Quand je regarde par la fenêtre, quand je vois le bleu du ciel, je me demande aujourd'hui pourquoi je le vois si gris. Chaque souffle de vent viens m'apporter la triste nouvelle. Chaque oiseau, sa chanson funèbre. Mon inspiration est morte ce jour, un jeudi trop sombre.
Et pourtant chaque seconde je me penchait sur elle, cette inspiration aux belles prunelles... Chaque fois je me suis relevé mordu. Mais je pensais mes plaies, c'est sans importance. Mes pages, avant elle, étaient vide.
Maintenant sans elle, le vent est triste, le soleil est morne, la vie est insipide et mes pensées monotones.
J'aurais tant aimé te retrouver, toi qui remplissait mes pensées de grammaire et de mots... Mais il semblerait que la peur soit la plus forte, faisant fuir l'inspiration vers d'autre contrées...
Ceci est mon épitaphe, car ce jour d'amertume je suis mort...
Merci de m'avoir lu... mon amie.
jeudi 12 avril 2007
Ci-gît le regard d'antan
--- Le crayon de papier d'Eleken
Ecrit par Eleken à 14:00
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