Comme toute chose à une fin,
J’ai cessé de chanter ce refrain,
Celui de chaque jour d’été,
Laissant place à l’hiver givré.
Si la mort était une libération,
Mais ce sont des chaînes encore plus fortes,
Qui enserrent le cœur de ma passion,
Pour une raison, la vérité est morte.
--- Eleken, ci-gît le temps passé
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