Ce matin, je suis revenu dans mon pays lointain. Les fleurs avaient fleurit, les enfants avaient grandit, mais comme enchantement, ici le temps semblait comme figé. Ma mère n'y avait pas vieillit, et mon père m'y acceuillit, comme il se doit, leur enfant béni. Les nuages au-dessus de moi passaient, paresseusement poussé par un vent peu téméraire. Ce train qui avait toussoté jusqu'au midi, m'avait ainsi déposé, chargé de pensées, pour ce que j'avais laissé... Il n'y a pas un instant, même en ce pays de bonheur, où je puis oublier un instant, l'appel de mon coeur... Il n'y a pas une seconde, où je ne cherche pas des yeux, quelqu'un, à travers le monde... Et pourtant, tu es là, je le sens, quelques part, qui les yeux perdu dans le mirroir, comtemplant ton reflet, perdue dans tes pensées... Chaque grain comme un rocher, du sablier se met à tomber, diminuant chaque instant, ce temps brûlant.
arrivée : ok,
nièce/famille : ok,
photo : pas encore ok,
Voir tout le monde : encore beaucoup de boulot :o)
penser... : ok
1 commentaire:
C'est bien normal, au minimum dire que je suis en vie :o)
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