Comme la pâleur s'empale,
Le souffle chargé d'agrume,
Se heurte au regarde opale,
Du loup au pelage de brume.
Comme planté dans le sol,
Il attend son prétendant,
La victime apporte son obole,
Des crocs sa liqueur s'éprend.
vendredi 8 septembre 2006
Suis-je un prédateur ?
Ecrit par Eleken à 14:03
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