Du sommet du clocher de l'église, il contemplait le monde qui s'étirait au-dessous de lui. La beauté des lumières, le doux son du vent et de l'eau que seul venait courroucer le tumulte de ses habitants. Un oiseau de nuit chanta quelque part au-delà de ce qu'il pouvait voir. Ce fut pour lui le signal... Il sauta. Quel émerveillement se dit il que de bondir par dessus la civilisation. Il s'éleva une seconde d'éternité avant de sembler voler par dessus le temps...
Puis il tomba.
Son seul regret pour ce monde fut pour elle.
mardi 3 juillet 2007
Le dernier saut
--- Eleken,
Merci de ne pas m'oublier quand même.
Ecrit par Eleken à 09:14
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