Rouge blessure à la crampe,
Je suis condamné de béquille,
Déjà sur le ventre je rampe,
Comme un ver je me tortille.
L'esprit sous l'eau j'ai ma boisson,
De rudes combats en souffrance,
Et froide tempête de pleine saison,
Je reste là pilier de mon errance.
mercredi 28 juin 2006
Fatigué
Ecrit par Eleken à 12:16 0 petit(s) mot(s)
mercredi 21 juin 2006
Seul
Elle revient toujours cette vieille haine,
Qui coule sur mon visage comme une pluie éternelle,
Partout, ces ombres, comme une rengaine,
Je me noie d’amer car j’ai coupé mes ailes.
Sache, toi qui m’as jugé coupable de vivre,
Que j’ai parcouru la douleur depuis l’enfance,
Sans temps de ce désert poisseux, y coule un Tibre,
Mais depuis toujours je suis seul et de silence.
Ecrit par Eleken à 22:11 2 petit(s) mot(s)
lundi 19 juin 2006
Bise sentimentale
Nuage sur le rivage,
Dans la sombre amer,
Je perçois le présage,
D'un été de lumière.
Sous la fraicheur du vent,
Dans la pensée opaque,
S'en est allé le sentiment,
Et la puissance du Tocamak.
Ecrit par Eleken à 18:44 0 petit(s) mot(s)
jeudi 15 juin 2006
La goutte d’eau
Rien n'est plus innocent qu'une goutte d'eau qui se condense sur le verre de votre soda frais préféré un jour de printemps trop chaud. C'est que j'ai voulu vérifier dans cette nouvelle. Il ne s'agit pas de la version définitive je pense et il est trop tard (et je suis trop naze) pour corriger toutes les fautes.
Donc bonne lecture à toi qui va lire cette nouvelle achévée sur le fond mais pas sur la forme et pas corrigée ^^
La goutte d'eau
Eleken,
De toutes façon moi je ne bois que du Pepsi Max :oP
(MAJ, suite à la critique acerbe de Nash-ka sur le manque de dynamisme de cette nouvelle, je vais en réecrire une partie - non mais - vraisemblement je vais allonger le début - et dire que j'avais ecrit ca justement pour être très court - pour permettre de mieux se plonger dans l'histoire
PS : Comment mon site arrive à être 10eme sur 55000, je me le demande encore, y a des mystères que je comprends pas)
Ecrit par Eleken à 01:01 0 petit(s) mot(s)
mardi 13 juin 2006
Rouge comme Râ
Nuit qui me prive de migraine,
Soleil qui frappe mon âme au four,
Sans retour, la croisade de haine,
D’amour j’ai retourné le détour.
Je mâche tes rayons sans prix,
De ma peau flétrie de ta piqure,
Ô joie australe importée en catimini,
N'en reste que la saignante blessure.
--- Eleken, que l'on m'amène ma crème solaire
Ecrit par Eleken à 13:56 0 petit(s) mot(s)
jeudi 8 juin 2006
Les désagrément du RER
"Il devrait y avoir une loi punissant de mort,
les mecs qui se suicide à l'heure où je prends mon train."
Ecrit par Eleken à 09:41 0 petit(s) mot(s)
???, where is the Mi
Bon alors ca c'est nul, car trop saturé, ben oui faut tester l'entrée son
Ca c'est... rien
Ca c'est... hum si vous reconnaissé, je pleur... non vraiment trop nul
Alors ca sature plus, mais alors qu'est-ce que c'est moche... en plus avec le mi pété :S
----
Eleken
Ecrit par Eleken à 07:11 0 petit(s) mot(s)
mardi 6 juin 2006
La migraine de M. Faltinnant
Vous êtes vous demandé pourquoi vous aviez une migraine, une bonne vieille, de celle qui vous ennui toute la journée au travail, vous gâche vos week-end... celle que vous préféreriez oublier mais qui s'impose sans relâche à votre corps. Et si certaine migraine n'étais pas aussi anodines que d'autre... Et si certaines n'était pas des migraines, mais un phénomène autrement plus dangereux... qui se répand.
Cette petite nouvelle fait partie du cycle des Hemicrania
Eleken,
Fatiguer, je vais me coucher maintenant.
(MAJ) Une relecture partielle m'apporte l'idée qu'il me faut corriger de nombreuses fautes, erreurs et developper certain point.
(MAJ2) Une correction plus poussée a été faite (à l'aide d'un correcteur pro... ?!), mais je relirais encore une fois derrière pour être sur.
Ecrit par Eleken à 00:02 0 petit(s) mot(s)
Catégorie : Mes textes, Nouvelles
vendredi 2 juin 2006
Vendredi 9:00 A.M.
Ne vous êtes vous jamais demandé si vous aviez jamais aimé, ne vous êtes vous jamais demandez si vous en étiez capable. J'ai découvert, avec surprise, que j'en étais capable et que j'avais aimé... Peut-être pour la dernière fois de ma pitoyable existance... ou alors comme un essai avant d'aimer encore plus, je ne sais pas.
Ce récit ne vous apportera pas grand chose, car il ne raconte pas grand chose. Mais peut-être vous montrera t-il un bleu plus clair que le bleu des vagues.
Je vous invite à lire ce morceau de ma vie, ce petite morceau d'existence, cet infime part de mon être et de mon alter ego.
Eleken,
En proie à la fraicheur de la nuit, peuple des arbres réveil toi ! Faune inutile
Ecrit par Eleken à 00:52 4 petit(s) mot(s)
Catégorie : Mes textes, Nouvelles