mardi 31 juillet 2007

...

Il y a quelque chose ce soir,
Qui en moi est mirroir,
Je reste sans nouvelle,
Comme un vol d'hirondelle.

Et pourtant en moi il frappe,
Comme une écume sur la rocaille,
Ce soir mon âme défaille,
De me voir soumis aux carpates.

--- Eleken,
Sans information sur le temps qu'il fait,
Est-ce le rouge de mes cieux...

Ce matin du jour...

Ce matin, en me réveillant, je crois que je rêvais encore... Tu étais là, ta peau contre la mienne, ta tête sur mon épaule, ton visage tourné vers moi. Doucement, à effort comme un petit chat, tu t'es étirée et tu as ouvert les yeux, un clignement, puis deux... Finalement, seul un est resté ouvert, caché derrière un sourire qui illumina mon regard d'un scintillement... Je me suis penché et au moment de t'embrasser... J'ai pris conscience, qu'en ces lieux, tu n'etais pas là... Loin de tout mais... Et pourtant... Mais pourtant... pas loin de toi... Je sais, que tu es là... Et grâce à toi, je ne me sens pas seul...



Eleken,
Le doux rêveur qui profite du repos de ses vacances.
PS : ... et il n'y a rien d'autre à dire

un morceau qui tourne en boucle

lundi 30 juillet 2007

...

Ce soir je me laisse aller,
A un peu de souvenir,
Penser à tes yeux aimés,
Faire du temps un oublis.

Car j'aime cette pensée,
Que j'ai pour le rouge désiré,
Une simple fleur sur ma poitrine,
Qui flamboies sans épines.

--- Eleken,
Bon piscine reportée à demain,
Pour la peine j'ai avancé le Lac :o)

Cet aprem' c'est piscine :o)




Eleken,
Dessiné sur Epica & Visions of Atlantis,
va savoir pourquoi ;o) ...
PS : Par contre faire le coloriage à la souris c'est plus dur qu'avec ma tablette graphique :oP

MAJ
Y a pas à dire, parfois c'est impressionnant, j'avais à peine cliqué sur publié :o)

...

Je suis damné au silence,
Ne pouvant t'offrir la récompense,
De te répondre avec simplicité,
A tes messages solicités.

Mais n'en doute pas,
Chaque seconde est pour toi,
Chaque regard dans le ciel,
Et là comme un rappel.

--- Eleken,
Les doigts m'en démangent :oS
Mais l'attente doit être sereine :o)
...

dimanche 29 juillet 2007

Le jour d'après...

En ce jour dominical je me suis levé, du bout de mes bras je me suis étiré, dehors je n'ai pas encore mis les pieds, mais voilà qui ne saurait tarder. Fête de la noix oblige, je me dois de me presser, faire preuve de foi, et partir à l'aventure sur les routes du Diois. Encore un jour de soleil en augure, un peu de guitare en pâture, ce soir je mangerais et probablement, enfin, j'écrirais...

--- Eleken,
Je vais profiter de mes vacances,
Pour avancer les projets qui me tiennent à coeur :o)
...

samedi 28 juillet 2007

Et le premier jour, dieu dit...

Ce matin, je suis revenu dans mon pays lointain. Les fleurs avaient fleurit, les enfants avaient grandit, mais comme enchantement, ici le temps semblait comme figé. Ma mère n'y avait pas vieillit, et mon père m'y acceuillit, comme il se doit, leur enfant béni. Les nuages au-dessus de moi passaient, paresseusement poussé par un vent peu téméraire. Ce train qui avait toussoté jusqu'au midi, m'avait ainsi déposé, chargé de pensées, pour ce que j'avais laissé... Il n'y a pas un instant, même en ce pays de bonheur, où je puis oublier un instant, l'appel de mon coeur... Il n'y a pas une seconde, où je ne cherche pas des yeux, quelqu'un, à travers le monde... Et pourtant, tu es là, je le sens, quelques part, qui les yeux perdu dans le mirroir, comtemplant ton reflet, perdue dans tes pensées... Chaque grain comme un rocher, du sablier se met à tomber, diminuant chaque instant, ce temps brûlant.

--- Eleken,
arrivée : ok,
nièce/famille : ok,
photo : pas encore ok,
Voir tout le monde : encore beaucoup de boulot :o)
penser... : ok

vendredi 27 juillet 2007

Le Départ

Eleken,
En vacances à Die (le trou pommé loin de tout :oP) pour 3 semaines :o)
Bonnes vacances à tous !!!

...

Au défiant je meurs,
Au térrifiant je pleurs,
Ce temps dépassé,
Cette âme oubliée.

Pourquoi donc me haïr,
Pourquoi me faire frémir,
Ce n'est pas la solution,
Ce n'est pas là, la rédemption.

Je reste celui que j'étais,
Et à jamais je le serais,
Il ne suffit pas de l'oublier,
Il faut simplement l'accepter.

Il n'y pas là une volonté de nuir,
Juste celle de ne pas mourir,
De la main même d'une rebelle,
Pour qui j'ai sacrifié mon étincelle.

--- Eleken,
Je ne suis pas le porteur de tous les maux,
Bonnes vacances à tous !

...

Un matin de moins,
Où je n'ai qu'une envie,
Ce n'est pas vraiment rien,
Que d'avoir finit sa vie.

Un mot pour me relever,
Une parole pour me réconforter,
C'est tout ce que je voudrais,
Ne pas voir mon âme avortée.

--- Eleken,
Il fait chaud, il fait beau,
... ça sent l'orage en somme

jeudi 26 juillet 2007

Un jour...

Elle me regarda dans les yeux, plongeant son regard dans le mien, inondant mon âme de chaleur, faisant bondir mon coeur dans ma poitrine. Doucement, comme dans un rêve, elle s'est avancée, elle s'est rapprochée de moi. Sa poitrine est venue frôler la mienne, ses doigts ont glissés sur les miens, ils se sont enlacés. Une seconde d'éternité... Elle se hissa alors sur la pointe de pied, rapprochant son visage du mien. Ses yeux se fermèrent se faisant, son expression sereine apaisa mes tressaillements et mes tremblements. Doucement, tendrement, avec délicatesse, ses lèvres ont touché les miennes d'une caresse. Cette caresse s'est épanouie en un baiser doux de printemps, un baiser qui submergea ma pensée, un baiser que je lui rendis, simplement, doucement, tremblant de bonheur, en la caressant de ce sentiment. Tout simplement, en l'aimant.

--- Eleken,
En attendant moi je me gave de glace :oP

Faire semblant dans la nuit

Faire semblant de ne pas souffrir, faire semblant de ne pas avoir froid, faire semblant de ne pas avoir peur... Où est donc la fin de cette forêt ?! Les branches humides et décharnées frappent mon visage, accrochent mes vêtements, transforment le simple vent en hurlements de suppliciées... Je ne sens plus que le goût de mes larmes... Et aussi l'odeur de rance qui s'élève des écorces méphitique qui m'entourent... Car dans les ombres je m'enfonce... Où que mon regard se porte, il n'y a pas de lumière, je suis seul. J'envie ces autres, ces hommes, ces femmes que je ne connais pas. Ils goûtent le plaisir simple de leur chaumière, ils peuvent apprécier ta compagnie... J'espère au moins, qu'en pensées je suis toujours présent, à tes côtés, chaque instant, chaque rire, pour me les faire partager... Comme chaque instant je t'accompagne dans cette marche... Car en ces lieux où je suis perdu, je ne suis pas seul.

--- Eleken,
Ce n'est que le début de la nuit,
Et la fin me parait encore trop loin.

...

Si ma vie est heureuse,
Pourquoi ai-je envie de pleurer,
Si mes mots sont en prose,
Ils n'en dessinent qu'une fatale destinée.

Chaque jour est un long combat,
Contre la mort de la joie,
Qui en mon coeur vibrée d'impudence,
Et distillait en mon âme une douce fragrance.

--- Eleken,
Ma vie s'est corrompue de désespoir.

Je marche dans le noir.

Dans le froid et la nuit de cette forêt, j'ai malheureusement le temps de m'inquiéter... Comment vas-tu ? Te sens tu bien ? N'es-tu pas en train de te morfondre au point de te rendre malade et de te diriger vers la mort ?... De ça je ne veux pas, mais je ne peux nier, que je suis inquiet... Horriblement inquiet de ce qui peux t'arriver durant mon absence... Une chouette tiens compagnie à mes pensées, tout comme le remord de t'avoir laissé partir dans ce train... Ces bruits, ces craquement, ces cris d'animaux, ces feulements, rien ne viens de me réconforter ce matin encore noir... M'entends-tu ? Entends-tu mes prières ? Je t'en pries, protège-toi, protège-moi, de tes pensées, de tes murmures... Apportes moi par le vent, une caresse qui me permette d'affronter cette nuit qui a goût d'éternité.

--- Eleken.

mercredi 25 juillet 2007

Chat fait dodo car trop fatigué ce soir


Eleken,
Comme quoi je suis pas si mignon quand je dors,
Je ronfle, je bave... Je suis sur que je pète aussi :oP
...
Bon ok je fais plus pipi au lit tout de même ;o)

Je marche... Mais tes pensées accompagnent mes pas

Un oiseau est venu, ce soir, me caresser l'oreille et y déposer un mot, un baiser, qui a traversé les montagnes et les lacs, les forêts et les plaines, depuis tes lèvres, qui doucement l'on murmurées. Ce mot est comme une fontaine au milieu des sables brûlants du désert, comme un foyer chaleureux qui réchauffe mon coeur quand je marche seul à travers les vents glacés de l'hiver de notre existence. Ce mot, il m'enjôle, il me cajole... Ce mot, ton cadeau... Ne pleure pas, je t'en prie, ne meure pas que t'en supplie. Ce jour n'est peut-être pas heureux, mais il n'est pas malheureux, car enfin je sais que tu vis, que je sais que tu pense à moi... Où que tu sois souviens toi, que je pense à toi... Mais cet oiseau n'est pas assez gros, pour transporter tous ces mots, jusqu'à toi qui les attends, alors je n'en glisse qu'un seul, un tout petit, mais un très beau. Ce mot c'est ...

--- Eleken,
Un jour reste un jour,
On peut le vaincre chaque fois,
Il suffit pour cela de se rappeler,
Qu'au bout se trouve un mot,
Un mot tout simple et chaud.

...

Ce matin est venu un ange,
Qui sur mon âme à béni,
Le coeur d'un vieil ami,
Pour faire de ce jour un nuage.

Je remercie sans compter,
Cet instant qui m'a été donné,
Cette seconde d'éternité,
Qui m'a permit d'aimer.

--- Eleken,
vision of atlantis

mardi 24 juillet 2007

...

Il y a un sourire,
Un être de charme,
Caché dans mon âme,
Pour la joie d'un rire.

L'horizon est bleu,
Car sous ces cieux,
Le jour est radieu,
Mais fragile comme le feu.



--- Eleken,
Un tout piti :oP
MAJ
Dernier bulletin météo : grisaille, pluie, froid et absence de...

Je marche seul...

Je marche seul, dans la boue et le froid. La pluie bat mon visage de gifles glaciales. Où es tu ? Je ne sais pas. Je te cherche. La forêt hurle avec le vent, la muraille d'arbre m'empêche le passage. Pourquoi ? Pourquoi, ô mon Dieu ne me laisses tu pas la rejoindre. Son train est parti, mais peu m'importe. Je suis sûr que je pourrais la rejoindre. Peu m'importe l'hiver ou bien la tempête, peu m'importe la brûlure et la souffrance... Sans elle je suis errant, sans elle, je ne suis rien. Mes larmes se joignent au ruissellement de pluie sur mon visage. C'est presque un soulagement, que d'enfin pleurer...

De là-bas où tu es, est-ce que j'existe encore ? De là-bas où tu es, suis-je encore à tes côtés... Parle moi je t'en prie, par dessus les vents et les montagnes, envoie moi un cris, un soupir... Caresse mon esprit d'une pensée, ... qui au loin t'en es allée.

--- Eleken

lundi 23 juillet 2007

Le matin dans l'horizon...

Au loin, le train siffle une dernière fois avant de disparaître derrière le bois épais. Tu es là-bas, dans un de ces wagons, ton doux visage pressé tes mains, ne regardant pas au dehors, ne me regardant pas, oubliant le réconfort de mon regard. Tu es partie aujourd'hui, reviendras tu, je ne sais pas. Il y a tant d'obscurité ce jour dans mon existence. Toi qui m'apportais la chaleur, toi qui de mon temps faisais la lumière... Toi qui me manques déjà, caché par le lointain, penses tu encore à moi ? Oui, me cries en cet instant mon esprit, mais alors, alors pourquoi ? Pourquoi ce sentiment, cette morosité qui m'habite, cette peine qui me griffe... J'aimerais te voir, là, prêt de moi... Mais la loi me l'interdit, je suis soumis à la volonté suprême... Je suis soumis, à la peur et aux pleurs... Car loin de moi s'en est allée, cette inspiration, ce souffle de joie, qui se nourrissait en moi, qui dans mon âme fleurissait de printemps, pour un éclat argent... Des yeux... J'ai quitté... Le doux chemin, maintenant... n'est plus... Je guête l'horizon, dans l'espoir inutile de te voir revenir... Mais il n'y a là que la brume du matin... Je t'en prie... Reviens !

...

Ce matin est sans bonheur,
Je viens le coeur chargé de pleurs,
Mon amie s'en est partie,
La solitude s'empare de mon esprit.

J'avais pourtant été prévenu,
Que serait bientôt l'instant venu,
Il n'empêche je me sens seul,
A nous faire porter ce linceul.

--- Eleken,
Les vacances ont parfois un goût de cendres

samedi 21 juillet 2007

Un morceau à découvrir


Un morceau super du groupe Wild dont l'ancien guitariste (Guillaume), me dispense aujourd'hui des cours de grattes de temps à autres (merci)... En tout cas ça motive quand on entend ce que peux produire un groupe de potes de lycée :o)

Je vous laisse découvrir par vous même et aprécier la voix du chanteur qui sommes toute donne beaucoup à cette chanson.

Eleken,
Un jour moi aussi :oP

A la demande de Ma Lectrice :o)


Eleken,
Et oui, le chat est bien un homme avec le matériel adapté :oP

vendredi 20 juillet 2007

Le dernier matin

C'est une bien triste fin, que ce dernier matin... Il n'y a plus de lendemain, mon amie s'éloigne au lointain. Je te regrette déjà, alors que je te vois encore, loin sur le chemin, tu domines l'horizon... J'aurais aimé, savoir le temps stoppé, savoir le temps donné, pouvoir le retrouver... Mais le passé est dépassé, par le présent attendant l'avenir, notre vie n'est plus qu'un souvenir, une caresse du temps, un souffle de vent, qui dans tes cheveux se perds... Et dans ses yeux tu verras, le pavé des âmes aux chats... Tu fredonneras un refrain... Du bout des lèvres... Du chagrin...

--- Eleken,
Un temps ma vie,
A eu le gout d'une envie.
Douce et sucrée

jeudi 19 juillet 2007

L'obscurité n'est pas forcément chassée par le matin

Les promesses de réconfort, celle qui en moi me rendent fort, ne seront pas tenues, je suis déchu. Comme l'ange qui un jour dit à Dieu tout le mal qu'il pensait de sa manière de le traiter, je suis plongé dans entrailles froides et humides de la terre inhospitalière. On m'avait garantie la décence... Mais force est de constater, que le sacrifice n'apporte que des artifices... Mieux vaudrait pour moi, que d'être considéré en ami, être simplement une connaissance, cela apporte plus de récompense. Je sais que vous ne comprenez pas, que ma vue est corrompue de trépas, que mes sens n'expriment que la déprime, mais tout ceci en rime, pour vous dire chers spectateurs, que contrairement à mes espoirs, de ma vie je ne suis même pas l'acteur. Il est triste de voir, que je ne sais pas affronter mes peurs, juste me soumettre à mes pleurs...

--- Eleken,
... il faut bien que je parle, sinon j'aurais trop mal

...

C'est sur cette rive,
Que je veux la voir,
Sentir sa peau vivre,
De mes caresses d'espoir.

Je damnerais mon âme,
Juste pour une seconde,
Se gouttant comme le monde,
Et mon esprit dans la flamme.

--- Eleken
L'aube ce n'est pas forcément le matin

mercredi 18 juillet 2007

Le matin

Dans la lumière du soleil levant, sa douce silhouette s'est révélée, avec grâce et gaieté. Je me suis penché sur le côté, pour mieux respirer l'odeur parfumée de ses cheveux. Je lui ai caressé la joue, les yeux, le front, avant de glisser doucement vers le lobe de son oreille. Là, j'ai déposé un baiser, comme pour lui dire "réveilles toi, tes yeux me manques".
Alors, mon souhait a été exaucé et c'est ainsi, que commença la journée.

--- Eleken,
Les matins richorée :oP

lundi 16 juillet 2007

... Loin

Aujourd'hui je te sens loin,
Sous la pluie et le crachin,
Mais je me dois d'essayer,
Comprendre ainsi ta volonté.

Je n'ai pourtant pas la preuve,
Qui me sortirais de l'obscurité,
En moi grandit une épreuve,
Contre laquelle je suis condamné.

--- Eleken,
Perdu dans l'obscurité, je demande la lumière..

dimanche 15 juillet 2007

De retour du cinéma...



Pour occuper mon après-midi solitaire je suis allé voir le dernier Die Hard, j'ai bien aimé :P, je trouve même qu'il finit en meilleur état que dans les autres épisodes ^^

Eleken,
PS : ... zut, on s'est loupé.

Chaleur dans l'âme

Je goutte avec délectation les rayons du soleil caressant son visage. Sous mes lèvres, son visage a le parfum des fruits et la douceur d'un nuage. Le vent, doucement, pénétre sous nos vetements et fait frissonner nos peaux soudées l'une à l'autre. Je n'ai d'autres mots, d'autres envies que de la serrer dans mes bras. Sa respiration, tendrement, effleure mon visage, y déposant un baiser. Nous sommes là, et peu m'importe demain, car le présent me remplis de joie et de lumière.

--- Eleken,
Le soleil brille :o)

vendredi 13 juillet 2007

Exclu

Je me cachais dans l'obscurité à l'aurée de la forêt, c'est là que je vous ai vu passer. Tous, bras dessus, bras dessous, gambadant et sautillant tel des enfants, chantonnant et fredonnant de douces chansons... Je vous regardais avec envie, car de votre gaïeté je suis exclu, des votres j'ai été bannis... Désormais je suis seul, seul avec mes regrets, seul avec mes remords. Je sais que c'est de ma faute si vous m'avez chassé du village... J'étais trop différent, trop anormal pour vous... Je vous faisais peur, je vous faisais honte... Mon bras lacha la branche que je tenais, celle-ci remonta à hauteur de mon visage, me cachant de vos regards, me plongeant... Dans l'obscurité et la solitude.

--- Eleken.

... blessure

Ce combat m'avait rendu plus fort,
Car j'y avais frolé la triste mort,
Cette carapace je m'étais forgé,
Afin de ne plus jamais me laisser aimer.

Mais ce matin j'ai eu la faiblesse,
De me laisser aller à un peu de tendresse,
Ne vois-tu pas que tu m'as blessé,
En me faisant ainsi repousser.

--- Eleken,
Vous vous en foutez...
Mais ce midi je mange seul.

jeudi 12 juillet 2007

Contre courant

Il y avait dans ses cheveux un parfum de printemps et dans ses yeux un scintillement de sentiment. Si je n'avais été ce jour là qu'un autre de ces combattants, peut-être me serais-je arrêté ici bas, pour y avoir mes enfants. Mais la guerre ne laisse pas de place à l'amour, et ce matin là, un éclair dans le ciel zébra, quand son coeur de battre cessa, par ma lame écarlate.
Sur le chemin de la guerre, un froid d'hiver se mêle à ses battements.



--- Eleken,
Un jour où il faut se battre contre la mélancolie ;o)

mercredi 11 juillet 2007

"Que celui qui a parlé du réchauffement climatique assume et lève la main !"



--- Eleken,
Désolé, on a plus de forfait soleil pour vos vacances m'sieur...

lundi 9 juillet 2007

Je m'accroche

Sombre amer,
Contre un peu de lumière,
Comme dans l'éphémère,
Coule la rivière.

Autant pour les dieux,
J'aurais fait un voeu,
Maintenant il faut croire,
Je suis enfant dans le noir.

--- Eleken,
Dur parfois de sourire à ce que la vie vous donne
un :) pour le garder :)

dimanche 8 juillet 2007

Je suis damné, j'en ai ras la cacahouette !!

Bon pour ceux qui le saurais pas, il y a 10 jours je me suis fait pirater ma CB sur le net... Bref démarche bla bla bla, je récupère ma nouvelle carte samedi matin après presque 10h de train cumulé dans une ambiance absolument ignoble mais bon, passont jusque là finalement j'avais pas trop à me plaindre. Le reste du samedi s'est passé nickel-chrome, j'ai rencontré ma petite nièce (adorable bout de choux... J'en veux une tout pareil :P) vu ma famille, les potes etc... Tout était super cool. Et v'là ti pas que le soir je décidé d'aller à la vogue dans un petit village du coin... Je passe les détail mais en gros, samedi soir, minuit, on m'a volé mon porte-feuille, contenant entre autre chose tous mes papiers, ma nouvelle CB, de l'argent (mais ça à la limite), ma carte de transport, etc etc etc... Si après ça vous arrivez à garder le sourire, passez moi la recette parce que là, je suis complétement attéré (une merde de plus et une de trop là quand même :()

--- Eleken,
Qui va sacrifier quelques poulets pour essayer de rompre le mauvais sort.

jeudi 5 juillet 2007

Sans Inspiration, point d'horizon

Vous vous en foutez, mais je suis seul. Où que je regarde, il n'y a que des ombres, des souvenirs qui viennent se planter dans mon coeur comme autant de poignards. Un temps où j'étais heureux, un temps où j'avais de l'espoir. Que faire ? Venir ? Pour te voir au mieux rire avec tout le monde et éviter l'endroit où je me trouve... Toi mon inspiration qui me méprise et qui ne le justifie pas. J'ai si mal aujourd'hui, j'ai l'impression que mon esprit défaille, que la folie me saisie. Je n'arrive pas à faire ce que je devrais faire, je suis tiraillé, déchiré par les sentiments et l'ignorance de cette vie. Il ne se trouve pas de mot assez fort dans les livres pour décrire le sentiment d'abandon entremêlé de peur et de souffrance que je ressent. Il n'y a pas de mot assez fort pour me rappeler que je vis.
Je suis mourant. La première fois, pour un combat de quelques minutes, il m'a fallut 14 ans pour revenir. Cette fois, ma vie entière ne suffira pas. Je suis un homme brisé par l'épreuve. Je t'avais confié, mon inspiration, mon bien le plus précieux, celui qui compte à la fois l'âme et le coeur. Qu'en reste t-il aujourd'hui ? Des morceaux, il ne te suffisait pas de taper et de tordre, il a fallut que tu t'acharnes sur ce que je représentais. Point n'est l'oubli, c'est celui de l'amitié.
Alors voir ce que je suis devenu, un reclus, un exclu parce que je me suis dévoué corps et âme pour un rêve... Quelle belle récompense. Je lui préférerais la mort même, mais je n'en ai pas le courage. Je suis faible, je l'ai toujours été. Sous couvert de respect d'autrui je n'ai jamais agît, mais j'aurais dû agir contre la volonté de mon inspiration...
Et merde ! Qu'est-ce que je dis ?! Je ne sais plus, je ne comprends rien à ce qui m'arrive. Chaud, froid, chaud, froid, le miroir se brise, trop d'aléas, trop de faux semblant, trop d'ignorance, trop de cruauté détournée. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas.
Ce que je sais, c'est que j'ai tout perdu.
Ce que je sais, c'est que j'avais tout donné.
Ce que je sais, c'est que je n'arrive plus à ...

--- Eleken,
Un homme qui n'a même plus
le respect de ceux qu'il aimait

mardi 3 juillet 2007

Bonjour à ma petite nièce


Eleken,
Bonjour et bienvenue.
PS : J'espère que je serais ton tonton préféré ;o)

...

S'il se passait un jour,
Sans que je ne pense à tes yeux,
Peut-être serait-ce le pieu,
Planté dans mon amour.

Qui n'ignore pas,
La souffrance d'une guerre,
Un chemin de trépas,
Contre une douleur amère.

--- Eleken,
Bon la météo a dit : gris et sur gris.
Tiens au fait, je suis tonton :o)

Le dernier saut

Du sommet du clocher de l'église, il contemplait le monde qui s'étirait au-dessous de lui. La beauté des lumières, le doux son du vent et de l'eau que seul venait courroucer le tumulte de ses habitants. Un oiseau de nuit chanta quelque part au-delà de ce qu'il pouvait voir. Ce fut pour lui le signal... Il sauta. Quel émerveillement se dit il que de bondir par dessus la civilisation. Il s'éleva une seconde d'éternité avant de sembler voler par dessus le temps...
Puis il tomba.
Son seul regret pour ce monde fut pour elle.

--- Eleken,
Merci de ne pas m'oublier quand même.

lundi 2 juillet 2007

Perdu

Au coeur de la nuit, je me suis perdu au bord de la folie sur une pente nommée descente. Apporte moi le temps de revoir mon enfant Morphée ! Laisse moi une dernière chance face au païen de cristal. Je ne te demande qu'une seule chose Seigneur. Laisse moi revoir la lumière, par pitié, laisse moi revoir la lumière de l'aube. Ce monstre se rapproche, je ressens la peur qui noue mes tripes en un noeud de douleur. Laisse moi ! Non ! Je veux, je ne peux pas, non... Ses pas se rapprochent, je n'ose me retourner sur mon destin mortel. Une chanson pour dire au revoir, un mot pour dire adieu... Pourquoi a-t-il fallu que le monstre revienne ? Pourquoi a-t-il fallu que je sois maudit par la beauté de la vie ? Pourquoi !!?
Le ciel pleure au-dessus de moi. Ce chemin qui me mène sur mes pas, est-ce la bonne direction ?

--- Eleken,
Le temps n'est pas de douceur.