mercredi 25 juillet 2007

Je marche... Mais tes pensées accompagnent mes pas

Un oiseau est venu, ce soir, me caresser l'oreille et y déposer un mot, un baiser, qui a traversé les montagnes et les lacs, les forêts et les plaines, depuis tes lèvres, qui doucement l'on murmurées. Ce mot est comme une fontaine au milieu des sables brûlants du désert, comme un foyer chaleureux qui réchauffe mon coeur quand je marche seul à travers les vents glacés de l'hiver de notre existence. Ce mot, il m'enjôle, il me cajole... Ce mot, ton cadeau... Ne pleure pas, je t'en prie, ne meure pas que t'en supplie. Ce jour n'est peut-être pas heureux, mais il n'est pas malheureux, car enfin je sais que tu vis, que je sais que tu pense à moi... Où que tu sois souviens toi, que je pense à toi... Mais cet oiseau n'est pas assez gros, pour transporter tous ces mots, jusqu'à toi qui les attends, alors je n'en glisse qu'un seul, un tout petit, mais un très beau. Ce mot c'est ...

--- Eleken,
Un jour reste un jour,
On peut le vaincre chaque fois,
Il suffit pour cela de se rappeler,
Qu'au bout se trouve un mot,
Un mot tout simple et chaud.

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