C'est au néant que s'efface la lumière
et dans la joie que rime la chaumière.
Douce envie de mes passés trépassés,
Cajole moi du vent de ta tendresse.
Funeste est l'avenir qui danse le destin,
Déteste donc le lointain souvenir du respect,
Celui qui un jour t'as mentit ce que la vie deviens,
Mord la poussière sans l'ombre de la paix.
jeudi 14 septembre 2006
Marche funeste
--- Eleken, par le petit bout de la coline
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