides,
Dans mon avenir limpide,
Ce son qui semblait me chanter,
Toi, qui peux aimer, continuer,
Entend le chant des oiseaux,
Un songe t'avait prédit,
Un chemin pavé d'épreuves,
Tu l'as écouté, tu l'as trouvé beau,
Alors maintenant avec crédit,
Marche même pendant qu'ils pleuvent,
Cailloux et grêle,
La pluie, des étincelles,
Car au bout de cette grève,
Se découvre ton rêve.

--- Eleken,
Au grès du soleil, qui se soir se teinte de rouge au couchant,
J'écris, comme vient le vent,
Espèrant pour qu'il vienne, notre temps.

Aucun commentaire: