Elle revient toujours cette vieille haine,
Qui coule sur mon visage comme une pluie éternelle,
Partout, ces ombres, comme une rengaine,
Je me noie d’amer car j’ai coupé mes ailes.
Sache, toi qui m’as jugé coupable de vivre,
Que j’ai parcouru la douleur depuis l’enfance,
Sans temps de ce désert poisseux, y coule un Tibre,
Mais depuis toujours je suis seul et de silence.
mercredi 21 juin 2006
Seul
--- Eleken, damné, j'arpente le désert
Ecrit par Eleken à 22:11
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2 commentaires:
Ah la la la la
ai au moins l'honnêteté d'une signature
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