Il y avait dans ses cheveux un parfum de printemps et dans ses yeux un scintillement de sentiment. Si je n'avais été ce jour là qu'un autre de ces combattants, peut-être me serais-je arrêté ici bas, pour y avoir mes enfants. Mais la guerre ne laisse pas de place à l'amour, et ce matin là, un éclair dans le ciel zébra, quand son coeur de battre cessa, par ma lame écarlate.
Sur le chemin de la guerre, un froid d'hiver se mêle à ses battements.
jeudi 12 juillet 2007
Contre courant
--- Eleken,
Un jour où il faut se battre contre la mélancolie ;o)
Ecrit par Eleken à 23:55
Catégorie : Mes textes
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