Allons-toi, comment vas-tu, petite cerise ?
Quant est il devenu de ta famille ?
Celle d’où l’on t’a arraché par surprise,
Déjà là tu te flétrie, déjà plus tu ne brille.
Va faire, de la vie, le grand saut et signe,
Sous mes dents plates d’espoir je croque,
Ton corps de beauté, sur ma langue tu saigne.
--- Eleken, les cerisiers de ma maison me manques
1 commentaire:
Bonjour
votre blog est super.Bravo
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Manteau d'hiver
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